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Principes sur la liberté du commerce des grains


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126 Avril 1749.

127 D’Argenson.

128 Marmontel et Crawford, éditeur des mémoires de Mme du Hausset, qui devait tenir ses renseignements de Sénac de Meilhan, fils du docteur Sénac.

129 Elle avait été admise à la Cour peu de jours avant d’y accompagner Mme de Pompadour.

130 Chansonnier historique.

131 Le Roi, Compte des dépenses de Mme de Pompadour.

132 Le 30 mars 1749, en remplacement de Sinobre. Le brevet est aux Archives nationales et a été publié par M. Lorin ; il vise « la capacité du Sr Quenet et son zèle pour le service de S. M. ».

133 Almanach royal.

134 Couard-Luys, Lieu du décès de François Quesnay.

135 Lettre à son frère, dans Lomènie, Les Mirabeau.

136 Un mot de Mme du Hausset permettait toutefois de supposer que Quesnay avait un logement à Paris, où il recevait du monde. Ce renseignement est confirmé dans l’Enfance et la Jeunesse de Du Pont de Nemours racontées par lui-même, 1906.

137 1759.

138 Rappelons en passant que Quesnay avait été apprenti graveur et que Mme de Pompadour gravait habilement.

139 1. Elle était crédule. Un jour, elle alla visiter une devineresse qui lisait l’avenir dans du marc de café. Elle écoutait volontiers le comte de Saint-Germain en qui Quesnay vit de suite un charlatan. Saint-Germain prétendait qu’il faisait grossir les  perles fines, « Les perles, disait Quesnay, sont une maladie des huîtres ; il est possible d’en saisir le principe, mais M. de Saint-Germain n’en est pas moins un charlatan puisqu’il a un élixir de longue vie et donne à entendre qu’il a plusieurs siècles ; le maître en est entêté et en parle quelquefois comme étant d’une illustre naissance. »

140 En 1757. Quesnay ne la soigna pas dans sa dernière maladie ; nous dirons plus loin pour quels motifs.

141 Traité des fièvres continues.

142 « On ne veut le voir que comme le frère de la favorite, disait-il, et parce qu’il est gros, on le croit lourd et épais d’esprit. »

143 Le frère de Mme de Pompadour porta d’abord le titre de marquis de Vandièvre ; il acheta ensuite la terre de Marigny que La Peyronie avait léguée l’Académie de chirurgie et dont les revenus étaient employés en grande partie aux frais de villégiature de plusieurs membres sous prétexte de surveiller l’exploitation.

144 C’est de lui qu’elle tint l’aventure plaisante de Bernis qui, voulant être premier ministre, entreprit de persuader au Roi que, dans les temps difficiles, il fallait un point central. C’est chez Quesnay que Marigny raconta l’anecdote sur le roi de Prusse qui, après avoir annoncé qu’il voulait soutenir un homme supérieur, offrit une pension de 1200 livres. C’est encore devant Quesnay que de Gontaut raconta ce qu’avait dit le roi, après l’attentat de Damiens, sur les Parlements : « Sans ces conseillers et ces présidents, je n’aurais pas été frappé par ce monsieur ».

145 29 avril 1749.

146 Archives de la Bastille. — M. Funck-Brentano (La Bastille) donne à cette lettre la date du 7 octobre 1749.

147 Juin 1750.

148 « Danry m’a demandé avec instance de vous faire passer une lettre qu’il vous écrit. Vous la trouverez ci-jointe. Il me semble que vous lui feriez grand plaisir si vous vouliez lui rendre une visite et que cette complaisance pourrait peut-être l’engager de vous découvrir entièrement son intérieur et de vous faire un aveu sincère de ce qu’il ne m’a découvert qu’en partie. Je m’en rapporterai toujours à ce que vous penserez sur cela et me bornerai à vous renouveler ici les assurances du sincère attachement avec lequel je suis etc. » — Archives de la Bastille, minute de la lettre, 25 février 1751.

