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Petit rituel romain Latin-Français à l’usage des fidèles petrus papa II


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V. Exaudiat nos omnipotens et misericors Dominus.

Amen.


t.Et fidelium animae per misericordiam Dei requiescant in pace. Amen.Ensuite le Pontife prend l’amict, l’aube, le cordon, l’étole èt la chape blanche, ayant, k la té te, la mitre ordinaire, et, k la main gauche, la crosse. Un second Diacre avec l’étole blanche comme le premier, un Sous-Diacre arec l’amict, l’aube et le cordon, de« Acolytes et d’autres ecclésiastiques doivent être avec lui pour l’assister et faire les cérémonies nécessaires. Dès qu’on a fini les Sept Psaumes, le Pontife retourne avec eux devant lea portes de l’Église, où l’on a mis nn fauteuil sur un tapis ; il dépose le béton pastoral, et debout, sans la mitre, il impose l’Antienne suivante, que les Chantres continuent.Ant. Protégez-nous, Dieu uni-

 ?ue, Dieu tout-puissant, Père et ils et Saiut-Esprit.



Ant. Adesto, Deus unus omnipotens, Pater et Filius et Spiritus Sanctus.— 149 —

Oremus. Actiones nostras, quaesumus, Domine, aspirando praeveni et adju- vando prosequere, ut cuncta nostra oratio et operatio a te semper incipiat, et per te coepta Ùniatur, Per Christum Dominum nostrum. Amen.

Il dit ensuite, encore debout :



Prions. Nous vous conjurons, ~ Seigneur, de préparer nos actions

fiar le souffle de votre grâce et de es soutenir par l’impulsion de votre secours, afin que toutes nos prières et nos œuvres aient en vous leur commencement, et parviennent, à une heureuse fin par votre bonté. Par J.-C. N. S. Ainsi soit-il.

Asperges me, Domine, hyssopo, et mundabor : La- vabis me, et super nivem dealbabor.

mini çuper verticem mon- tiom, et exaltata est super omnes colles ; etvenientad eam omnes gentes ; * Et di- cent : Gloria tibi, Domine.

V. Venientes autem ve- nient cum exultatione, portantes manipulos suos ; * Et dicent.

Après cette oraison, le Pontife preod la mitre, se met à genoux devant le fauteuil qu’on lui a préparé, et les Chantres commencent les Litanies des Saints et les continuent jusqu’à cet endroit (A6 omni malo) exclusivement. Alors le Pontife se lève, se tient debout avec la mitre, et bénit l’eau et le sel, selon la forme ordinaire de i’Egliae. Ensuite il reste debout sans la mitre, fait l’aspersion sur lui même et sar les assistants, après avoir imposé l’Antienne suivante, que les Chantres continuent.

Vous m’arroserez, Seigneur, avec l’hysope, et je serai purifié ; vous me laverez, et ie surpasserai la neige en blancneur. Dèsqn’on a commencé l’Antienne, l’Evéque, debout devant la porte de l’Église, la mitre en tête, précédé de deux Acolytes portant des cierges allumés, fait le tour de l’Église en commençant du côté droit, accompagné du Clergé et du peuple : et il fait l’aspersion sur les murs extérieurs par la partie supérieure, en disant toujours :

In nomine Patris, et Filii, | Au nom du Père, et du Fils, et Spiritus Sancti. • et du Saint-Esprit.

L’Antienne étant finie, le chœur chante le suivant : Fundata est domus Do- La maison du Seigneur est solidement bâtie sur le sommet des montagnes ; elle domine toutes les collines ; les peuples y accourront de toutes parts,# Et ils diront : Glpire à vous, Seigneur.

V. On les verra arriver avec ‘des transports de joie, ils auront à la main la preuve de leurs travaux ; * Et ils diront.

Le Pontife, avant faille tour de l’Fglise, s’arrête devant la porte, et se tenant debout, il dit, après avoir déposé l’a ?persoir et la mitre :

Flectamusgenua.

Levate.

Omnipotens sempiterne Deus, qui in omni loco do- minationis tu» totus assis- Us, tptus operaris ; adesto supplicatioinbus nostris, et hujus domus, cujusest fun- dator, esto protector ; nulla hic nequitia contraria potes- tatis obsistat, sed virtute Spiritus Sancti operante, fiat hic tibi semper devotum ser- vitium et devota libertas. Per Christum Dominum nostrum. Amen.

I Oremus.

