Ana səhifə

Petit rituel romain Latin-Français à l’usage des fidèles petrus papa II


Yüklə 1.18 Mb.
səhifə23/23
tarix24.06.2016
ölçüsü1.18 Mb.
1   ...   15   16   17   18   19   20   21   22   23

Chapitre XI.
Des obsèques.


(EXTRAIT DU RITUEL ROMAIN.)

Les cérémonies sacrées et les rites que la tradition la plus reculée nous a transmis, que les décrets des Souverains Pontifes ont institués", et que la sainte Église catholique notre mère a constamment pratiqués comme renfermant les mystères de la Religion, favorisent la piété chrétienne, et comme ils procurent aux fidèles décédés de très-grands soulagements, ils doivent être observés avec grand soin par les pasteurs, afin qu’ils ne tombent pas en désuétude.

Il faut conserver autant qu’on le peut cet usage très-aNcien de célébrer la Messe pour les défunts, le corps présent, avant de l’ensevelir. Si quelqu’un doit être enseveli un jour de fête, on pourra célébrer la Messe propre pour les défunts, le corps présent, pourvu cependant que cela ne dérange pas la Messe ordinaire et les divins offices, et que ce ne soit pas un jour de grande solennité.

C’est un rite très-ancien dans l’Église, de porter aux funérailles des cierges allumés ; que les curés veillent à ce que cette solennité ne soit pas omise, mais qu’elle soit fidèlement observée sans avarice.

Les pauvres qui ne laissent pas après leur mort de quoi être inhumés à leurs frais, doivent l’être tout à fait gratuitement. Le luminaire convenable doit être fourni aux Irais du clergé, s’il est nécessaire, ou aux frais de quelques pieuses confréries, s’il en existe, conformément à l’usage du lieu

Les corps des défuuts seront placés, dans l’église, les pieds tournés vers le maître-autel. Quant au corps d’un prêtre, il doit avoir au contraire la têle du côté de l’autel. Aucun chrétien, mort dans la communion des fidèles, ne doit être enterré ailleurs que dans une église t)u un cimetière béni. Mais si quelque circonstance met dans la nécessité de l’inhumer ailleurs momentanément, il faut faire en sorte de transporter au plus m le corps dans un lieu sacré, et en attendant il doit toujours avoir une croix sur sa tôte pour marquer qu’il s’est endormi en J.-C.

On doit refuser la sépulture ecclésiastique aux païens, aux juifs, à tous les infidèles, aux hérétiques et à leurs fauteurs, aux schismatiques, à ceux qui sont notoirement frappés d’excommunication majeure ou nommément interdits, et à ceux qui habitent un lieu interdit jusqu’à ce qu’il soit levé, à ceux

3ui par désespoir ou par colère, mais non par folie, se sont onné la mort, à moins qu’avant de mouiir ils aient donné des signes de repentir ; à ceux qui meurent en duel, quand même ils donneraient avant la mort des marques de repentir ; ainsi qu’aux pécheurs manifestes et publics nui sont morts dans l’impéniience. Dans les cas précédents, s’u y a quelques doutes, on doit consulter l’évêque. ,

Cérémonie des Obsèques.

Quand il est temps d’aller chercher le corps à son domicile pour le transporter k l’église, le clergé se réunit dans l’église paroissiale ou une autre, selon la coutume du lieu, avec ceux qui doivent assister aux funérailles, l’our cela, on les avertit par quelques sons de cloebe ; puis s’élant revêtu du surplis, d’une étole noire, ou même d’une chape d’une même couleur, le curô s’avancera avec son clergé vers la maison du défunt, précédé d’un clerc qui porte la croix, et d’un autre, l’eau bénite Là on distribue et on allume les cierges. Avant de faire la levée du corps, le célébrant l’asperge d’eau bénite, puis il commence l’Ant enne Si iniquitate* et le Psaume De profundi* clamavi. Il dit à la fin Requiem œter- namdona eis> Domine, etc. L’Antienne répétée pendant qu’on enlève le corps, le curé entonne.d’un ton gravo l’autre Antienne Exultabunt Domino, et les chantres commencent le Psaumer Jtft- terere, que tout le clergé continue en deux chœurs ; et si la longueur de la route le demande, on ajoute les Psaumes graduels ou d’autres Psaumes tirés de l’office des morts. Ils doivent être chantés dévotement, distinctement et gravement jusqu’à l’église. La procession marche dans cfct ordre ; s’il y a des confréries de laïques, elles marchent en tête ; suit le clergé, tant régulier

