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Et sa civilisation première partie de


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Heou signifie postérieur, les noms de toutes ces dynasties ayant été déjà portés par des dynasties, antérieures.

1 R. GROUSSET, Histoire de l’Extrême Orient, II, p. 458.

2 Ce sont les descriptions enthousiastes des « Indes » », c’est à dire de la Chine, qui firent naître plus tard en Europe le désir d’atteindre ce pays par la route maritime de l’Ouest. C’est en essayant de le faire que Christophe Colomh aborda en Amérique.

3 King signifie capitale. Pei-king (Pékin), c’est la capitale du Nord ; Nan king (Nankin), la capitale du Sud. Pékin, qui a changé maintes fois de nom au cours de l’histoire, s’est appelé Nankin sous les Leao, en 938.

1 Nom donné par les étrangers à la société secrète qui fut à l’origine de l’insurrection et qui s’appelait Yi ho ts’iuan, litt. : « les poings de la justice et de l’union ».

1 En 1932, les Japonais ont appelé à la régence du Man tcheou-kouo l’ex empereur Siuan t’ong. Ultérieurement, celui-ci a été couronné empereur avec le titre de règne de Kang tö. La reconstitution d’une nouvelle dynastie mandchoue qui, à l’instigation du Japon, reprendrait le gouvernement de la Chine, est une hypothèse qui ne doit pas être écartée à priori.

1 R. GROUSSET, Histoire de l’Extrême Orient, I, p. 78.

2 H. MASPERO, La Chine antique, p. 11.

1 V., parmi les travaux de vulgarisation scientifique, les remar­quables études de M. B. KARLGREN, Sound and Symbol in Chinese, London, 1923, et de M. H. MASPERO, La langue chinoise, dans Confér. de l’institut de linguistique de l’Univ. de Paris, 1934.

2 La transcription des sons chinois soulève des problèmes délicats : v. B. KARLGREN, The Romanization of Chinese, London, 1928.

1 Le nom d’un Chinois se compose usuellement de trois caractères. Le premier est le nom de famille, sing ; les deux autres forment le prénom, ou ming. L’attribution des prénoms aux enfants d’une même famille est faite d’après des règles fondées sur le sexe, la condition d’aîné, de cadet, etc. Mais tout Chinois reçoit des noms différents aux divers âges de la vie. Les appellations qui lui sont données pendant sa première enfance ne sont usitées que par ses père et mère. D’autres caractérisent son adolescence, son mariage, son entrée à l’école, l’accès à une fonction publique. On a ainsi, à côté du sing et du ming, des tseu et des hao. Les lettrés ont un nom de plume. Après la mort, il est souvent donné un nom posthume.

1 L’infanticide est fréquent, bien que moins courant que l’avorte­ment criminel en Europe. Quant à la vente des filles par leurs parents, elle a pour cause principale la misère.

1 [css : cf. Ta hio, chapitre X].

1 [css : cf. Le Tcheou li ou Rites des Tcheou, trad. Éd. Biot]

2 On peut comparer l’organisation du Tcheou li avec celle qui est décrite dans l’ouvrage publié en 1912 par A. BELTCHENKO et E. E. MORAN, sous le titre : Present Day Political Organization of China, trad, de H. S. BRUNNERT et V. V. HAGELSTROM.

1 Les règlements sur les examens prévoyaient le cas de candidats ayant dépassé 80, 95 et 100 ans. Il s’agit de candidats pourvus du grade de bachelier, kiu jen, à la suite de l’examen provincial et qui se présentent sans succès, pendant de longues années, à des examens supérieurs. S’ils ont fait de bonnes compositions, ils obtiennent de l’empereur, bien que n’ayant pas été reçus un diplôme de consolation. Voilà de quoi faire rêver notre étudiant de 40e année !

2 Les Européens donnent traditionnellement aux fonctionnaires chinois l’appellation générique de « mandarins », Ce terme, d’origine portugaise, n’a pas d’équivalent chinois.