Prions.


Et le Diacre dit :

Fléchissons les genoux.

Et le Sous-Diacre :

ri}. Levez-vous.

Le Pontife :

Dieu tout-puissant et éternel, qui résidez dans tous les lieux de votre domination, par la plénitude de votre immensité et les opérations de votre puissance ; écoutez nos humbles prières, et protégez cette Maison, dont vous êtes le fondateur : que la malice de l’enfer soit impuissante dans tous ses projets : et que la vertu de l’Esprit Saint opère dans cette enceinte, afin qu’on puisse vous y servir toujours avec une soumission respectueuse et une sage liberté. Par J.-C. N. S. Ainsi soit-il.

Ensuite, le Pontife prend la mitre et la crosse, et s’approchant de la porte de l’Église, il frappe une fois, en disant d’un ton moyen :

Ouvrez vos portes, puissants Attollite portas, princi-

du monde ; portes éternelles, pes, vestras. et elevaraini

laissez un libre passage : voici le port» «ternales, et iniroibit

roi de gloire. rex gloriae.

Le Diacre qui est dans l’Église, dit k haute voix : Quel est ce roi de gloire ? | Quis est iste rex glorias ?

Le Pontife répond : ^ C’est le Dieu fort et puissant ; I Dominus fortis et potens ; c’est le Dieu puissant dans les Dominus potens in praelio. combats.

Ensuite le Pontife dépose la crosse, prend l’aspcrsoir/et ra de nouveau autour de l’Église arec le Cierge et le peuple, en commençant encore du côté droit, en faisant l’aspersion sur les murs, près des fondements, en disant continuellement :In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti.

I Au nom du Père, et du Fils, I et du Saint-Esprit.Pendant ce temps, le chœur chante le r}. suivant :Benedic, Domine, domum istam, quam aedificavi no- mini tuo.Venientium in loco isto, ‘Exaudi preces in ex- celso solio gloriae tuae. V. Domine, si cpnversus fuerit populus tuus, et egerit pœ- nitentiam, veniensque ora- verit in loco isto ; * Exaudi.

Seigneur, bénissez cette maison que j’ai élevée en votre honneur. Lorsqu’on viendra dans ce lieu, 4 Exaucez vos adorateurs du haut du trône de votre gloire. V. Seigneur, si votre peuple se convertit et fait pénitence, s’il vient vous adresser des prières dans cq lieu ;# Exaucez.Le Pontife, arrivé devant la porte.de l’Église, s’arrête, se tient debout, et déposant l’aspersoir et la mitre, il dit :Oremus.

D. Flectamus genua.

S. Levate.

Omnipotens sempiterne Deus, qui per Filium tuum, angularem scilicet lapidem, duos ex diverso venientes, excircumcisione etprœputio parietes, duosque greges o- vium suj) uno eodemqiu p is- tore unîsti :dafamulis tuis per haec nostrae devotionis officia, indissolubile vinculum caritatis, ut nulla divisione mentium, nullaque perver- sitatis varietate sequestren- tur, quos sub unius regimine pastoris unus grex continet. uniusque, te custode, ovilis septa concludunt. Per eum-

Prions. D. Fléchissons les genoux. < S Levez-vous. Dieu tout-puissant et éternel, c’est par votre Fils qui est la pierre angulaire de l’édifice, quç vous avez uni les deux murs du Judaïsme et de la Gentilité qui partaient de points opposés, et que deux troupeaux sont entrés dans le même bercail, sous un seul et même Pasteur : donnez à vos serviteurs, parle moyen du ministère sacré que nous exerçons, le lien indissoluble de la charité ; faites que la division des esprits,, que la malioe du cœur ne séparent jamais ceux qui ne forment qu’un troupeau sous la houlette d’un seul pasteur, et— m —

qui, réunis dans la même ber- dem Christum Dominum gerie, y sont en sûreté sous votre nostrum. Amen, protection. Par1 J.-C. N. S. Ainsi soit-il.

Attollite portas, principes, vestras, et elevamini, port» aeternales, et introibit rex gloriae.

Alors prenant la mitre et la crosse, le Pontife s’approche de la porte, frappe une seconde fois arec le bâton pastoral et dit sur le mémo ton que la première fois :

Ouvrez vos portes, puissants du monde ; portes éternelles, laissez un libre passage ; voici le roi de gloire.

Le Diacre, qui est dans l’Église, répond :

Quel est ce roi de gloire ? | Quis est iste rex glorue ?