\

3ue seculier, deux à deux, chacun à son rang ; la croix marche evant eux, et le curé précède le cercueil entouré de lumières. Les parents et amis du défunt viennent après en silence et en priant Dieu. A l’entrée de l’église on répète l’Antienne. Exultabunt Domino. Une fois entrés dans l’église, les chantres commencent et le clergé continue alternativement le répons suivant ;



Venez, d saints de Dieu ; avan-I Subvenite, Sancti Dei, cez-vous, Anges du Seigneur, à oecurrite, Angeli Domini, la rencontre de cette âme pour la suscipientes animam ejus ; présenter au Très-Haut. •

Que le Christ qui t’a appelé te reçoive, et que les anges te conduisent dans le sein d’Abraham.

V. Donnez-leur, Seigneur, le repos éternel.

R. Et que la lumière éternelle luise à leurs yeux.

Le cercueil est déposé au milieu de l’église de manière que les pieds du défunt, si c’est un laïque, soient tournés vers le grand autel, et si c’est un prêtre, la téle tournée vers ce même autel. Les cierges allumés autour du corps, à moins que quel que obstacle ne s’y oppose, on récite l’office des morts avec les trois Nocturnes et les Laudes. Pendant qu’on récite les Laudes, le célébrant avec ses ministres se prépare à célébrer la Messe solennelle pour les défunts, s’il est possible, comme il est mar-

offerentes eam in conspectu Altissimi.

Suscipiat te Christus qui vocavitte, et in sinum Abra- haa Angeli deducant te. Suscipientes.

V. Requiem aeternam dona eis, Domine.

Et lux perpetua luceat

eis.


2ué pour le jour des obsèques dans le missel romain. La Messe tant achevée,, le célébrant ayant quitté sa chasuble et son manipule, se revêt de la chape noire. Le sous-diacre prend la crois et s’avance vers le cercueil. Il se place à la tête du défunt, ?u milieu de deux acolytes portant leurs chandeliers et leurs cier- ges allumés ; tous les autres membres du clergé viennent ensuite S leur rang avec leurs cierges allumés et se tiennent autour du cercueil. Vient ensuite le prêtre avec le diacre et les autres ministres ; il se place vis-à-vis la croix, aux pieds du défunt. Denx acolytes se tieonent à gauche derrière lui, l’un avec l’encensoir et la navette, l’autre avec le bénitier et l’aspersoir, et un autre clerc lui tenant le livre, il récite la prière suivante :N’entrez pas, Seigneur, en jugement avec votre serviteur, parce que personne ne sera justifié devant vous s’il1 n’a pas obtenu la rémission de tous ses péchés ; nous vous en supplions donc, que le jugement que vous allez prononcer ne soit pas trop sévère pour cette âme que la foi chrétienne vous recommande

Non intres in judicium cum servo tuo, Domine, quia nullus apud te justifi- cabitur homo, nisi per te omnium peccatornm ei tri- buatur remissio. Non erço eum, quaesumus, tua judi- cialis sententia premat, quem tibi vera supplicatio Fidei Christian» commen-dat ; sed gratia tua illi suc- | avec instance, et qui pendant sa currente, mereatur evadere 1 vie a porté le sceau de la sainte judicium ultionis, qui dum Trinité, mais qu’avec le secours viveret, insignitus est signa- de votre grâce, elle mérite d’é- culo Sanctae Trinitatis. Qui viter le jugement de la vengeance, vivis et régnas in saecula j Par J.-C. N.-S. sœculorum. Ainsi soit-il.

