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Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles parus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quotidien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuellement y réagir de manière appropriée.



GENOCIDE ARMENIEN

Martin Schultz dément avoir évoqué la question du génocide arménien

NAM


Parlement Européen

Dans un courrier adressé à PanARMENIAN.net, le bureau du Président du Parlement européen Martin Schhultz, dément et demande que soit rectifiée l’information selon laquelle il aurait évoqué une précondition à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Asbarez aurait repris un point presse de février 2012 entre le président Schultz et Egemen Bagis qui recommande aux autorités turques de : “faire face à votre propre histoire et vous devriez permettre des enquêtes indépendantes au sujet de votre histoire, et si les enquêtes indépendantes viennent à la conclusion que c’est un génocide, il faut le reconnaître , mais je pense que c’est d’abord à la Turquie elle-même de résoudre le problème.“

Puis-je tout de même attirer votre attention aussi à la résolution du Parlement européen du 27 Septembre 2006 qui stipule que le Parlement européen : 56. Prend note de la proposition de la Turquie d’établir un comité d’experts qui devrait être placé sous les auspices de l’Organisation des Nations Unies en vue de surmonter les expériences tragiques du passé, et la position de l’Arménie en ce qui concerne cette proposition; demande instamment au gouvernement turc et au gouvernement arménien à poursuivre le processus de réconciliation pour aboutir à une proposition mutuellement acceptable; se félicite du fait que, dans les récents débats en Turquie, un début au moins ont été accomplis dans la discussion sur l’histoire douloureuse avec l’Arménie ; souligne que, bien que la reconnaissance du génocide arménien en tant que telle n’est pas formellement un des critères de Copenhague, il est indispensable qu’un pays sur le chemin de l’adhésion aborde et reconnaisse son passé ; exige à cet égard les autorités turques pour faciliter le travail des chercheurs, des intellectuels et des universitaires travaillant sur cette question, en leur garantissant l’accès aux archives historiques et de leur fournir tous les documents pertinents; exhorte la Turquie à prendre les mesures nécessaires, sans conditions préalables, à établir des relations diplomatiques et de bon voisinage avec l’Arménie, de lever le blocus économique, et d’ouvrir la frontière terrestre à une date rapprochée, conformément aux résolutions adoptées par le Parlement européen entre 1987 et 2005, répondant ainsi aux priorités du partenariat pour l’adhésion et les exigences du cadre de négociation sur les « règlement pacifique des différends frontaliers sur« qui sont à la fois obligatoires l'adhésion à l’UE ; considère qu’une position similaire devrait être adoptée pour les cas des autres minorités (par exemple les Grecs du Pont et les Assyriens)“

Martin Schulz “Nous n’avons pas soulevé la question [du génocide arménien], parce que M. Bagis connaît ma position et il sait la position du Parlement européen. Nous avons discuté de la question du génocide un certain nombre de fois et dans les résolutions du Parlement européen. J’ai toujours été très prudent sur cette question. Mon opinion personnelle est connue, mais j’ai toujours été très réticent à la commenter parce qu’en tant qu’Allemand je connais aussi l’histoire de mon pays et le rôle que l’armée impériale d’Allemagne a joué par le passé.

vendredi 21 septembre 2012,
Jean Eckian ©armenews.com


Lire aussi:

Le Parlement européen demande à la Turquie de reconnaître le génocide arménien

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=61236


http://www.armenews.com/article.php3?id_article=82787
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67355


Turquie
Un historien kurde parle du Génocide arménien en 1915
NAM

Le journal turc Taraf a fait une interview d’un célèbre historien Kurde Naci Kutlay. Le site Armenian News-NEWS.am a présenté un extrait de l’interview où Kutlay parle des Kurdes et de leur rôle dans le génocide arménien.



Les massacres des Arméniens ont été commis pendant le boom nationaliste ?

Nous devons savoir une chose - les Arméniens ont établi leur parti en 1889 et se sont déplacés dans la phase de la bourgeoisie, tandis que les Kurdes n’étaient pas même conscients du système féodal développé. Dans cette période tout a commencé à être difficile pour les Arméniens. Et les Jeunes Turcs ont commencé à effrayer les Kurdes avec les Arméniens.



Les Kurdes ont-ils joué un rôle dans la perpétration des massacres des Arméniens ?

Ils ont joué un grand rôle, car la majorité des Arméniens a été abattue par les Kurdes.

Après ces événements presque aucun Arménien n’a été laissé en Anatolie, tandis que ceux qui sont restés ont caché leur identité. Pourquoi les Kurdes ont toujours peur des Arméniens ?