, Le Pontife répond :

C’est le Dieu fort et puissant ; i Dominus fortis et potens ; c’est le Dieu puissant dans les Dominus potens in praelio. combats. I

Ensuite il dépose la crosse, e1. prenant laspersotr, il fait, pour la troisième fo s, le tour de l’Église avec le Clergé et h peuple, en commençant du côté gauche, et il fait l’aspersion sur les murailles, vers le milieu, c’est à-dire à la hauteur du visage, en disant toujours :

Au nom du Père, et du Fils, I In nomine Patris, et Fi- et du Saint-Esprit. | lii, et Spiritus sancti.

Pendant ce temps, le chœur chante le suivant :Maître de tout ce qui existe, vous qui n’avez besoin de rien, vous avez voulu qu’un temple vous fût élevé au milieu de nous. * Faites, Seigneur, que cette maison ne soit jamais souillée. V. Seigneur, vous avez choisi cette maison pour qu’on y invoquât votre nom, pour qu’elle fût un lieu de ferventes prières pour

votre peuple ; 1 Faites. Le Pontife, arâré de nouveau devant la porte, s’y tient debout, et après avoir déposé l’aspersoir et la mitre, il dit :

Prions. i Oremus.

D. Fléchissons les genoux. I D. Flectamus genua.

Tu, Domine, universorum, qui nultam habes indigen- tiam, voluisti templum tuum fieri in nobis/ Conserva do- muni istam immaculatam in aeternum, Domine, V. Tu elegisti, Domine, domum istam ad invocandum nomen tuum in ea, ut csset domus oraftionis et obsecrationis populo tuO ; * Conserva.S. Levez-vous. Dieu puissant et miséricordieux, qui avez accordé à vos Prêtres des grâces si extraordinaires, qu’on regarde comme votre ouvrage tout ce qu’ils font de bon et de parfait en votre nom, nous conjurons votre clémence infinie, d’honorer de sa visite ce que nous allons visiter, et de répandre sa bénédiction sur ce’que nous allons bénir ; et malgré notre faiblesse, faites, par les mérites de vos Saints, que notre entrée mette en fuite les démons, et introduise dans ce lieu l’Ange ^de la paix. Par J.-C. N. S. Ainsi soit-il.

Alors 1« Pontife prend la mitre et le béton pastoral, et s’approchant de la porte pour la troisième fois, il frappe avec la crosse en disant :

Attollite portas prjnci-i Ouvrez vos portes, puissants pes, vestras, et elevamini, I du monde ; portes éternelles, portie aeternales, et introibit faites un libre passage, voici le rex gloriae. » roi de gloire.

Dominus virtutum ipse est rex gloriae. Apcrite. Ape- rite. Aperite.

Le Diacre répond : Quis est iste rex gloriae ? | Quel est ce roi de gloire ? Le Ponlife et tont le Clergé répondent :

Le Dieu des armées est lui- même ce roi de gloire. Ouvrez. Ouvrez. Ouvrez.

le Pontife fait une croii sur le seuil de lq porte avec l’extrémité inférieure de la crosse, en disant :

Ecce Crucis signum, fu- i Voici l’étendard de la Croix : giant phantasmata cuncta. I loin d’ici toutes les illusions de I l’enfer.

Alors la porte s’ouvre, et l’Evéque entre dans l’Église aceotnpagné séulement des ecclésiastiques employés k la cérémonie, des chantres et des maçons qui doivent placer et fixer la pierre sur le

S. R. Levate.

Omnipotens et misericors Deus, qui sacerdotibus tuis tantam prœ caeteris gratiam contulisti, ut quidquid in tuo nomine digne perfecteque ab eis agitur, a te fieri credatur, quœsumus immensam cle- mentiam tuam, ut quidquid modo visitaturi sumus, visites ; et quidquid benedicturi sumus, benedicas ; sitque ad nostrae humilitatisintroitum sinctorum tuorum meritis, riiga daemonum, Angeli pa~, cis ingressus. PerCÏuristum Dominum nostrum. Amen.

9.


tombeau des Reliques. Le reste da Clergé et le peuple n’entrent pas, et on ferme la porte. Le Pontife, étant entré dans l’Église, dit d’une voix moyenne :

Que la paix soit dans cette † Pax huic domui. maison. |

Et le Diacre, qui est dans l’intérieur, répond :

A votre entrée. | In introitu vestro.