Amen. 1

Ensuite le chautre entonne et le clergé continue le verset suivant :Libéra me, Domine, de morte aeterna in die illa tre- menda. Quandocœli moven- di sunt et terra : dum vc- neris judicare saeculum per ignem.

>\ Tremens factus sum ego, et timeo dum discussio venerit atque ventura ira. Quando.

V. Dies illa, dies irae, ca- lamitatis et miseriae, dies magna et amara valde. Dum veneris.



jr. Requiem aeternam do- na eis, Domine ; et lux perpétua luceat eis.

Délivrez-moi, Seigneur, de la mort éternelle dans ce jour terrible où les cieux et la terre seront dans le trouble et l’épouvante ; dans eeNjour où vons viendrez juger le monde par le feu.

V. Je suis devenu tout tremblant et je crains le grand jour de la discussion de la conscience, et la présence du juge irrité1, dans ce jour où le ciel et la terre seront dans le trouble et l’épouvante.

jf. Seigneur, donnez-leur le repos éternel ; et que votre lumière luise perpétuellement sur eux.

Pendant qu’on chante le susdit répon ?, le prêtre, aidé du diacre et de l’acolyte, prend de l’encens dans la navette et le place dans l’encensoir. Le répons fini, le chantre dit avec le premier chœur :

Kyrie, eleison. | Seigneur, ayez pitié de nous.

Le second chœur répond : Christe, eleison. | Christ, ayez pitié de nous.

Tous ensemble disent ensuite : Kyrie, eleison. | Seigneur, ayez pitié de nous.

Le prêtre dit ensuite à haute voix : Pater noster, et tous le conti-

V. Jour de colère que ce grand jour, jour de calamité et de misère, jour d’immense amertume.nuent en secret. Pendant ce temps, l’officiant reçoit da diacre l’aspersion de l’eau bénite, et il s’incline profondément devant la croix qui est vis-à-vis de lui ; puis, le diacre, après avoir fléchi le genou, soutenant avec sa main les bords de sa chape, il fait le tour au cercueil et asperge le corps du défunt trois fois à droite et trois foh à gauche. Il retourne ensuite à sa place ; reçoit du diacre l’encensoir, fait de nouveau le tour du cercueil-et encense le corps comme il l’avait aspergé. Après avoir rendu l’encensoir au diacre, se tenant à sa place, il ajoute tout haut :j^. Et ne nous induisez pas en tentation, fi. Mais de’livrez-nous du mal. t. De la porte de l’enfer, fi. Délivrez son âme, Seigneur.

V. Qu’il repose en paix, fi. Ainsi soit-il.

Seigneur, écoutez mes prières.

fi. Et que mes cris s’élèvent jusqu’à vous.

jf. Que le Seigneur soit avec vous.

fi. Et avec votre esprit. Plions. O Dieu, dont le propre est d’avoir pilié toujours et de pardonner, nous vous le demandons avec instance pour lame de votre serviteur, à laquelle vous avez ordonné aujourd’hui de sortir du siècle ; ne la livrez pas entre les mains de son ennemi et ne la laissez pas tomber dans l’oubli, mais ordonnez à vos saints Anges de la recevoir et de l’introduire dans la patrie du paradis, afin que comme elle a cru et espéré en vous, elle n’ait pas à subir les peines de l’enfer, mais jouisse bien plutôt du bonheur éternel. Par J.-C. N.-S.

Ainsi soit-il.

V. Et ne nos inducas in tentationem. fi. Sed libéra nos a malo. t- A porta inferi. fi. Erue, Domine, animam ejus. « fr. Requiescat in pace. fi. Amen.