Je suis désolé mais la question est toujours d’actualité. Les Jeunes Turcs ont dit aux Kurdes que s’ils ne coopérèrent pas avec les Jeunes Turcs dans leur lutte de libération, les Arméniens reviendront et établiront leur pays. Cela a sonné comme un verdict pour les Kurdes.



Est-ce qu’il est possible que le silence continu des Turcs et des Kurdes sur les massacres des Arméniens soit lié au vol des propriétés des Arméniens ?

C’est un facteur très énorme. Si vous arrivez jamais à être un invité dans une maison de Diyarbakir, vous serez servis exclusivement avec des plats arméniens.

vendredi 21 septembre 2012,
Stéphane ©armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=82662
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67371
FRANCE/AZERBAIDJAN/ARMENIE

Hollande reçoit discrètement les dictateurs

Le Figaro

Par Thomas Vampouille Mis à jour le 20/09/2012 à 15:48 | publié le 20/09/2012 à 14:58

Alors que la gauche a reproché à Nicolas Sarkozy les visites de Kadhafi ou d'el-Assad, François Hollande, rattrapé par la realpolitik, a reçu depuis mai plusieurs dirigeants de régimes peu démocratiques.

François Hollande a-t-il renié sa promesse d'un changement de politique à l'égard des régimes dictatoriaux? «Présider la République, c'est ne pas inviter les dictateurs en grand appareil à Paris», assénait le candidat à la présidentielle dans son discours du Bourget, en janvier 2012. Avec, en creux, le rappel des visites de Mouammar Kadhafi et de Bachar el-Assad au temps de Nicolas Sarkozy. Quelques mois plus tard, du président gabonais Ali Bongo au fils du roi d'Arabie saoudite, la liste des chefs d'États peu démocratiques reçus à l'Élysée est déjà conséquente.

Dernier en date, invité mardi au palais pour un entretien d'une demi-heure: le président azerbaïdjanais Ilham Aliev. Pas tout à fait un démocrate, puisque la dynastie des Aliev, au pouvoir dans ce pays depuis vingt ans, est accusée par les ONG de défense des droits de l'homme de réprimer l'opposition et la liberté d'expression. Quant à Ilham Aliev lui-même, il a ravivé début septembre les tensions avec l'Arménie, en graciant un officier condamné pour le meurtre d'un militaire arménien. «On ne peut pas accepter qu'Aliev, un dictateur, puisse être en France, et en plus être reçu à l'Élysée», s'est insurgé mardi Hratch Varjabedian, directeur du Bureau français de la cause arménienne, tandis que 600 manifestants accueillaient le chef d'État au cri d'«Aliev fasciste, hors de France!»



«C'est quand la France est silencieuse qu'elle recule»

Conscient du caractère sensible de cette visite, l'Élysée a interdit ce jour-là aux photographes de presse d'accéder à la cour du palais. Et a pris soin, après la rencontre, de publier un communiqué affirmant que «le président de la République a appelé l'Azerbaïdjan à prendre les mesures nécessaires pour rétablir un climat de confiance avec l'Arménie». Une discrétion qui avait été poussée encore plus loin deux mois plus tôt, le 23 juillet, lors de la visite du roi de Bahreïn. Cette rencontre n'avait même pas été inscrite à l'agenda présidentiel. Et pour cause: le roi Hamad Ben Issa al-Khalifa est accusé d'avoir maté dans le sang, grâce au soutien de l'Arabie saoudite, un début de révolte en 2011. Soixante morts, selon Amnesty International, qui a dénoncé «le caractère quasi secret» de la rencontre de juillet.

«C'est quand la France est frileuse ou silencieuse qu'elle recule», affirmait pourtant le président dans son discours aux ambassadeurs, le 27 août, ajoutant qu'il fallait encourager «l'aspiration démocratique» des peuples, notamment «des printemps arabes». Alors, la realpolitik l'a-t-elle déjà emporté face à ces principes?

«C'est l'éternel débat entre la nécessaire politique des droits de l'homme et les tout aussi nécessaires contacts avec tous les dirigeants de la planète», analyse Didier Billion, directeur des études à l'Iris. Pour ce spécialiste des relations internationales, le fait que le président de la République rencontre des dictateurs ne pose pas de problème en soi. À deux conditions: «D'abord, il faut veiller à ne pas décrédibiliser la parole présidentielle en faisant des déclarations tonitruantes sur les droits de l'homme aussitôt contredites par les faits. Ensuite, la manière a son importance: on peut effectivement organiser ces rencontres plus discrètement, sans le décorum qui avait entouré par exemple la venue de Kadhafi». De ce point de vue, l'engagement formulé de manière ambiguë par François Hollande au Bourget paraît respecté: les dictateurs ne sont plus reçus «en grand appareil».



http://www.lefigaro.fr/international/2012/09/20/01003-20120920ARTFIG00594-hollande-recoit-discretement-les-dictateurs.php

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67370

L'ambassadeur azebaidjanais répond à l'un de nos blogueurs

Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles parus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quotidien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuellement y réagir de manière appropriée.