149 « Je n’ai que vous seul qui me soit permis de demander assistance, écrivait Danry, depuis que j’ai mis ma liberté entre vos mains. Pour l’amour de Dieu, je vous supplie ; daignez me faire la grâce de remettre la lettre ci-jointe le vendredi saint et intercédez pour moi, car c’est un jour de miséricorde ». La mention porte la date du 27 juin. — Le 18, Danry avait encore écrit : « La dernière fois que j’ai vu M. Berryer, il me dit en propres termes : Écrivez à M. Quesné, écrivez-y. Selon ses paroles, il faut que vous soyez chargé de plaider ma cause. » — Le 15 juillet : Croyez-vous que je ne connais pas la grandeur du mal que vous m’avez fait en me livrant et que je ne sache point que vous êtes obligé tant devant Dieu que devant les hommes à me délivrer. » — Un peu plus tard, le secrétaire Duval analyse ainsi la correspondance de Danry : « Il continue à se plaindre de M. Quesnay de ce qu’il ne lui répond pas et il l’avertit qu’il aura tous les jours une lettre de lui. »

150 Octobre 1753.

151 30 juin 1762. Dans une autre lettre du même jour, Danry dit qu’il lui a toujours été permis d’écrire à Quesnay. Il ignorait que ses lettres étaient interceptées.

Lorsqu’il s’évada, le 23 novembre 170, du donjon de Vincennes, c’est encore à Quesnay qu’il écrivit. Il reçut en réponse une fausse lettre qui lui désigna une maison où il trouverait 1200 livres. C’est là qu’il fut saisi.

Un rapport de Malesherbes, du 11 novembre 1775, constata que Danry était fou. On le mit à Charenton.


152 3 avril 1752. Le brevet est aux Archives nationales.

153 Archives nationales.

154 10 février 1752.

155 Il n’eut pas à soigner Alexandrine, fille de Mme de Pompadour, qui mourut au couvent.

156 Octobre 1752, enregistrées au Parlement le 17 avril 1753. Archives nationales. — Le 16 août 1752, Mme de Pompadour avait obtenu le tabouret et les honneurs de duchesse.

157 De Romance. — D’Angerville, Vie privée de Louis XV. — Capefigue (Mme de Pompadour) prétend sans indiquer la source, que Mme de Pompadour dessina ces armoiries.

158 Lorin, François Quesnay. — A l’enquête de noblesse ouverte, suivant l’usage, par la Cour des Aides sur l’honorabilité du nouvel écuyer déposèrent le 26 février 1755, Fresneau, premier vicaire de Saint-Germain-l’Auxerrois, Descorcher de Saint-Croix, chevalier de Saint-Louis, demeurant à l’hôtel de Villeroy, Robert Caumont, docteur en médecine. Le premier déclara connaître Quesnay depuis 12 ans, le second depuis 17 ans ; le dernier le connaissait depuis 1720 « pour être d’un rare génie et pour s’être appliqué depuis sa plus tendre jeunesse avec beaucoup de succès à sa profession ».

Les lettres furent enregistrées à la première Chambre des Aides le 5 mars 1755, puis à la Chambre des Comptes et au bureau des finances de la généralité de Paris.


D’après Grandjean de Fouchy, Quesnay eut aussi le titre de Conseiller du roi.

159 Crawford. — D’Angerville, Vie de Louis XV.

160 D’Argenson.

161 Des gouttes du général de La Mothe, croit Mme du Hausset.

162 Quesnay avait dit « Si le roi avait soixante ans, cela aurait pu être sérieux. » Capefigue prétend que Quesnay ayant exclu le bordeaux des soupers du roi ; on n’y servait que du champagne frappé.

163 Il était inspecteur général des fourrages à Valenciennes, mais il occupait déjà ces fonctions en 1747.

164 5 janvier 1757.

165 L’enfance et la jeunesse de Du Pont de Nemours.

166 Parmi les amis de Quesnay, se trouvaient aussi Leroy, auteur de l’article Ferme de l’Encyclopédie et Prévot, peintre.

167 Vie privée de Louis XV.

168 Plus exactement quinze ans.

169 1768.

170 Marquis de Mesmon. — Quesnay ne fut pas écouté ; une déclaration du 2 septembre 1754 imposa un silence absolu sur les disputes théologiques.

171 M. de Loménie estime que cette démarche n’eut pas lieu.

172 L’Enfance et la Jeunesse de Dupont de Nemours.

173 29 juillet 1757. Deux ans auparavant, le bailli avait fait parler en sa faveur « à la cause efficiente » pour un poste d’ambassadeur à Constantinople et s’était adressé l’année suivante à Bernis qui avait promis de le présenter à la marquise, mais qui ne s’était pas exécuté.