V. Domine, exaudi oratio* nem meam.

fi. Et clamor meus ad te veniat. V. Dominus vobiscum.

fi Et cum spiritu tuo. Oremus. Deus, cui pro- prium est misereri semper et parcere : te supplices exoramus pro anima lamuli tui N..., quam hodie de hoc sœculo migrarc jussisti, ut non tradas eam in manus inimici, neque obliviscaris in finem, sed jubeas eam a Sanctis Angelis suscipi, et ad Patriam Paradisi per- duci : ut quia in te speravit et credidil, non pœnas in- ferni sustineat, sedgaudia œterna possideat. Per Christum Dominum nostrum. Amen.Cette Oraison finie, on porte le corps au cimetière, et, an moment où il sort de l’église, le clergé chant* l’Antienne suivante :

Que les Anges te conduisent au Paradis, que les martyrs te reçoivent à. ton arrivée et te conduisent dans la sainte cité de Jérusalem ; que le chœur des Anges t’accueille avec joie et que tu jouisses d’un repos éternel avec Lazare, autrefois pauvre.

Prions. Seigneur, qui, par votre grande miséricorde, êtes le repos des âmes des fidèles, daignez bénir ce tombeau et en donner la garde à un ange, afin que les âmes de ceux qui y sont ensevelis, étant délivrées des liens du péché, se réjouissent éternellement en vous avec tous vos saints. Par J.-C. N.-S.

Ainsi soit-il.

Je suis la résurrection et la vie : Quiconque croit en moi, quand il serait mort, vivra, et quiconque vit et croit en moi, ne mourra point éternellement.

Ego sum resurreclio et vita : qui crédit in me, etiam si mortuus fuerit, vivet : et omnis qui vint, et crédit in me, non morietur iu aeternum.

Il chante ensuite le cantiqua Benedictus, répète l’Antienne et ajoute :

, Kyrie, eleison. I Seigneur, ayez pitié de moi.

Christe, eleison, | Christ, ayez pitié de moi,

Lorsqu’on est parvenu au bord de la fosse, si elle n’est pas bénite, le prôtre la bénit en ces termes :



Oremus. Deus, cujus miseratione animae Fidelium requiescunt, hune tumulum benedicere diguare, eique Angelum tuum sanctum députa custodem ; et quorum, quarumque corpora hic se- peliuntur, animas eorum ab omnibus absolve vinculis delictorum, ut in te semper cum Sanctis tuis sine fine laetentur. Per Christum Dominum nostrum.

Amen.


Le prêtre asperge d’eau bénite et encense le corps du défont et le tombeau.

In Paradisum deducant te Angeli : in tuo adventu sus- cipiant te Martyres, et per- ducant te in civitatem sanc- tam Jerusalem. Chorus An- eelorum te suscipiat, et cum Lazaro quondam paupere, aeternam nabeas requiem.

Si le tombeau est déjà béni, il omet cette bénédiction et termine l’office par les prières suivantes qui ne sont jamais omises :

Seigneur, ayez pitié de moi. j Kyrie, eleison.

Pater noster, etc. V. Et ne nos inducas in tentationem. fi. Sed libéra 110s a malo. p. A porta inferi. fi. Erue, Domine, animam eius. V. Requiescat in pace. fi. Amen.

V. Domine, exaudi oratio- nem meam.

fi. Et clamor meus ad u veniat. jfr. Dominus vobiscum.

fi. Et cum spiritu tuo. Oremus. Fac, quaesumus,

Pendant qu’ij l’achève, il asperge le corps.

Notre Père, etc. V. Et ne nous induisez pas en tentation, fi. Mais délivrez-nous du mal. y. Des portes de l’enfer, fi. Délivrez son âme, Seigneur.

V. Qu’il repose en paix, fi. Ainsi soit il. p. Seigneur, écoutez ma prière.

fi. Et que mes cris s’élèvent jusqu’à vous.

‘ p. Que le Seigneur soit avec vous.

nis non recipiat vicem, qui (vel quae) tuam in votis te- nuit voluntatem, ut sic* hic eum vera Fides jun* 1* fidelium turmis, ita illic eum tua miseratio sociel Ange- licis Choris. Per Christum Dominum nostrum. Amen.

V. Requiem aeternam dona ei, Domine ; fi. Et lux perpetua luceat

ei.