Le Huffington Post



Elchin Amirbayov

Publication: 18/09/2012 06:00

L'Arménie occupe depuis plus de 20 ans près de 20% du territoire de l'Azerbaïdjan en dépit de quatre résolutions des Nations Unies, de résolutions du Conseil de l'Europe et du Parlement Européen, demandant le retrait complet et immédiat de ses forces. La France, qui est co-présidente du groupe de Minsk de l'OSCE chargée de trouver une solution pacifique au conflit du Haut Karabakh, connait ces faits et travaille à convaincre les autorités de Erevan de suivre ces résolutions. L'un des pires épisodes de la guerre du Haut Karabakh fut le massacre de Khodjali du 26 Février 1992, qui par son ampleur (613 morts dont 106 femmes et 83 enfants), est comparable à celui d'Oradour sur Glane (642 victimes hommes, femmes, et enfants). Le rôle de Serzh Sargsyan, chef des forces d'auto-défense de la république autoproclamée du Nagorno-Karabakh à l'époque et actuel président de la République d'Arménie est confirmé par ses propres déclarations: "Avant Khodjali, les Azerbaidjanais pensaient... que les Arméniens étaient un peuple qui ne lèverait jamais la main contre une population civile. Nous avons prouvé que nous en étions capables, et c'est ce qui est arrivé".

Est-il utile de rappeler que mon compatriote Ramil Safarov est né en 1977 dans la ville de Jabrayil prise par les forces arméniennes en août 1993, et depuis cette date toujours sous leur contrôle. Les membres survivants de sa famille ont fui en 1991 comptent toujours parmi les 850 000 déplacés internes sur le territoire de l'Azerbaïdjan. Dans d'autres régions du monde, une politique systématique d'expulsion des populations de leur territoire s'appellerait de « l'épuration ethnique ». Selon les chiffres de l'Office du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, l'UNHCR, l'Azerbaïdjan est le pays qui compte le plus grand nombre de réfugiés et personnes déplacées par tête d'habitant de la planète.

Sans justifier les circonstances du meurtre commis par Monsieur Safarov, je rappelle que celui-ci a exécuté neuf ans de prison et qu'il a été extradé dans le strict respect des dispositions légales internationales notamment la Convention sur l'extradition du Conseil de l'Europe de 1983. Il a été amnistié par droit de grâce présidentielle. Les autorités arméniennes ne peuvent s'étonner de telles dispositions puisque en avril 2001, la France a décidé de libérer vers l'Arménie Varujan Karapetyan condamné à la prison à vie pour l'attentat terroriste de l'aéroport d'Orly en 1984 qui fit 8 morts dont 4 citoyens français. Il fut immédiatement amnistié par les autorités arméniennes, accueilli en héros par le premier ministre et récompensé. Le maire d'Erevan s'activa pour lui fournir un emploi et un appartement. En 1984, les autorités américaines libérèrent Gurgen Yanikyan condamné à la peine capitale pour l'assassinat de diplomates turcs, et enfin, en 1989, la France à nouveau libéra Malko Melkonyan qui avait organisé l'attaque contre le Consulat turc à Paris dans laquelle un diplomate mourut et un autre fut blessé. Monsieur Ramil Safarov a été jugé et condamné pour un meurtre et pas pour un attentat terroriste.

Dés lors vous comprendrez que les menaces proférées par l'ASALA, organisation terroriste arménienne responsable d'un bon nombre d'attentats sur la planète appelant publiquement à l'assassinat de diplomates azerbaidjanais en poste à Budapest, ne puissent qu'être prises au sérieux.

Il est fort dommage que les autorités arméniennes utilisent la libération de Monsieur Safarov pour faire un show afin de bloquer une fois de plus le processus des négociations de paix menées par le groupe de Minsk, et coprésidé par la France.

http://www.huffingtonpost.fr/elchin-amirbayov/lambassadeur-azebaidjanais-repond-a-m-leylekian_b_1890619.html?utm_hp_ref=international

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67369

Dépêche de l'APA [ 20 sept 2012 15:56 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 20 septembre 2012. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA


L’ouverture du Centre culturel azerbaïdjanais à Paris

[ 20 sept 2012 15:56 ]

Bakou – APA. Le 19 septembre à Paris s’est tenue la cérémonie d’ouverture du Centre culturel azerbaïdjanais, créé avec le soutien de la Fondation Heydar Aliyev et de l’ambassade d’Azerbaïdjan en France.