1 V. LI CHANG, Mœurs des mandarins sous la dynastie mandchoue. Paris, 1935.

1 Le Code foncier du 30 juin 1930 est considéré comme ayant réalisé un grand progrès en interdisant (art. 177) tout fermage supérieur à 37, 5 °/ du produit net total de la récolte.

2 Une enquête récente a établi que les parcelles de terre affermées dépassent à peine un cinquième d’hectare en moyenne et que chaque famille chargée de cultiver ces lots minuscules se compose en moyenne de 5, 7 personnes. Dans le Nord de la Chine, où les paysans sont le plus pauvres, on a calculé que la somme dont dispose annuellement chaque individu pour la nourriture, le combustible, le logement, le vêtement et autres besoins irréductibles de l’existence, s’exprime par un chiffre équivalant à environ 75 francs français. Il est vrai qu’il y a quelques mois, un étranger appartenant à une œuvre de secours aux victimes de la famine et des inondations dans le Kiang sou pouvait écrire : « Actuellement, un billet de cinq dollars (moins de 25 francs français) permettrait à une famille ruinée de retourner dans son pays, d’y bâtir une petite cabane, d’acheter ou d’emprunter quelques bois­seaux de grain pour ensemencer son petit terrain ; et cela, pour des centaines de familles, signifierait une récolte à la fin de juin ».

1 La place fait défaut pour insister sur le rôle immense des sociétés secrètes en Chine, rôle social et politique surtout. On estime qu’au­jourd’hui encore une grande partie de la population mâle susceptible d’exercer une influence dans un domaine déterminé est enrôlée dans ce genre de sociétés, d’origine fort ancienne. Un grand nombre sont fondées pour des fins religieuses ou de bienfaisance. D’autres sont de véritables coopératives agricoles ou commerciales. Quelques unes sont célèbres par leur activité politique qui a mis plus d’une fois en péril le gouvernement. Elles ont souvent dégénéré en de vastes entreprises de banditisme. Les plus fameuses, à des titres divers, ont été celles des Sourcils Rouges, des Bonnets Jaunes, l’association dite Ko lao houei, la Triade (San ho houei), les associations du Lys Blanc et du Nuage Blanc, celle des Boxers, etc. — V. B. FAVRE, Les sociétés secrètes en Chine, Paris, 1933.

1 Innombrables sont en Chine les groupements de toute nature. Les fermiers organisent des syndicats d’arrosage, des associations pour la protection des récoltes, pour la défense contre les inondations. Les originaires d’une même province se groupent partout en associations de bienfaisance qui secourent les pauvres, servent des pensions aux veuves, facilitent l’instruction des enfants, rapatrient les vivants et les morts, organisent des fétes et des pèlerinages. Des formes rudimen­taires, mais souvent très efficaces, d’assurance sont pratiquées par d’autres associations dans tous les domaines : vie, incendie, vol, cons­titution de dots, crédit, épargne. Des abris, des écoles, des hôpitaux, des soupes populaires sont créés par des associations qui sont souvent bouddhiques.

1 Symposium on Chinese Culture, ed. by Sophia H. Chen Zen, Shanghai, 1931, chap. II, p. 31.

1 M. GRANET, La religion des Chinois, p. 185. [css : édition/rechercher ‘Ni dogme’]

1 Ces deux caractères signifient vent et eau. Ce sont là deux éléments essentiels de la détermination des sites. Mais la géomancie chinoise tient compte d’un grand nombre d’influences et de données matérielles et spirituelles.

2 La tortue était regardée comme un résumé du macrocosme, sa carapace bombée et ronde figurant la voûte céleste, sa plaque ven­trale, plate et carrée, figurant le plateau terrestre, et son corps, entre les deux, figurant l’humanité. La plupart des stèles reposent sur un soubassement représentant une tortue.

