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Principes sur la liberté du commerce des grains


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Mirabeau disait encore : « Il ne faut pas inférer de ce tableau de questions que l’idée de deux auteurs combinés, qui n’ont d’autre intérêt à lui que celui de citoyen, soit de mettre dans les mains de l’administration municipale le soc de la charrue. » Et le marquis s’efforçait longuement de dissiper les craintes que des recherches statistiques pouvaient éveiller dans l’esprit des particuliers, peu disposés a fournir au fisc des arguments contre eux.


230 Contre la corvée des grands chemins.

231 Loménie, Les Mirabeau.

232 En tête de l’Exportation et l’importation des grains. L’ouvrage ne parut qu’après la mort de la favorite ; mais Du Pont ne supprima pas la dédicace.

233 L’Enfance et la Jeunesse de Du Pont de Nemours

234 Éphémérides du citoyen, 1767 et 1768.

235 Même recueil.

236 Zur Entschung der Physiokratie. Les papiers de Mirabeau renferment un très grand nombre de notes de Quesnay.

237 « Un homme de génie qui a cavé et approfondi tous les principes..  a cherché par un travail opiniâtre et analogue à son genre d’esprit à fixer ses idées sur la source des richesses, sur leur marche et sur leur emploi. Le résultat de ses idées une fois rangé dans sa tête il a senti qu’il était impossible de le décrire intel-ligemment par le seul secours des lettres et qu’il était indispensable de le peindre. Ce sentiment a produit le Tableau économique.

« Quoique parfaitement d’accord avec lui dans ses principes, je n’ai pu connaître son Tableau dans toute son étendue qu’en le travaillant pour mon propre usage et en m’en faisant à moi-même l’explication.



« Plusieurs de ceux qui auront la patience et le génie de peiner à l’explication du Tableau économique accuseront l’auteur d’avoir pris peu de temps pour en rendre l’énoncé clair et facile ; avant de prononcer cet arrêt, qu’ils fassent une épreuve, qu’ils tentent de faire une autre explication à leur manière. Ils verront alors si la chose est aisée à moins de faire un livre entier. »

238 Papiers de Mirabeau.

239 Carl Friedrichs von Baden briefticher verker mit Mirabeau und Du Pont, Heidelberg, 1892.

240 1770. Correspondance du Margrave, déjà citée.

241 Baudeau a fait du Tableau une autre analyse pou les Éphémérides de 1761-68.

242 L’Observateur hollandais les a reproduites.

243 L’épreuve forme un cahier in-4o avec un tableau gravé, un autre tableau im-primé, des explications en 12 pages, des prétendus Extraits des économies royales, avec notes, en 6 pages.

244 Celles de la Physiocratie ont été reproduites par M. Oncken dans son édition des Œuvres économiques et philosophiques de Quesnay.

245 Journal des économistes de juillet 1888. Voir aussi l’édition des Réflexions sur la richesse de la Petite Bibliothèque économique où le texte a été rétabli sur nos indications.

246 Notamment les Discours en Sorbonne.

247 L’Abrégé des principes d’économie politique, publié dans les Éphémérides.

248 Contrôleur Général, du 4 mars 1759 au 21 novembre.

249 Il forme un cahier in-4o de xii pages pour les explications et de 22 pages pour les maximes et leurs notes ; le tableau gravé en tête a pour point de départ un revenu de 600 livres ; le tableau imprimé a disparu. Une maxime a été ajoutée, une autre a été complétée ; les notes ont été considérablement augmentées. Les extraits des mémoires de Sully, y compris ces notes, forment 22 pages au lieu de 6. Les notes ne sont pas tout à fait identiques à celles de la Physiocratie ; en ce cas encore, du Pont a corrigé un peu le maître.