La cérémonie a été marquée par la présence du président de la République d’Azerbaïdjan Ilham Aliyev et de son épouse Mme Mehriban Aliyeva.

Comme rapporte APA citant Azertac, le chef de l’Etat et son épouse ont parcouru le centre.

Il a été noté que le Centre culturel azerbaïdjanais, situé non loin de la Tour Effel, au centre de Paris, est l’un des pas très importants faits afin de faire connaître l’Azerbaïdjan dans la capitale culturelle mondiale. Cet événement culturel d’une importance particulière contribuera à la reconnaissance à haut niveau de l’Azerbaïdjan qui est devenu, comme une force motrice de la plate-forme de dialogue entre les cultures et civilisations, l’objet d’attention au niveau international. Le centre où sont présentées les pièces exposées reflétant l’histoire ancienne et riche de l’Azerbaïdjan et sa culture offre de grandes possibilités pour l’officialisation des travaux effectuées dans ce sens par l’Azerbaïdjan qui se distingue dans la vie culturelle de Paris par son activité.

Le Centre culturel azerbaïdjanais est aussi une illustration de l’intérêt infini pour l’Azerbaïdjan.
Une partie importante des événements organisés par Mme Mehriban Aliyeva, Première Dame d’Azerbaïdjan, présidente de la Fondation Heydar Aliyev, est liée à la vie culturelle de Paris. Le nouveau foyer culturel contribuera largement à l’intensification davantage des travaux dans ce domaine, à leur gestion d’un seul centre et à la formation de l’activité plus efficace.

Il a été noté que le centre est situé dans un bâtiment historique construit en 1904. Ce centre dont la superficie constitue trois mille m2 sera une sorte de foyer culturel azerbaïdjanais à Paris et permettra largement à l’organisation de différents événements humanitaires relatifs à l’Azerbaïdjan.

Le président Ilham Aliyev a élevé le drapeau national azerbaïdjanais dans la cour du Centre culturel azerbaïdjanais.

Il a été noté que toutes les conditions nécessaires avaient été créées pour l’organisation de différents événements, que les salles avaient été équipées du matériel nécessaire. Les objets reflétant la culture azerbaïdjanaise y sont exposés, ce qui constitue la particularité essentielle du centre. Dans ce centre composé de différentes salles d’exposition sont présentées des pièces exposées reflétant l’histoire d’Azerbaïdjan.

Il a été indiqué que le Centre culturel azerbaïdjanais est également doté d’une riche bibliothèque qui offre une masse de littérature azerbaïdjanaise traduite en français.

Les œuvres des jeunes peintres sont également exposées au centre. C’est pourquoi la fondation du centre est un événement d’une importance cruciale du point de vue de la présentation à la communauté française des œuvres d’art moderne qui est en développement en Azerbaïdjan. C’est aussi l’illustration de l’importance qu’on attache à l’art moderne en Azerbaïdjan.

Pendant la visite du centre le président Ilham Aliyev et son épouse Mehriban Aliyeva ont été informé qu’une large place y avait été réservée à la promotion de la musique azerbaïdjanaise. Une salle de mougham a été créée, des instruments anciens azerbaïdjanais sont exposés. En plus, on y apprendra à préparer les plats azerbaïdjanais.

Le président Ilham Aliyev a contemplé la vue sur Paris depuis l’étage supérieur du bâtiment.

Le chef de l’Etat a signé le Livre d’or du Centre culturel azerbaïdjanais.

Après le parcours du centre, une photo de souvenir a été prise.



http://fr.apa.az/news.php?id=17806

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67341

Dépêche de l'APA [ 20 sept 2012 18:31 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 20 septembre 2012. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA


Le stand de Karabakh par les arméniens à l’exposition internationale « Top Resa 2012 » à Paris empêché

[ 20 sept 2012 18:31 ]

Zohra Aliyeva : « Les informations sur que les azerbaïdjanais détruisent le stand « Voyage à Karabakh » ne sont pas vraies »

Bakou. Ulkar Rachidgizi – APA. Les arméniens ont été représentés par la société « Voyage à Karabakh » à l’exposition internationale « Top Resa 2012 » à Paris. Dans son entretient à l’APA, la porte-parole du Ministère azerbaïdjanais du Tourisme et de la Culture Zohra Aliyeva a déclaré que l’Azerbaïdjan est représenté depuis plusieurs années dans cette exposition et les arméniens ont exposé le stand de Karabakh pour sa première participation : « A la suite des plaintes de Ministère azerbaïdjanais du Tourisme et de la Culture et l’ambassade en France, ce stand a été annulé. Nous sommes également dans les mesures de précautions prises à l’avance. Je vais vous dire que les arméniens, et cette fois, allaient faire un stand séparé sur le Haut-Karabakh, mais nous et notre ambassade ont exprimé sa protestation à ce sujet, et ils ne pouvaient pas réaliser leurs projets. Au lieu de cela, ils ont mis le pied se dit « Voyage à Karabakh ».