3 GRANET, La religion des Chinois, p. 28. [css : édition/rechercher ‘membre du groupe’]

1 GRANET, op. cit., p. 119. [css : édition/rechercher ‘pratiques symboliques’]

2 En fait, il s’agissait ici d’honneurs officiels rendus au général Kouan Yu, qui s’était illustré pendant la période des « Trois Royaumes ». Des temples dédiés à Kouan Yu (ou Kouan ti) se rencontrent sur tout le territoire. Quant aux sacrifices en l’honneur de Confucius, ce serait une erreur profonde d’y voir un « culte », au sens courant du terme. En réalité, le « culte de Confucius », bien que comportant des temples, un rituel, des sacrifices, est exactement de même nature et offre les mêmes caractères que les cérémonies d’anniversaire en l’honneur d’un grand homme ou l’hommage rendu au « Soldat Inconnu ». On voit par cette remarque combien est erronée l’opinion courante qui fait du confucéisme une religion fondée sur l’« adoration » de Confucius.

1 Quelques exemples. — Un soldat qui déserte le champ de bataille est loué par les lettrés pour la raison qu’étant fils unique il se doit de préserver son existence pour nourrir son vieux père et continuer le culte ancestral. — M. GRANET (op. cit., p. 196) rapporte le cas d’un Chinois qui, apprenant que toute sa famille a été massacrée loin de lui, se félicite tout d’abord de n’avoir point été présent et d’avoir échappé au malheur. Ce n’est nullement dans un sentiment égoïste, mais parce que, songeant de suite à sa race, il est heureux qu’un espoir ait été conservé à celle ci. — A Pékin, en 1924, un Chinois, dans l’in­cendie de sa maison, laisse périr sa petite fille dans les flammes, parce qu’il a d’abord pris soin de sortir le cercueil de sa mère, dont on célé­brait les funérailles au moment où le sinistre a éclaté. Témoin du fait, je fis part de ma surprise un peu indignée à des amis chinois. Ils me répondirent que leur compatriote n’avait fait que son strict devoir et que, s’il s’y était dérobé, les principes moraux et législatifs tradi­tionnels eussent exigé sa condamnation à une peine sévère, la mort même, sous l’Empire.

2 GRANET, op. cit., p. 139 [css : édition/rechercher ‘véritable esprit’]

1 GRANET, op. cit. p. 150 [css : édition/rechercher ‘Ce sont ces’].

2 La société secrète des Bonnets Jaunes était une secte taoïste dont l’activité contribua à causer la ruine de la deuxième dynastie Han. — Au début du IIIe siècle, une secte taoïste du Sseu tch’ouan joua un rôle important dans l’organisation de la hiérarchie, rattachée à un degré suprême correspondant à une véritable fonction papale.

3 Le Panthéon taoïste comprend, à côté d’innombrables hypos­tases de l’Unité Suprême et de triades mystiques, une foule de Bien­heureux qui, par le mérite de leur accord avec la Vertu Première, sont montés aux Cieux dans une apothéose, sur des dragons ou des grues, ou qui se sont évanouis aux abords d’une montagne ou d’un gouffre » (GRANET, op. cit., p. 154 [css : édition/rechercher ‘Panthéon taoïste’]). Ces légendes ont fourni quantité de motifs à l’art chinois.

4 GRANET, op. cit., p. 157 [css : édition/rechercher ‘idée bouddhique’].

1 R. GROUSSET, Histoire de l’Extrême Orient, I, p. 246.

2 C’est le dhyâna indien, transcrit en chinois tch’an na, et par abré­viation tch’an, en japonais Zen.

1 L’amidisme, qui est un véritable culte, impliquant l’adoration — et non pas une simple commémoration, comme la « religion » de Confucius — est une des manifestations de cette transformation du bouddhisme connue sous 1e nom de Mahâyâna, c’est à dire le « Grand Véhicule » du salut, par opposition au « Petit Véhicule », ou Hinayâna. L’une des différences entre les deux formes est que les adeptes du « Petit Véhicule », fidèles au positivisme et à l’agnosticisme de Câkya­muni, ne considèrent celui-ci que comme un homme supérieur, un « surhomme », tandis que les mahâyânistes tendent à le diviniser, bien que la notion d’Absolu et d’Être pur ne soit jamais apparue dans le bouddhisme.