250 Ce mot a été remplacé par « bon prix » dans le tableau gravé et publié en 1775.

251 Maximes I et XVIII.

252 Du 19 au 24 décembre 1760. L’emprisonnement fut suivi d’un exil de deux mois au château du Bignon.

253 Le passage que nous avons précédemment cité et qui avait été signalé par Berryer à Mme de Pompadour n’était pas le seul audacieux.

« Votre puissance, disait encore Mirabeau au roi, n’est autre chose que la réunion des volontés d’une multitude forte et active à la vôtre, d’où suit que la disjonction des volontés est ce qui coupe le nerf à votre puissance... Le prince est le chef de l’État, mais il n’est point l’État... Passez-moi le terme : Vous êtes le premier des employés de votre État. » Et Mirabeau ajoutait que l’impôt devait être un tribut consenti volontairement et non une dépouille arrachée par les traitants : « Le tribut est le droit des princes, la dépouille est le crime des tyrans. Imposer avec mesure, avec justice et équité est non seulement de devoir moral et naturel, mais encore de nécessité physique et politique, puisque toute imposition désordonnée ruine l’État et le fisc. »

Mirabeau posait les trois conditions ci-après, déjà indiquées par Quesnay dans son article Impôts :

1° Que la contribution soit établie immédiatement à la source des revenus ;

2° Qu’elle soit dans une proportion connue et convenable avec les mêmes revenus ;

3° Qu’elle ne soit point surchargée de frais de perception.

En même temps Mirabeau attaquait les fermiers avec violence : « Les fermiers sont une cause de ruine pour l’État ; ils ont intérêt à ce que l’impôt soit établi sur les consommations parce qu’eux seuls en connaissent le véritable produit ; il leur est indifférent d’apporter des obstacles de tout genre à la consommation, à la circulation, l’action de chacun, pourvu qu’ils s’enrichissent... Partout ils présentent au gouvernement les expédients les plus séduisants et président aux conseils particuliers des finances. Ce sont des vampires qui, par le produit de leurs exto-rsions, achètent la nation des mains du prince et livrent ensuite le prince, la nation et eux-mêmes à l’ennemi marqué par la Providence. »

Le Marquis reconnaissait que les traitants pouvaient être d’honnêtes particuliers :

« Il est peu d’honnêtes citoyens qui, dans ces temps malheureux, n’aient désiré ou même sollicité des places de fermiers, des intérêts dans les traités... Ce ne sont point des individus que j’envisage ici, c’est ce concours détestable d’agents dé-réglés qui rompt tous les liens de la société, qui ruine la nation, qui détruit la puissance du monarque par l’autorité même du monarque... Il ne faut que supprimer le mot odieux : financier. »

« Renversons les fermes d’abord », écrivit aussi le Marquis à son frère. « Je désire, si même je devais devenir ministre demain, que mon livre me précède. »



254 Deux autres ouvrages au docteur sortis de l’imprimerie royale, des Observa-tions sur la conservation de la vue et une Psychologie ou science de l’âme sont inconnus. Il est possible que Quesnay ait fait imprimer ces opuscules, l’un mé-dical, l’autre philosophique, avant de remettre au roi le Tableau économique.

255 Maxime II.

256 Maxime X.

257 Maximes VIII et IX.

258 Maxime XII.

259 Maxime XXI.

260 Maxime XII.

261 Maxime XII.

262 Maxime XIII.

263 Nous ne donnons que le début de chacune d’elles.

264 Quelques changements furent, en outre, introduits dans le texte d’autres maximes.

265 Notamment dans l’article Hommes inédit.

266 « Il est la première exposition synthétique du mouvement de la richesse auquel se ramène la vie organique des sociétés, dit M. Denis, et quand je considère l’effort de génie qu’il fallut pour le concevoir, j’avoue que je suis bien près de partager l’enthousiasme de Mirabeau. »

267 « Il ne faut pas confondre, disait Quesnay, les principes de la science du gouvernement économique avec la science triviale des opérations spécieuses de finances qui n’ont pour objet que le pécule de la nation et le mouvement de l’argent par un trafic d’argent où le crédit, l’appât des intérêts, etc., ne produisent, comme un jeu, qu’une circulation stérile. »

268 Maxime XIII.

269 Lettres originales tirées du Donjon de Vincennes.

270 Quesnay refit alors le Tableau économique, en prenant pour point de départ un revenu de 20.00 livres.

271 Février.

272 Réflexions sur la Richesse de l’État.

273 Grimm.

274 « L’approvisionnement de la capitale est un objet trop important pour qu’on y touche sans de nouvelles ressources », lit-on dans le Préambule.