Z. Aliyeva a noté que, en dépit de leur demande aux organisateurs de retirer le support « Voyage à Karabakh », ils ont dit que c’était impossible, « Ils ont dit à notre affirmation selon laquelle ils peuvent présenter leurs observations sur la question, car il n’est pas autorisé exposer un support séparé. Soi-disant cette société, et ils sont guidés par le principe selon lequel l’entreprise peut donner n’importe quel nom. Position arménienne « Voyage à Karabakh » était gris et ne pas attirer l’attention des visiteurs. En attente d’Azerbaïdjan sur le Karabakh sont des matériaux spéciaux, des cartes, des CD, des albums de Choucha, Khankendi et dans les territoires occupés ».

Quant à l’information de la presse arménienne sur le fait que le stand « Voyage à Karabakh » a détruit par les azerbaïdjanais, Zohra Aliyeva a nommé cette information est fondamentalement faux et voir ce que l’autre provocation des arméniens: « Les membres de la délégation de l’Azerbaïdjan, les azerbaïdjanais ont la haute culture et du savoir toutes les lois internationales. Ceci est un mensonge et une provocation des arméniens. Nous avons informé les organisateurs de cette information, et ils ont exprimé une vive protestation à ce sujet. Ce n’était pas, et ne peut pas être ».

La délégation était composée de l’administrateur général du ministère du Tourisme et de la Culture Rauf Pashayev, Consultante de secteur du tourisme et de marketing Leila Verdiyeva, porte-parole du ministère Zohra Aliyeva, directeur de l’oléoduc Tourisme Centre d’information de Bakou Zakir Aliyev, 2 employés de Company fermé « AzTV ».

L’exposition comportait quatre agences de tourisme locale - « Géo Travel», « Gilan Tourisme », « Millenium Tourisme et des Congrès DMC » et « SW travel ». En outre, une zone d’affichage de 71,25 mètres carrés, ce qui reflète le potentiel touristique de l’Azerbaïdjan. Également attribuer une place spéciale pour l’entreprise « Azerbaijan Airlines ».



http://fr.apa.az/news.php?id=17807

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67363

Dépêche de l'APA [ 21 sept 2012 11:41 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan
Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 21 septembre 2012. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA


Araz Azimov: « Comme avant la libération de Safarov dans le règlement du conflit du Haut-Karabakh eu quelques changements ? »

[ 21 sept 2012 11:41 ]

« Peut-être un abus de cette position les coprésidents, pas un travail remarquable coopération sérieuse en vue de résoudre le conflit »

Bakou. Victoria Dementieva - APA. « Quelqu’un avait besoin d’une excuse, alors ils l’ont trouvé dans la « question de Ramil Safarov. » Comme avant la libération de Safarov dans le règlement du conflit du Haut-Karabakh eu quelques changements ? Les arméniens ne nous ont donné un peu d’espoir pour la résolution du conflit? » a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Araz Azimov, commentant la question de l’extradition et le pardon ultérieur officier azerbaïdjanais Ramil Safarov.

Araz Azimov a critiqué le Groupe de Minsk de l’OSCE pour la position qu’ils ont prise dans cette affaire, « abus les coprésidents peut-être cette situation, puisque l’Arménie et l’OSCE Groupe de Minsk sont très jugements négatifs « question Safarov ». Les coprésidents sorti leur communiqué a souligné que, après le règlement de la question des conflits par des moyens pacifiques compliqué. Cependant, je vous le déclare, dans ce processus et à remettre « question Safarov », il n’y avait pas de développement, et les arméniens sont constamment respectées par position négative dans les négociations. Les coprésidents ont également remporté le moment, nous sommes allés là-bas, est venu ici, mais pour être franche ne se distinguent pas du travail sérieux ».
http://fr.apa.az/news.php?id=17813
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67357
FRANCE/COMMUNAUTE ARMENIENNE

Changement à la présidence du Comité de coordination des Arméniens
Le Meilleur de Marseille
En attendant des élections « vraiment démocratiques », qu’ils ne sont pas en capacité d’organiser actuellement, les Arméniens de Marseille se donnent tous les ans un nouveau président du CCAF, le Conseil de coordination des 32 organisations arméniennes de Marseille.

Toutes les sensibilités sont donc appelées à prendre la barre. Après Jacques Donabédian puis Julien Harounyan, voici Elyane Kazandjian pour 2012/2013.