2 GRANET, op. cit., p. 176. [css : édition/rechercher ‘beauté grecque’].

3 GRANET, op. cit., p. 179 [css : édition/rechercher ‘Aucun des’]. On trouve, dans un Recueil législatif chinois, le Tchong houa min kouo fa houei houei pieu, 1934, 4e partie, p. 807, une liste d’un grand nombre de temples qui est un véritable inventaire des croyances chinoises. On ne peut rien dire ici du Maz­déisme, du Manichéisme, du Nestorianisme, qui s’introduisirent en Chine sous les T’ang et n’ont qu’un intérêt historique. L’Islam pénétra en Chine peu après le Nestorianisme à la faveur des relations com­merciales entre l’Arabie et les ports du Sud de la Chine, aux VIIe VIIIe siècles. Les disciples de Mahomet, aujourd’hui au nombre de quinze à vingt millions, principalement dans le Sin kiang, au Kan sou, dans le Chen si et le Yun nan, se sont signalés dans l’histoire par de ter­ribles rébellions, surtout au XIXe siècle. Il n’est pas sûr qu’ils pratiquent la pure doctrine coranique, mais ils se distinguent de la masse chinoise presque au même degré que s’ils constituaient une nationalité à part. Il existe des mosquées fréquentées dans plusieurs provinces. Signalons enfin la petite colonie israélite de K’ai-fong, capitale du Ho nan, forte de quelques centaines de membres et dont l’origine est attribuée, sans preuves décisives, aux grandes persécutions de Babylone qui précédèrent de peu l’ère chrétienne. Visitée à plusieurs reprises par des missionnaires chrétiens, la colonie est aujourd’hui dans une situation misérable, ayant perdu jusqu’au souvenir de sa langue, de ses livres sacrés et de ses traditions.

1 La Chine antique, pp. 432 453.

2 Les dates sont, traditionnelles. Sur leur valeur, v. MASPERO, op. cit., n. 1, p. 455. — Le nom du philosophe était Kong K’ieou, son surnom Tchong ni. Il reçut, selon l’usage, les titres de maître, tseu, de sage, fou tseu, etc. L’appellation : Kong fou tseu, latinisée par les Jésuites, est devenue Confucius. La famille du Sage existe toujours, et son chef possède divers privilèges et prérogatives.

1 C’est la théorie dite de la « rectification des noms », d’origine confucéenne, mais développée surtout par Siun tseu et par une école de logiciens dite école des Noms, Ming hia, dont le personnage le plus représentatif est Yin Wen tseu (fin du IVe siècle). Elle constitue l’armature de la logique traditionnelle et, comme telle, a eu une grande influence sur certains aspects de la culture chinoise.

2 M. GRANET, La pensée chinoise, p. 386 et s. — Parmi les philosonphes occidentaux, Auguste Comte est un de ceux que les Chinois tiennent le plus en honneur.

3 Forme latinisée de Meng tseu. Les dates traditionnelles — sous les réserves d’usage — sont 372 289.

1 M. GRANET, op. cit., p. 468, souligné dans le texte.

2 La plus éclatante est celle de Wang Tch’ong (27 ap. J. C. 100 env.), qui écrivit des essais critiques (Louen heng) sur toutes les écoles.

3 On donne les dates approximatives de 380 320. On le fait vivre encore dans la deuxième moitié du IVe siècle et mourir au début du IIIe.