275 12 décembre 1763.

276 Voir le texte dans Du Pont de Nemours et l’École Physiocratique.

277 A la même époque, 25 août 1763, Thomas obtint le prix d’éloquence pour son éloge de Sully. Son discours fit grand bruit ; des retranchements nombreux y furent faits pour l’impression.

278 L’enfance et la jeunesse de Du Pont de Nemours.

279 De Romance. — Ces anecdotes ne se trouvent pas dans les autres Éloges de Quesnay.

280 Lucas Montigny.

281 Proyer, Vie du Dauphin. — Thomas, Éloge du Dauphin.

282 Le Dauphin mourut le 20 novembre 1765.

283 On retrouve ici Boisguilbert.

284 1. Lettre sur le langage de la science économique.

285 En 1758.

286 Londres, 2 in-8o. — 2e édition 1767, 2 in-2. Baudeau a rendu compte longuement de cette 2e édition dans les premiers volumes des Éphémérides du citoyen.

287 Janvier 1767.

288 En 1767, il commença aussi à publier dans les Éphémérides ses Éléments de la Philosophie rurale.

289 Mars et juin 1769.

290 2 vol. Le premier porte par erreur la daté de 1769.

291 M. Oncken, dans son édition des Œuvres de Quesnay, a souligné les modifications apportées au teste primitif du Traité de droit naturel.

292 Baudeau s’en était déjà servi dans l’un de ses articles des Éphémérides ; mais, à ce moment, la publication de Du Pont était probablement en préparation.

293 Emphatique et plat, dit Grimm.

294 Octobre 1767.

295 Décembre 1761.

296 Lettre de Mirabeau, du 30 mars 1767, dans Lucas Montigny.

297 Autre lettre du 6 mars 1769.

298 C’est ce qu’il manda à Voltaire. Lettre de Voltaire du 8 août 1767.

299 Il est daté de Londres, et fut imprimé sans privilège.

300 Tourneux, Premières relations de Diderot et de Catherine.

301 Il était le fils d’un intendant de la généralité de Tours et était né à Saumur en 1719.

302 Quèrard attribue à Galitzin un ouvrage sur l’Esprit des économistes ou les économistes justifiés d’avoir, par leurs principes, préparé la Révolution française, 1796. Cet ouvrage n’a pas été trouvé à la Bibliothèque nationale.

303 Lettre à Longo, 1788,

304 Éphémérides de 1769.

305 Il s’agit des dîners économiques chez le marquis de Mirabeau. Quesnay y assista quelquefois, ainsi qu’il résulte du passage d’un discours d’ouverture à l’année 1774, prononcé par Du Pont de Nemours, remplaçant Mirabeau, qui faisait ordinairement les discours d’ouverture.

306 Mémoires de Ségur, copiés par J.-B. Say.

307 Le roman de Voltaire est de 1768.

308 Les Doutes proposés par Mably aux philosophes économistes sur l’ordre naturel et essentiel des Sociétés politiques, sont datés du 29 octobre 1767.