Ou plutôt la revoici. Car cette fonctionnaire territoriale du conseil général des Bouches-du-Rhône a déjà présidé le CCAF en 2009.

Julien Harounyan, past président, devient son porte-parole.

Publié le 18 septembre 2012 à 07h44
http://www.lemeilleurdemarseille.fr/bloc-notes/15271-changement-a-la-presidence-du-comite-de-coordination-des-armeniens
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67376
FRANCE

L'(autre) Islam rayonne au Louvre

Le Point.fr - Publié le 20/09/2012 à 20:09

Sous sa verrière mordorée, le nouveau pavillon des arts de l'Islam déploie ses trésors.

Par Marion Cocquet

"Au coeur d'al-Rusafa, il m'est apparu un palmier/Exilé des siens sur la terre d'Occident, loin du pays des palmiers/Je lui dis : tu me ressembles dans l'exil et l'éloignement/Et dans l'immensité qui me sépare de mes enfants et de mes gens/Tu as poussé sur une terre où tu es un étranger/Et je suis comme toi au bout du monde, et tu es comme moi dans l'exil/Tu t'abreuves de la rosée du nuage de l'aube qui s'écoule/Tandis que l'averse fouette tes plus hautes branches." Un poème arabe du VIIIe siècle, dit par une voix de femme, accueille le visiteur. On entendra, plus loin, sonner la poésie persane et turque. "Exilé sur la terre d'Occident", le nouveau pavillon des arts de l'Islam, au Louvre, recrée et rassemble douze siècles d'une civilisation à l'inouïe richesse, étendue des rivages de l'Atlantique jusqu'aux confins de l'Inde.

Le projet de mettre à l'honneur ces collections dans un nouvel espace - aux 15 000 pièces d'origine s'en sont ajoutées 3 000 autres, déposées par les Arts décoratifs - existe depuis plus de dix ans. Ironie du sort, l'ouverture du pavillon a coïncidé avec l'embrasement du monde musulman après la diffusion du film islamophobe Innocence of Muslims. Certains se satisfont du contre-point : François Hollande, en visitant les lieux mardi, a ainsi déclaré que "l'honneur des civilisations islamiques" était "d'être plus anciennes, plus vivantes, plus tolérantes que certains de ceux qui prétendent abusivement parler en leur nom" : "Quel plus beau message que celui livré ici ? (...) Dans cette profusion d'oeuvres on comprend que les meilleures armes pour lutter contre le fanatisme qui se réclame de l'islam se trouvent dans l'islam lui-même", a-t-il ajouté.



"Une fête de l'esprit et des yeux"

Sophie Makariou, directrice du département, acquiesce. "Il s'agit de monter l'Islam, avec un grand I", expliquait-elle mardi. Soit l'Islam de la civilisation plutôt que de la seule religion. Un Islam qui rassemble les cultures andalouses, ottomanes, persanes, mameloukes. Qui brasse des langues diverses et des peuples différents, y compris non musulmans. "Le mot Islam, il faut l'assumer, lui redonner sa grandeur, il faut le porter, il ne faut pas le laisser aux djihadistes", ajoutait-elle. Alors que les tensions se sont aiguisées avec la publication de caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo, la conservatrice prévient toutefois que les objets présentés, si merveilleux soient-ils, "ne peuvent être les avocats des horreurs contemporaines". "Il faut les laisser être ce qu'ils sont : de très belles choses, souligne-t-elle. On est invité ici à une fête de l'esprit et des yeux."

La métaphore est juste : on visite le pavillon comme l'on voyagerait. On découvre d'abord, dans le "rez-de-cour", la vaste verrière mordorée imaginée par Mario Bellini et Rudy Ricciotti, qui laisse apparaître les façades de la cour Visconti. Une "aile de libellule" pour les architectes - une dune, un tapis volant ou un dos de dragon pour d'autres -, protégée d'une résille de métal qui laisse pénétrer en la filtrant la lumière naturelle et donne sur les oeuvres du VIIe au XIe siècle. Un escalier coulé d'une pièce dans un béton noir mène au "parterre" où la visite se poursuit : dans une demi-pénombre luisent les trésors du XIe au XVIIIe siècle. Ici, des poignards et des sabres ciselés, damasquinés, incrustés de pierres précieuses. Plus loin les céramiques d'Iznik et de Kütahya qui joignent le bleu de cobalt, le vert émeraude, le rouge rubis. Ailleurs des moucharabiehs, des tapis d'Inde, de Turquie et d'Iran, puis un porche mamelouk du XVe siècle, reconstruit pièce à pièce et qui, placé entre deux parties de la salle, redevient lieu de passage.