1 Une citation de Tchouang tseu empruntée à M. Maspero (op. cit., pp. 506 507) est significative : « Aux temps de l’empereur Ho sin, les hommes restaient dans leurs demeures sans savoir ce qu’ils faisaient, et se promenaient sans savoir où ils allaient. Quand, la bouche bien remplie, ils étaient contents, ils se tapaient sur le ventre pour l’exprimer. Telle était leur seule capacité. »

1 V. la remarque de M. GRANET, op. cit., p. 492.

2 Fei, de Han, fut, dit on, avec Li Sseu, le ministre du futur Che Houang ti, disciple de Siun tseu. Son souverain, le roi de Han, l’envoya en ambassade auprès du roi de Ts’in, qui le garda à sa cour. On prétend que Li Sseu le calomnia auprès du roi de Ts’in et détermina celui-ci à faire jeter en prison Han Fei, avec permission de se suicider (233 av. J. C.). Le Han Fei tseu est un ouvrage très étendu dont une partie seulement est tenue pour authentique par certains sinologues. Le style en est d’une admirable éloquence.

1 On peut s’en rendre compte en comparant le Chang tseu, ouvrage mis sous le nom de Kong souen Yang, ministre du duc Hiao (361-­336 de Ts’in, et le Han Fei tseu qui, théoriquement, est d’un siècle postérieur. — V. J. J. L. DUYVENDAK, The Book of Lord Shang, London, 1928.

2 M. GRANET, op. cit., p. 471. — Sur la conception chinoise du droit, v. Jean ESCARRA, Le droit chinois, Pékin et Paris 1936, 1e partie, et surtout p. 40 et s., contenant la traduction de fragments du Han Fei tseu.

1 La poésie chinoise comporte à la fois rythme et rimes. Sa tech­nique est compliquée du fait des correspondances obligatoires entre le sens et le son de certains caractères à travers l’ensemble d’une pièce. Il existe plusieurs sortes de styles, de mètres, de coupes, etc.

2 La poésie chinoise est pratiquement intraduisible. Il ne faut pas oublier que le choix des caractères tend à produire une évocation visuelle qu’il est impossible de transposer dans une langue alphabé­tique. Cette évocation visuelle — qui explique, à partir d’une certaine époque, les rapports de l’écriture et de la peinture en Chine — est, pour le poète, un des ressorts de l’émotion.

1 GROUSSET, op. cit., I, p. 400.

1 HU SHIH (Hou Che), The literary Renaissance, in Symposium on Chinese Culture, p. 134.

1 On a toutefois établi des influences scytho sarmates. V. GROUSSET, Histoire de l’Extrême- Orient, I, p. 235 et s.

2 C’est à dire ce qui correspond au Turkestan oriental. Pour éviter d’employer ce dernier nom en traitant d’une époque antérieure à l’arrivée des Turcs, on a proposé le terme de Serindia. C’est la région comprise entre Kachgar et Turfan, Khotan et le Lob nor.

3 GROUSSET, op. cit., p. 302.

4 GROUSSET, op. cit., p. 342.

1 Le British Museum possède une peinture qui, si elle est originale, daterait de la deuxième moitié du IVe siècle. M. Ts’ai Yuan pei, citant sans les discuter des textes confucéens, mentionne des peintures sous les Ts’in et même sous les Tcheou (Symposium on Chinese Culture, p. 62).

2 PETRUCCI, cité par GROUSSET, loc. cit., p. 383.

1 En 1701 avait paru la célèbre encyclopédie de la peinture, Kiai tseu yuan houa tchouan, « Les enseignements de la peinture du jardin grand comme un grain de moutarde », trad. en français par M. PE­TRUCCI. — A rapprocher du même genre pour l’architecture, le Ying tsao fa tche, publié en 1160 par Li Ming tchong, et dont une réimpression magnifique a été faite en 1925 par une maison provinciale d’édition. V. l’étude de M. P. DEMIÉVILLE, Bull. Éc. franç. Extr. Or., XXV, 1925, p. 213 264.

1 Abel REY, La science orientale avant les Grecs, Paris, 1930, pp. 333-­406. Il semble que les Chinois aient connu longtemps avant Pythagore les propriétés du triangle rectangle.

2 La cartographie a atteint de bonne heure une haute perfection. V. H. BERNARD, S. J., Les étapes de la cartographie scientifique pour la Chine et les pays voisins, in Monumenta serica, I, 1935, pp. 428 477.

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