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La polygynie sororale


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(123) Cf. B.E.F.E.O., VIII, p. 376.

(124) Cf. SMT, IV, 289. Tch’ong-eul épouse, après hésitation (Voir Kouo yu, « Tsin yu », 8e d.), la femme abandonnée de son neveu Yu. De même n° X.

(125) XXI, cas double, polygynie sororale et lévirat.

(126) P. HOANG, Mariage chinois, p. 59. Le lévirat est d’un usage constant dans les tribus du Haut Tonkin qui ont tant de parenté avec les Chinois. Cf. B. E. F. E. O., VIII, 362 (note de M. BONIFACY). Chez les Lolo où il est permis de se marier avec les sœurs de sa femme, le lévirat se pratique aussi, ibid.,p. 566. Chez les aborigènes du Kamtchatka, l’usage de la polygynie sororale est complété par celui du sororat et du lévirat. Chez les Koryaks du N.-E. de l’Asie, la polygynie sororale est interdite, mais le sororat et le lévirat sont obligatoires. Cf. FRAZER, Totemism and exogamy, IV, 147.

(127) Li ki, COUVREUR, I, p.29 .

(128) Ibid. II, 188 .

(129) Voir p. 5-6. Voir Frazer, Totemism, IV, 148, une interdiction analogue, dans l’archipel de la Louisiane, où se pratique le sororat.

(130) Comp. HOWITT, The native Tribes of South East Australia, p. 192 : (tribu des Kurnandaburi où existe le mariage entre un groupe de frères et un groupe de sœurs) « en somme, la sœur de sa femme et la femme de son frère ne peuvent habiter dans le même camp et converser librement ; mais il existe entre eux, en secret, des relations maritales ». L’inceste secret du beau-frère et de la belle sœur passe pour être fréquent en Chine.

(131) Le petit nombre de témoignages ne doit pas étonner. On peut se convaincre en lisant le catalogue dressé par FRAZER, des faits de sororat (Totemism and Exogamy, p. 139 à 149 du t. IV) que, lorsque celui ci est pra­tiqué, le lévirat est le plus souvent interdit ou inversement.

(132)Le Yi li, chapitre du « Deuil », donne à ce mot le sens de belle sœur cadette; le Che king, XXVII, 9, lui donne le sens de suivante. Le Yi li, « Mariage », le sens de sœur cadette servant de suivante.

(133) Voir plus haut.

(134) HOWITT, op. c., p. 181 sqq. Tribus Urabunna, Dieri, Kurnandaburi.

(135) Sur les mêmes faits voir SPENCER and GILLEN, The native Tribes of Central Australia, 62 sqq. et 559.

(136) RIVERS, The Todas, p. 503 512.

(137) Cf. XXXIII.

(138) XL.

(139) Cf. XXXIII a.

(140) Cf. XXXIII et XXXIII a.

(141) Cf. XXXIII.

(142) Cf. XXXIV.

(143) Cf. XXXVI.

(144) Cf. XXXV.

(145) B. E. F. E. O., VIII, 546.

(146) Ibid., 545.

(147) Cf. B. E. F. E. O., VII, 278 sqq.

(148) Cf. XXXVII.

(149) Cf. XL.

(150) Cf. XXXII.

(151) Fêtes et chansons, XII, XXXVI, XXXV, XLI, L, 7, LVIII, 13 14, LX, 1 2 et 26 sqq .

(152) Ibid., LXVI.

(153) Ibid., LXI, 26 sqq.

(154) Ibid., XLI, int.

(155) Trois, succédané de la totalité.

(156) Le mot qui signifie cocher, conduire en char est le même qu’on emploie pour exprimer les rapports sexuels. Étant donné 1’état des études éty­mologiques en chinois, je me borne à noter le fait, sans essayer d’en rien conclure. On notera que, seule, la Suivante attend à la porte de la chambre nuptiale, XXXVIII ; le cocher n’est point mentionné : mais les glossateurs ont l’air de croire qu’il reste auprès d’elle. S’il n’en était pas ainsi, ce serait le seul moment des cérémonies où la symétrie n’est pas conservée : au dernier moment, il se révèle que le cocher n’est qu’un figurant.

(157) Voir un ensemble de faits symétriques dans Reports of the Cambridge Anthropological Expedition to Torres Straits, p. 237 et 241 sqq.

(158) Cf. XIX et Li Ki , I, p.╓226 .

(159) Cas de Chou Ki, Cf. II.

(160) Cf. III j.

(161) Cf. III d.

(162) Cf: III.

(163) Cf. XXVIII et XXIX.

(164) Je ne puis qu’indiquer ici un fait de haute importance : l’unité de la partie féminine de la famille s’oppose à une espèce de dualité qui divise les parents mâles, les agnats, en deux groupes (voir ce qui a été dit plus haut de l’ordonnance du temple ancestral). Ce fait sociologique doit être rapproché d’un autre : il semble qu’anciennement la succession au pouvoir se soit faite par le mariage. Chouen épousa les filles de Yao, puis lui succéda. Ce sont des femmes, K’ai yuan, Kien Ti qui sont à l’origine des dynasties. La parenté fut d’abord utérine. Il semble que l’unité familiale ait été surtout représentée par la dynastie que formaient les maîtresses de maison : les mères s’efforçaient toujours de marier leur fils dans leur famille natale.

(165) Voir Che king, Commentaires des pièces du Tcheou nan

(166) Cf. STEELE, II, p. 37.

(167) Cf. STEELE, II, pp. 35 et 39.

(168) Po hou t’ong, « Mariage ».

(169) Par ex. XII.

(170) Un ethnographe chinois note un fait symétrique : chez les Kou Tsong, qui pratiquent la polyandrie, les enfants sont communs à tous les maris. B. E. F. E.-O., VIII, 373.

(171) Cf. XII. Voir l’histoire tout au long, dans SMT, IV, 68.

(172) Les frères, mariés à une même épouse, chez les Kou Tsong .ne se querellent ni se battent. B. E. F. E. O., VIII, 373.

(173) Po hou t’ong, . Mariage ..

(174) Cf. XLIV.

(175) Voir Fêtes et chansons, LXVII.

(176) Voir Fêtes et chansons, commentaires du n° XXXIX..

(177) C’est par l’intermédiaire de l’épouse principale que Wou Kouang intro­duit sa fille auprès du roi Wou Ling. Cf. XX.


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Introduction

II. Recueil de textes relatifs à la polygynie.

III. La société chinoise des temps féodaux.

IV. La polygynie dans la noblesse féodale.



V. Origine et histoire des institutions polygyniques.

Conclusion

Notes  : 150100150 Table -

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