174 Loménie, les Mirabeau.

175 Archives nationales.

176 Taphanel, La Beaumelle et Saint-Cyr — Lorin.

177 D’Albon. De Romance.

178 L’enfance et ta jeunesse de Dupont de Nemours.

179 1760.

180 Grimm, le traite de« Cynique décidé », de « Vieux cynique ».

181 Mirabeau, Lettre à Longo, 1777.

182 Économistes français du 18e siècle.

183 L’art de guérir par la saignée, 1736.

184 Traité des effets et de l’usage de la saignée, nouvelle édition, 1750. Dédié au duc de Villeroy, pair de France, maréchal de camp, gouverneur de Lyon.

185 Deux pour le Traité de la saignée, 1750, 1770, sans compter l’Essai paru en 1726.

Deux pour le Traité de la gangrène, 1749 et 1771.

Trois, du vivant de l’auteur, pour le Traité de la suppuration, 1749, 1764 et 1770 ; une autre, posthume, 1776.

Trois aussi pour le Traité des fièvres continues, 1753, 1767 et 1770.

Tous ces traités sont accompagnés de Tables analytiques détaillées à l’excès et probablement faites par Hévin.


186 Le passage suivant sur l’Histoire de la Médecine a été supprimé dans la 2e édition :

« La seconde espèce de théorie est l’histoire de la théorie même. Cette espèce de théorie est plus curieuse qu’utile. C’est assez qu’on sache les choses telles qu’elles sont dans leur état présent ; il importe peu pour la pratique d’en connaître la date, le lieu de leur origine, les auteurs qui ont traité les premiers des changements qui y sont survenus et toutes les circonstances qui y ont contribué. »



187 Le Journal des Savants dit comme Haller propos de Bœrrhave (article de Burette). Quesnay s’est défendu dans la Réponse à l’écrit intitulé : Cléon à Eudoxie, 1739.

188 Les docteurs diplômés méprisaient les chirurgiens en d’autres pays qu’en France. Une querelle très vive s’éleva en Danemarck entre les membres des deux professions.

189 En remplacement du marquis d’Albert. — Son élection eut lieu le 5 mai 1751 ; il fut remplacé par Ménard de Choisy, contrôleur général de la maison du roi.

190 1751.

191 Toutefois le Financier citoyen, daté de 1757, y est visé ; mais Quesnay a pu ajouter cette indication sur les épreuves.

192 Annoncé dans l’introduction du tome VI de l’Encyclopédie. Diderot, en donnant la liste de ses collaborateurs, dit que plusieurs personnes qu’il regrettait de ne pouvoir nommer lui avaient donné des articles et l’une d’elles les articles Évidence et Fonctions de l’âme.

193 Économie animale.

194 13 février 1756. Son opinion sur la Marquise est confirmée par d’autres témoignages, notamment par les Lettres de Voltaire à D’Alembert.

195 Bouillier, Histoire des doctrines cartésiennes.

196 J. Bonar, A catalogue of the library of Adam Smith, London, 1894.

197 Papiers de Mirabeau, archives nationales. — Du Pont de Nemours a dit néanmoins que Montesquieu avait été le précurseur des Physiocrates parce qu’« il avait montré que l’étude de l’intérêt des hommes réunis en société est préférable aux recherches d’une métaphysique abstraite ». Notice abrégée, etc., 1769.

198 La première édition date de 1695, L’édition de 1707 renferme en outre le Factum de la France et des dissertations sur les grains et sur la nature des richesses.

199 « Il faut que chaque métier nourrisse son maître ou il doit fermer sa boutique. »

200 De 25 au degré.

201 1re édition. — La seconde, très augmentée, est de 1736.

202 Réflexions politiques sur les finances et le commerce, 1738.

203 Plus tard, dans un discours à l’assemblée des Économistes, Du Pont a dit encore (1773) :

« Boisguilbert, il y a 80 ans, a saisi relativement au commerce des blés toutes les vérités que nous démontrons aujourd’hui et la plupart de celles qui ont rapport à l’impôt ; il aurait été inventeur de la science économique s’il n’eût pas cru qu’il existât des revenus d’industrie plus considérables encore que ceux des champs et s’il eût bien connu le produit net de ces derniers et s’il eût su les lois physiques de la distribution et de la reproduction des richesses. » Correspondance du Margrave de Bade avec Du Pont et Mirabeau.