L'écriture comme sommet de l'esthétique

L'unité de ces oeuvres si diverses ? Peut-être, d'abord, l'écriture. Chaque vitrine en témoigne : elle est partout et devient une matière d'invention infinie, sur laquelle on ne cesse de jouer. "Cette place est tout à fait singulière, souligne Sophie Makariou, et existe dès le début des civilisations islamiques : on trouve dès le VIIe siècle une écriture parfaitement normée et régulière, une calligraphie harmonieuse, qui utilise l'art des nombres." Celui-ci est également omniprésent, exprimé aussi bien, explique la conservatrice, "dans des décors géométriques que dans des décors floraux, comme dans le grand mur de céramique ottomane qui clôt la visite". "Partout se manifeste, ajoute-t-elle, le goût pour la précision du dessin, la recherche systématique de la perfection, du raffinement."

Les vedettes de la visite ? Le lion de Monzón en bronze, créé en Espagne vers le XIIe siècle, qui servait de bouche de fontaine et semble prêt à bondir. Le baptistère de Saint-Louis, d'origine mamelouke, qui servit pendant des siècles au baptême des enfants royaux de France. Ou l'un des premiers objets de la collection : une aiguière en cristal de roche, qui fut réalisée au Caire au tout début du XIe siècle et offerte au trésor de l'abbaye de Saint-Louis en 1152. Sophie Makariou leur préférerait presque une autre pièce : un petit bol d'apparence modeste, fait d'une terre cuite de couleur pâle et couvert d'un décor végétal en relief. "Il est tout à fait singulier, parce qu'il porte une inscription en arabe qui n'a pu encore être déchiffrée et qu'il ne porte pas ces glaçures qui rendaient les céramiques imperméables." Or, dans le monde arabe, rappelle-t-elle, on préfère alors les objets sans glaçures. Pour leur fraîcheur, mais aussi, comme le disent les poèmes, parce que l'on aime le goût de la terre.

http://www.lepoint.fr/culture/l-autre-islam-rayonne-au-louvre-20-09-2012-1508474_3.php

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67347

L’investissement des mécènes étrangers au musée du Louvre

La Croix

20/9/12 - 17 H 09 mis à jour le 20/9/12 - 17 H 33

La fondation du prince saoudien Al Walid et les États du Koweït, d’Oman, de l’Azerbaïdjan et du Maroc ont financé plus de 43 % du projet

C’est un cas unique dans l’histoire des musées français : la création du département des Arts de l’Islam au Louvre a été financée pour plus de la moitié par des dons et du mécénat privé (30 millions d’euros) et l’apport de quatre pays étrangers : le Maroc, le Koweït, le sultanat d’Oman, l’Azerbaïdjan (26 millions d’euros). Sur une enveloppe totale de 98,5 millions d’euros, l’État français n’a versé que 31 millions d’euros, soit moins du tiers, auquel s’ajoutent 11,5 millions d’euros pris sur les réserves du Louvre (1). « Cette idée d’un mécénat fort était au cœur de notre projet initial. Car nous voulions un écrin à la hauteur de l’importance de cette civilisation », souligne Hervé Barbaret, administrateur général du Louvre.

Lieu privilégié de l’entente entre les cultures

Le prince saoudien Al Walid, premier grand mécène associé au projet, voit le Louvre comme un « lieu privilégié de l’entente entre les cultures ». Sa Fondation Alwaleed Bin Talal a donné 17 millions d’euros. Son vœu ? « Que ces espaces inspireront l’intelligence et la tolérance dont notre monde a tant besoin en offrant aux visiteurs de toutes les régions du globe un aperçu de l’essence de la civilisation et de la culture islamique », lit-on en préface du catalogue.

Des gestes forts de plusieurs États ont suivi. « Il y a cinq ans, l’émir du Koweït est venu visiter le Louvre et son directeur de cabinet a remis un chèque de 5 millions d’euros », raconte Hervé Barbaret. Oman et l’Azerbaïdjan se sont engagés au même moment. Et en 2009, un courrier de l’Élysée, puis une visite du président du Louvre Henri Loyrette à Rabat, ont convaincu le roi Mohammed VI du Maroc de s’engager à son tour.