Et tous ajoutent : Ainsi soit-il. | r|. Amen.

Pax aeterna ab ^Eterno huic Domui. Pax perennis, Verbum Patris sit pax huic Domui ; pacem pius Conso- lator huic praestet Domui.

Alors le chœur chante l’Antienne suivante :

Que l’Eternel fasse régner une paix inaltérable dans cette Maison. Que la paix éternelle, le Verbe, Fils du Père Eternel, soit la paix de cette Maison ; qu’il y assure la paix par ses douces consolations.

Immédiatement après on chante l’Antienne suivante :Zachée, hatez-vous de descendre, parce que je dois, aujourd’hui, habiter votre maison. Zachée descendit promptement, et le reçut avec joie dans sa maison. Cette- maison a reçu aujourd’hui le salut envoyé de Dieu. Louez Dieu.

Zachaee, festinans descende, quia hodie in domo tua oportet me manere. At ille festinans descendit, et sus- cepit illum gaudens in do- mum suain. Hodie huic domui salus a Deo facta est. Alléluia.Pendant cette Antienne, le Pontife va jusqu’au milieu de l’Église où on lui a préparé un fauteuil, et, à la fin de l’Antienne, il dépose la crosse et la mitre, fléchit les genoux, se tourne vers i’autel, et entonne le Veni, Creator, que les chantres continuent. A la fin du premier verset, le Pontife se lève et reste debout, sans mitre, jusqu’à la fin.Venez, Esprit créateur, visitez les âmes de ceux qui sont à vous, et remplissez de votre grâce céleste les cœurs que vous avez créés.

Vous êtes notre consolateur^ le don du Dieu très-haut, la fontaine

Veni, creator Spiritus, Mentes tuorum visita, Impie superna gratia Quae tu creasti pectora.

Qui diceris Paraclitus, Al’issimi donum Dei, Fons, vivus, ignis, charitas, Et spiritalis unctio.

Tu septiformis munere, Digilus paternœ dexterœ, Tu rite promissum Patris, Sermone ditans guttura.

Accende lumen sensibus, Infunde amorem cordibus, Infirma nostri corporis Virtute firmans perpeti.

Hostem repellas longius ; Paceniflue dones protmus ; Ductore sic te praevio, Vitemus omne noxium.

Per te sciamus da Patrem, Noscamus atque Filium : Teque utriusque Spiritum Credamus omni tempore.

Deo Patri sit gloria, Etaflyio, qui a mortuis Simxit, ac Paraclito, In saeculorum saecula. Amen. %

de vie, le feu sacré de la charité et l’onction spirituelle de nos âmes.

C’est vous qui répandez sur nous vos sept dons, vous êtes le d igt de Dieu, l’objet par excellence de la promesse du Père : vous mettez sa parole sur nos lèvres.

Faites briller votre lumière dans n s âmes, versez votre amour dans nos cœurs, et fortifiez à tous les instants notre chair infirme et défaillante.

Eloignez de nous l’esprit tentateur, accordez-nous une paix durable, et que, sous votre conduite, nous évitions tout ce qui serait nuisible à ïiotre salut.

Apprenez-nous à connaître le Père, apprenez-nous à connaître le Fils- : et vous, Esprit du Père et du Fils, soyez à jamais l’objet de notre foi.

Gloire dans tous les siècles à Dieu le Père, et au Fils ressuscité d’entre les morts, et au Saint* Esprit.

Ainsi soit-il.

En même temps un des Ministres jette des cendres sur le pavé de l’Église, en forme de croix : il en fait deux lignes, chacune de la largeur d’un peu moins d’un pied : la première ligne doit partir du coin de l’Église qui est à la gauche de celui qui entre par la principale porte, et aboutir, en traversant la longueur de l’Église, au coin opposé qui est à l’extrémité, du côté droit : la seconde ligne doit partir du coin de l’Église qui est à la droite de celui qui entre, et traverser la longueur de l’Église jusqu’au coin opposé qui est à l’extrémité, du côté gauche. k la fin de l’Hymne. le Pontife prend la mitre, se met h genoux devant son fauteuilvet les Chantres commencent’de nouveau e † continuent les Litanies, p. 139, et on y nomme deux fois le Saint en l’honneur et sous la protection de qui on consacre l’Église ou l’Au- † el, ainsi que les Saints dont les Reliques y sont renfermées : et après qu’on a dit : Ut omnibus fidelibus, etc., le Pontife se lève, et tenant la crosse à la main gauche, il dit sur le même ion :

Daignez visiter ce lieu.