V. Requiescat in pace. fi. Amen.

p. Anima ejus, et animae omnium Fidelium defiincto- rum per misericordiam Dei requiescant in pace.

fi. Et avec votre esprit. Prions. Faites, Seigneur, miséricorde à votre serviteur j Domine, hanc cum servo défunt ; afin qu’après avoir voulu ; tuo defuncto misericordkim, se conformer à votre volonté ! ut factorum suorum in pœ-

et s’être uni pour la foi à la société des fidèleà, il ne subisse pas la peine due à ses actions, mais qu’il soit associé aux chœurs des Anges. ParJ.-C. N.-S.

Ainsi soit-il.

V. Donnez-lui, Seigneur, le repos éternel.

‘ fi. Et que votre lumière luise perpétuellement à ses yeux. j. Qu’il repose en paix, fi. Ainsi soit-il. j. Que son âme et les âmes de tous les fidèles défunts par la miséricorde de Dieu reposent en paix.

Le clergé retourne ensuite du cimetière à l’église en récitant sans ebanler l’Antienne Si iniquitates et le Psaume De proflmdis.


TABLE DES MATIÈRES.

Lettre Pastorale de Mgr de Saint-Denis, annonçant la publication d’un Rituel latin-français 1

Ordinaire de la Messe 43

Vêpres et Complies du Dimanche 29

Chapitre I. — Du sacrement de Bâptême 47

Chapitre II. — Baptême des adultes 59

Chapitre III. — De la Confirmation 91

Chapitre IV. — De la Communion des Infirmes. . 95

Chapitre V. — Extrême-Onction 100

Chapitre VI. — De la Bénédiction apostolique in articulo morlis et des prières des agonisants 107

Chapitre VII. — Du sacrement de Mariage 119

Des Relevailles 122

Chapitre VIII. —Prières et cérémonies de la consécration d’une église 126

• Messe de la Dédicace de l’Église 217

Chapitre IX. — Bénédiction des cloches 221

Chapitre X. — Bénédiction d’un cimetière 237

Chapitre XI. — Des Obsèques 246
Angers. Imprimerie de E. Barassé.
. Haec est Jerusalem, civitas illa magna cœlestis

ornata tanquam sponsa

Agni. Quoniam tabernacu-


Éditions Notre-Dame Auxiliatrice
Feuille de style
zp001 titre de psaume

zp002 : texte du psaume

zp003 : sous titre de psaume

zoremus : Prions.


zpr001 : parenthèse dans les explications

zmt03 : Titre explicatif - Prière avant l’Evangile.
Rubrique

rub
Tableau


47-53









1 Les Antiennes mariales ont été oubliées dans l’édition originale. Nous les avons ajoutées avec nos traductions. N.D.E.

2 On appelle eau pure et naturelle, celle d’une rivière, d’une fontaine, d’un puits, d’une citerne, d’un étang, d’un lac, de la mer, l’eau de pluie et de rosée, et celle même de fontaine soufrée et minérale.

3 Quand c’est un laïque qui baptise, il peut les prononcer dans la langue naturelle.

4 Mais il ne faut ni parrain ni marraine quand on confère le baptême sans solennité.

5 Ou dans le vestibule, s’il y eu a un dans l’extérieur de l’église (Benoît XIII). Celui qui tient l’enfant le porte sur le bras droit, le parrain est à sa droite, la marraine à sa gauche.

6 Dans l’original par erreur : « le baptisé »

7 Dans le latin « chrismale », en français un chrême ou crémail, un petit linge blanc.

8 Dans l’original par erreur : tes. Ce n’est pas faux mais ce n’est pas la traduction.

9 La répétition de cet Exorcisme est oubliée dans l’édition originale.

10 Dans l’original : « prend de la main gauche la droite de l’élu près du bras, ou bien lui présentant l’extrémité de l’étole qui pend à l’épaule gauche, l’introduit dans l’église. »
1   ...   15   16   17   18   19   20   21   22   23


Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©atelim.com 2016
rəhbərliyinə müraciət