204 Note de la maxime 24 (édition définitive). Dans la Physiocratie, après les mots « ce qui est bien prouvé » on lit : « pour le temps ». Les mots « en un mois » sont supprimés ; au lieu de « on n’avait plus d’idée », on lit : « l’on n’avait nulle idée ».

205 Ou Réflexions sur le rapport entre l’argent et les denrées, 1746.

206 Les Physiocrates ont donné des extraite des Essais dans le Journal de l’agri-culture, en 1764. Hume était alors à Paris, comme secrétaire de l’ambassadeur d’Angleterre.

207 Les Éléments du commerce.

208 Baudeau, rendant compte de l’Histoire du Droit naturel de Hubner dans les Éphémérides du citoyen, a parlé en passant du théologien philosophe Cumberland : « Il a reconnu que le bien de tous est la souveraine loi de tous, comme le salut du peuple est celle de la société civile. Le bon évêque de Péterborough est un des plus dignes précurseurs de la Science. » Prenant ces mots à la lettre, des critiques mo-dernes en ont conclu que les Physiocrates se sont inspirés de Cumberland ; il est probable qu’aucun d’eux n’a lu les écrits de ce philosophe.

On avait cité avec aussi peu de raisons comme précurseurs des Physiocrates l’ita-lien Bandini, auteur d’un Discors economics, reproduit dans la collection Custodi, et l’anglais Asgill, auteur, de Several assertions proved in order to create another speces of money than gold (1696). Le discours de Bandini composé en 1737 n’a été publié qu’en 1773 ; l’écrit d’Asgill était inconnu très probablement en France.



209 L’abbé de Saint-Pierre ne commença a écrire qu’à cinquante ans.

210 Voici le texte de ces Maximes :

1) Les travaux d’industrie ne multiplient pas les richesses.

2) Les travaux d’industrie contribuent à la population et à l’accroissement des richesses.

3) Les travaux d’industrie occupent les hommes au préjudice de la culture des biens-fonds, nuisent à la population et à l’accroissement des richesses.

4) Les richesses des cultivateurs font naître les richesses de la culture.

5) Les travaux d’industrie contribuent à l’augmentation des revenus des biens-fonds et les revenus des biens-fonds soutiennent les travaux d’industrie.

6) Une nation qui a un grand commerce de denrées de son crû, peut toujours entretenir, du moins pour elle, un grand commerce de marchandises de main d’œuvre.

7) Une nation qui a peu de commerce de denrées de son crû et qui est réduite, pour subsister, à un commerce d’industrie est dans un état précaire et incertain.

8) Un grand commerce extérieur de marchandises de main-d’œuvre ne peut subsister que par les revenus des biens-fonds.

9) Une grande nation qui a un grand territoire et qui fait baisser le prix des denrées de son crû pour favoriser la fabrication des ouvrages de main-d’œuvre se détruit de toutes parts.

10) Les avantages du commerce extérieur ne consistent pas dans l’accroissement des richesses pécuniaires.

11) On ne peut connaître, par l’état de la balance du commerce entre diverses nations, l’avantage du commerce et l’état des richesses de chaque nation.

12) C’est par le commerce intérieur et par le commerce extérieur, et surtout par l’état du commerce intérieur, qu’on peut juger de la richesse d’une nation.

13) Une nation ne doit pas envier le commerce de ses voisins quand elle tire de son sol, de ses hommes et de sa navigation, le meilleur produit possible.

14) Dans le commerce réciproque, les nations qui vendent les marchandises les plus nécessaires et les plus utiles ont l’avantage sur celles qui vendent des marchandises de luxe.


211 Voir à ce sujet Vincent de Gournay.

212 Mémoire sur les prêts d’argent, 1770.

213 Du Pont de Nemours et l’École Physiocratique

214 Auf Grund ungedrucker Schriften François Quesnays, 1890. — Le manuscrit, généralement dénué d’orthographe, est porté au catalogue de la Bibliothèque sous la rubrique : Économie politique par Quesnay (acquisitions nouvelles n° 1900) avec la mention : « Ce manuscrit est tiré de la bibliothèque de Théophile Man-dar ». Mandar était publiciste sous la Révolution ; son frère a donné son nom à une rue de Paris.