309 Essai analytique sur la richesse et l’argent, 1767.

310 Janvier 1761, Analyse du gouvernement des Incas du Pérou, par M. A. — Quesnay prétend que, dans ce pays, le produit net se partageait entre le sacerdoce le souverain, les nobles et les colons, sans dépenses pour la classe stérile.
Octobre 1767, Lettre de M. Alpha, maître ès-arts, sur le langage économique. C’est une réponse à une lettre de Forbonnais au Journal d’agriculture ; elle traite principalement du libre échange.
Février 1768, Lettres d’un fermier (Thibaud) et d’un propriétaire (Sidrac, écuyer, seigneur de Bellecour), par M. A. Elles sont relatives aux dépenses stériles ; le fermier comptait que le propriétaire ferait marner ses terres ; le propriétaire, après avoir lu les articles de Forbonnais, fit dorer ses appartements. Quesnay répond en même temps, da s ces lettres, à l’ouvrage de Graslin.

311 Signé par le roi, le 12 juillet, l’édit avait passé au Parlement le 19, sans opposition apparente.

312 Quesnay avait dit, après Boisguilbert, que les salaires haussent avec la cherté et baissent avec l’abondance.

313 Par M. Bloch.

314 7 septembre 1768.

315 9 septembre.

316 Voir à ce sujet, les Mémoires de Bandeau dans la Revue rétrospective.

317 Grimm avait fait l’éloge de son invention en novembre 1767.

318 M. Lorin a fait le compte de ses revenus. Ils montaient net à environ 16,000 livres, non compris la rente que lui avait laissée Mme de Pompadour, et ses revenus personnels :
Comme commissaire des guerres, il touchait 900 livres.
Comme premier médecin ordinaire
pour gages et habillement 2.000 l.
pour les grandes livrées 1.500
à titre de pension 2.400 5.000
Comme médecin consultant 9.000
Comme médecin du grand commun 1.800
Total 17.600 livres.
Rapportant net 16.072 livres.

319 Journal historique (1er mai 1774) : Treize membres de la Faculté veillent continuellement sur cette personne sacrée, savoir : le sieur Le Monnier, faisant fonction de premier médecin ; deux médecins de quartier, les docteurs Lary et Bordeau, appelés de Paris ; deux chirurgiens de quartier, le sieur de la Martinière, premier chirurgien, et le sieur Ardouillé, en survivance ; le premier apothicaire et ses acolytes, etc.

320 Note des Gottinger Gelahrten Anzagen (28 juillet 1774), citée par M. Oncken.

321 Ce compliment d’un homme en place, qui peut-être était Turgot, n’était sans doute qu’une formule de déférence. Si les derniers écrits économiques du vieillard avaient eu autant de valeur que le dit Hévin, Bandeau les aurait recueillis dans les Nouvelles Éphémérides.

322 G. de Fouchy.

323 13 avril 1773.

324 L’ouvrage se termine par l’exposé d’un plan simple et sensé d’éléments de géométrie pratique.

325 La Polygonométrie n’est pas datée.

326 Quand cette cérémonie eut lieu, le bâtiment, commencé en 1769, était presque achevé.

327 On prêté à Quesnay, à la veille de sa mort, plusieurs propos ; nous ne les citerons pas. Chacun sait qu’il faut attacher peu de valeur aux anecdotes de ce genre. Il fut enterré à Versailles, dans la vieille Église saint-Julien qui était à côté de l’Église Notre-Dame. M. René Allain a fait de vaines recherches pour retrouver ses restes.

328 Dans la famille Aubery du Boulley.

329 Avec Mlle de La Chaud, dont il eut une fille.

330 Il occupa ces fonctions en 1741 et les occupait encore en 1775.

331 Elle coûta à Quesnay 40,000 livres. Son fils lui paya une rente de 2.000 livres.

332 Il est l’auteur d’un Éloge de Court de Gibelin (1784) et de brochures sur des questions de politique locale (1789). Du Pont de Nemours, dans une notice spéciale, a fait son éloge et en même temps celui de son grand-père.

333 Sa postérité est dans les familles de Brinon, de Lavarelle et Chaslus.

334 Insérée dans le Mercure d’août 1736.

335 Nous ne savons quel est le Dumont dont il est ici question.

336 D’après M. Lorin.

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