Nous vous en conjurons, xaucez-nous.

Ut locum istum visitare digneris.

Te rogamus, audi nos.

Il dit ensuiteDaignez y placer vos our veiller à sa sûreté, R. Nous vous en conjurons, «xaucez-nous.

Ut in eo Àngelorum eus- todiara deputare digneris. Te rogamus, audi nos.Enspite étendant en haut la main droite, il fait, en général, sur l’Église et sur l’Autel qu’il doit consacrer, lesignedela Croix, à trois reprise !, en disant la première fois :

hoc, ad honorem tuum, et nomen Sancti N. conse- cranda, benedicere digneris.

4. Te rogamus, audi nos.

Daignez bénir cette Église et Ut Ecctèsiam et *Altare cet Autel, que nous allons consacrer en votre honneur, en les mettant sous la protection de S .N.

Nous vous en conjurons, exaucez-nous.

Il dit ensuite ;Daignez bénir et sanctifier cette Église et cet Autel, que nous allons consacrer en votre honneur, en les mettant sous la protection de S. N.

R. Nous vous en conjurons, exaucez-nous.

Il dit en !

Daignez bénir, sanctifier et consacrer cette Église et cet Autel que nous allons consacrer en votre honneur, en les mettant sous la protection de S. N.

Nous vous* en conjurons, exaucez-nous.

Ut Ecclesiam et Alt are hoc, ad honorem tuui|i4t nomen Sancti N. coflfee- cranda, benedicere et sanc- tilicare digneris. R. Te rogamus, audi nos.

Ut Ecclesiam et Altare hoc, ad honorem tuum, et nomen Sancti N. conse- cranda benedicere, sancti- ficare et consecrare digneris.

Te rogamus, audi nos.Ensuite, le Pontife dépose la crosse, et se met à genoux devant le fauteuil, pendant que les Gbantrts reprennent et terminent les Litanies ; dès qu’elles sont finies, il se lève, dépose la mitre, et se tenant debout, tourné vers le grand Autel, il dit d’un ton de voix médiocre :oremus.

D. Flectamus genua.

S. Levate.

Praeveniat nos, quaesu- mus, Domine, misencordii tua, et, intercedentibus omnibus Sanctis tuis, voces nostras clementia tuae pro- pitiationis anticipet. Per Christum Dominum nostrum. Amen.

prions.


D : Fléchissons les genoux.

S. Levez-vous.

Nous vous prions, Seigneur, de marcher devant nous avec les dons de votre miséricorde, et faites, par l’intercession de vos Saints, que nous ne chantions vos louanges qu’avec un cœur pur, honoré des bienfaits de votre clémence. Par J.-C. N.-S.

Ainsi soit-il.Il ajoute l’Oraison suivante :



Prions. Seigneur, notre Dieu, faites éclater votre gloire dans vos Saints, et montrez votre protection dans ce Temple qui vous a été élevé, afin que les enfants d’adoption, toujours dirigés et soutenus par les opérations de votre grâce, puissent vous louer sans cesse dans votre héritage. Par J.-C. N.-S. Ainsi soit-il. Après ces Oraisons, les Chantres commencent et continuent l’Antienne suivante :

O guam metuendus est | Quel respect religieux inspire locus iste : vere non est hic ce lieu ! Je ne puis en douter, aliud, nisi domus Dei, et ceci ne peut être que la maison porta cœli. de Dieu et la porte du Ciel.

Cantique de Zacharie. S. Luc, c. 1.

Oremus. Magnificare, Domine, Deus noster, in Sanctis tuis, et hoc in Tem- plo tibi sedificato appare, ut qui cuncta in filiis adoptio- nis operaris, ipse semper in tua haereditate lauderis. Per Christum Dominum nostrum.Amen.

Benedictus Dominus Deus | Béni soit le Seigneur Dieu Israël :*quia visitavit etfe- d’Israël, de ce qu’il a visité et cit redemptionem plebis racheté son Peuple, suas.Pour se souvenir de ce serment par leuuel il a juré à Abraham notre Père de nous accorder cette grâce,

Qu’étant délivrés des mains de nos ennemis, nous le servirions sans crainte,

Et que nous marcherions en sa présence, tous les jours de notre vie, dans les voies de la sainteté et de la justice.