215 Une table analytique placée à la fin du manuscrit porte : « État de la population en France depuis 1600 jusqu’à 1760. » Cette table ressemble beaucoup à celles qui terminent les ouvrages médicaux de Quesnay et qui sont attribuées à Hévin. Elle peut avoir été faite après la rédaction de l’article qui doit être antérieur à 1760.

216 1758, in-12. Plusieurs fois réimprimé et traduit à l’étranger. Du Pont (Notice abrégée) met par erreur le livre à l’année 1759. Barbier l’a attribué faussement à Quesnay ; Marmontel parle, dans ses Mémoires, de Patullo.

Barbier attribue tout aussi faussement à Quesnay l’Essai sur l’administration des terres, 1759 (par Bellial des Vertus, d’après le privilège). On rencontre dans cet ouvrage des phrases telles que celle-ci : « La véritable richesse d’un État consiste dans le nombre de ses habitants. » L’auteur dit qu’il a séjourné dans le Poitou en 1740. Il est inconnu. (Correspondance littéraire, 1er octobre 1759.) Sur le dos de l’exemplaire de la Bibliothèque nationale, quelqu’un a mis le nom de Quesnay ; de  là probablement l’erreur de Barbier que M. de Lavergne a depuis longtemps relevée.



217 Marmontel, Mémoires. — Du Pont de Nemours Sur les Mémoires de Mar-montel.

218 C’est le 2 mai 1757 que Mirabeau en envoya un exemplaire à son amie, la com-tesse de Rochefort ; c’est à peu près à la même époque qu’il dut en faire remettre un à Quesnay, car il parle pour la première fois de celui-ci à son frère le bailli dans une lettre du 29 juillet et il en parle comme d’une nouvelle conquête. — Loménie, les Mirabeau.

219 Il rapporta 85.000 francs aux libraires.

220 Lettre à Longo, 28 août 1777, dans Lucas Montigny.

221 Lettre à Cideville, 26 novembre 1758.

222 Il écrivit à son frère le 23 octobre 1759 : « Mes principes sont qu’en fait de chose publique, il faut la preuve ou rien. Mes conditions dans le cas où ils vou-draient s’y frotter, ce qui n’est guère probable, car il n’est pas juste qu’ils se don-nassent des cochers qui les fouetteraient, serait : 1° que tu fusses à ta place (c’est-à-dire au ministère de la marine) ; 2° que j’eussse la place de surintendant avec pouvoir absolu dans cette partie, n’ayant à traiter qu’avec le maître seul, ou sup-posé qu’il voulût un tiers, avec Monsieur le Dauphin. »

223 Quesnay était de 20 ans plus âgé. Le marquis de Mirabeau est né, en effet, à Pertuis en Provence, en 1715.

224 Précis de l’ordre légal.

225 Archives nationales : Papiers de Mirabeau.

226 Mirabeau l’a reconnu : « Le principes de ma science ne sont point moi, j’avais plus de quarante ans quand je les ai adoptés et il me fallut pour cela faire sauter à mon amour propre la barrière du désaveu de l’ouvrage auquel je dois ma célébrité et mon nom public, courber le front sous la main crochue de l’homme le plus anti-pathique à ma chère et natale exubérance, le plus aigre aux disputes, le plus impla-cable à la résistance, le plus armé de sarcasme et de dédain. »

Dans les démêlés qu’il eut avec sa femme ; celle-ci ou ses conseils publièrent que Quesnay était le véritable auteur des ouvrages du Marquis.



227 Après l’Essai de Patullo, ainsi qu’il résulte d’une note de l’Ami des hommes.

228 Du Financier citoyen.

229 Le questionnaire était accompagné d’une annonce où on lit : « Les citoyens zélés pour le bien de l’État qui voudront répondre en particulier à quelques-unes des questions suivantes pourront rendre leurs réponses publiques en les faisant imprimer dans le Journal économique. »

Il était précédé en outre d’un Avertissement où Mirabeau disait que le travail n’était pas de lui. « On le reconnaîtra aisément », ajoutait-il ; et en effet, sur beaucoup de points, il est en opposition avec les premières parties de l’Ami des hommes.

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