Et vous, petit Enfant, vons serez appelé le Prophète du Très- Haut ; car vous marcherez devant le Seigneur, pour lui préparer ses voies ;

Pour enseigner à son Peuple la science du salut ; pour le préparer à la rémission de ses péchés ;

On répéter Antienne, et on continue le Cantique, en répétant l’Antienne après chaque verset, jusqu’à la fin.

Il nous a suscité un puissant Et erexit cornu salutis Sauveur, qui est né dans la maison de David son serviteur.

C’est ainsi que l’avaient annoncé, en son nom, ses saints Prophètes des siècles passés.

Il nous délivre, selon sa promesse, de la fureur de nos ennemis et des mains de ceux qui nous haïssent ;

Pour exercer ainsi sa miséricorde envers nos pères, et ce souvenir de son alliance sainte ;

Par les entrailles de la miséricorde de notre Dieu, par lesquelles ce Soleil levant est venu du haut du Ciel nous visiter sur la terre ;

Ad fociendam misericor- diam cum patribus nostris, * et memorari testamenti sui Sancti :

Jusiurandum quod jura vit ad Abraham Patrem nostrum,’daturum se nobis.

Ut sine timoré de manu inimicorum nostrorum libe- rati/serviamus illi.

In sanctitate et justitia coram ipso/ omnibus diebus nostris.

Et tu, puer, Prophcta Altissimi vocaberis : * praei- bis enim ante faciem Domini parare vias ejus.

Ad dandam scientiam salutis plebi ejus/in remis- sionem peccatorum eorum :

nobis,’ iu Domo David pueri

sui.


Sicut locutus est per os Sanctorum, * qui a seculo sunt, Prophetaium ejus.

$aluteui ex inimicis i os- tris,4 et de manu omnium qui oderunt nos ;

Per viscera misericordi® Dei, nostri,’in quibus visita- vit nos oriens ex alto.— m

Pour éclairer ceux qui demeurent dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort, et pour nous diriger dans le cheminde la paix et de la justice.

Pendant qu’on chante ce Cantique, le Pontife ayant pris la mitre et la crosse, commence, par le côté de l’Église qui est à la gauche de celui qui entre, i écrire, avec l’extrémité de la crosse, sur le* lignes de cendre qui ont été faites, l’alphabet grec, en séparant les lettres, de manière qu’elles ocsupent tout l’espace. Ensuite commençant de même par le coin de l’Église qui est ï la droite de celui qui entre, il écrit sur les cendres l’alphabet latin, en gros caractères, de la même manière ▲près cette cérémonie, le Pontife s’approche, la mitre en tête, du grand Autel qu’il doit consacrer : et lorsqu’il est à une petite distance de cet Autel, il dépose la crosse et la mitre, et se met-. tant à genoux, il dit :

Deus in adjutorium j Seigneur, venez à mon aide, meum intende. I

En même temps il se lève, pendant que le Chœur répond : Domine, ad adjuvandum I Seigneur, hâtez-vous de me me festina. I secourir.

Alors le Pontife debout, sans mitre, dans le même lieu, dit :

Uluminare his qui in te- nebris et in umbra mortis sedent/ad dirigendos pedes uostros in viam pacis.

Sel, créature de Dieu, ie t’exorcise au nom de N.-S. J.-C. qui dit à ses Apôtres : Vous êtes le sel de la terre ; et qui dit par la bouche de saint Paul : Que votre entretien toujours accompagné d’une douceur édifiante, soit assaisonné du sel de la sagesse : je t’exorcise, afin que, étant sanctifiée, tu puisses être utile pour la consécration de cette Église et de cet Autel, pour repousser toutes les tentations du



Gloria Patri, etc.t et le Chœur répond : Sicut erat, etc. Cette cérémonie se pratique trois fois de la même manière, en élevant un peu plus la voix d’une fois à l’autre. Ensuite le Pontife étant dans le même lieu avec la mitre, bénit l’eau, le sel, les cendres et le vin, en commençant par l’exorcisme du sel.

Exorcizo te, creatura salis, in nomine Domini nostri Jesu Christi, qui Apostolis suis ait : Vos estis salterrae, et per apostolum dicit : Sermo vester semper in

gratia sit sale conditus ; ut sanctificeris ad consecratio- nem hujus Ecclesiae et Al- taris ad expellendas omnes daemonum tentationes ; et omnibus qui sumpserint ex te, sis animae et corporis

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