« Le Metropolitan museum de New York, entièrement financé par des dons privés, a engagé la rénovation de son département d’Art islamique juste après les attentats contre le World Trade Center. Du coup, les mécènes arabes n’ont pas été autorisés à s’associer au projet. Le Louvre leur a permis de se rattraper, analyse Sophie Makariou, directrice du nouveau département. Mais il était important d’avoir d’autres mécènes comme l’Azerbadjian. Car nous voulons refléter la diversité de l’Islam, l’apport essentiel des Persans, par exemple. »



Faire rayonner l’Islam au-delà de ses frontières

Cet engagement de grands mécènes étrangers a aussi une dimension très politique. Il s’agit, à travers l’art, de faire rayonner l’Islam au-delà de ses frontières. Et quand d’autres pays, comme l’Égypte en 2011, s’en prennent aux musées occidentaux en les accusant d’avoir spolié certains de leurs chefs-d’œuvre, leur pari semble au contraire conforter l’utopie universaliste à l’origine du musée, créé dans les années révolutionnaires pour que des cultures différentes se rencontrent.

« La seule contrepartie accordée à ces mécènes étrangers a été d’inscrire leur nom dans le nouveau département des arts de l’Islam », précise Hervé Barbaret. « À aucun moment, ils n’ont tenté d’intervenir sur le contenu des œuvres présentées. Notre liberté a été totale », renchérit Sophie Makariou.

Treize millions d’euros ont été apportés par d’autres mécènes, notamment de grandes entreprises françaises comme Total (via sa fondation, 6 millions), Lafarge (4,5 millions), Bouygues Construction (1 million), et des donateurs privés. Fin 2011, le Louvre avait lancé un appel à la générosité publique pour financer la restauration d’un porche égyptien d’époque mamelouke et d’un moucharabieh cairote d’époque ottomane. Près de 2 000 personnes avaient répondu, offrant de 4 € à 20 000 € : 600 000 € au total. Tous leurs noms figurent aussi sur les murs du département des arts de l’Islam.

Seule déception pour le Louvre : l’échec de ses ultimes négociations pour trouver 10 millions supplémentaires, notamment auprès du Qatar. À la veille de l’inauguration, le musée a annoncé qu’il les prendrait sur ses propres réserves.

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(1) Seul cas comparable : l’Institut du monde arabe, inauguré en 1987 et financé lui aussi par l’État français et les pays arabes. Mais il s’agit d’un Institut culturel, pas d’un musée national.

SABINE GIGNOUX

http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Actualite/L-investissement-des-mecenes-etrangers-au-musee-du-Louvre-_EG_-2012-09-20-855610

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67353

La mobilisation pour sortir Tigran du centre de rétention a payé

20 Minutes

Créé le 21/09/2012 à 03h59 -- Mis à jour le 21/09/2012 à 03h59

La mobilisation pour sortir Tigran Hovhannessian du centre de rétention administrative du Canet (14e) dans lequel il était enfermé depuis le début de la semaine a fini par payer. Le jeune homme, âgé de19 ans, a quitté l'Arménie avec ses parents en 2011. A son arrivée dans la cité phocéenne, la famille fait une demande d'asile auprès de l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Rejetée. Pas assez de preuves que leur retour au pays constituerait une menace ou un danger. Elle fait appel.

Pendant ce temps, Tigran entame sa scolarité au lycée Diderot (13e). Mais le 17 septembre, le jeune homme se fait contrôler dans la rue. Sans papiers, il est conduit au poste, placé en garde à vue puis emmené au CRA. La nouvelle de sa détention provoque aussitôt une levée de boucliers dans l'établissement. « C'est la première fois qu'un lycéen marseillais est envoyé au centre de rétention », s'indigne Florimond Guimard, du Réseau éducation sans frontières (RESF). Puis, c'est au tour du syndicat SUD, de la FSU et de Jean-Marc Coppola, conseiller municipal (PCF) de Marseille de demander la libération de l'adolescent. Finalement, l'adolescent sera libéré jeudi, en toute fin d'après-midi. M. PE.

http://www.20minutes.fr/article/1007639/mobilisation-sortir-tigran-centre-retention-paye

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67345

FRANCE/TURQUIE

Erdogan Sevimli reçu par l'ambassadeur pour les droits de l'Homme

Citizenside.com

Paris, France ♦ 20 septembre 2012

Erdogan Sevimli, le père de l'étudiante Sevil Sevimli détenue depuis mai en Turquie, a été reçu avec l'association Avaaz par François Zimmeray, l'ambassadeur pour les droits de l'Homme au ministère des affaires étrangères, ce 20 septembre 2012.

Sevil Sevimli est une étudiante franco-turque soupçonnée par la Turquie d'avoir des liens avec une organisation terroriste d'extrême gauche (DHKP-C). L'étudiante est placée sous contrôle judiciaire en attendant son procès fixé au 26 septembre 2012.

La justice turque considérant que l'étudiante est de nationalité turque, l'ambassade française n'a été autorisée ni à lui rendre visite, ni à être informée de son dossier. Le dossier n'est pas non plus accessible aux avocats, puisque Sevil fait l'objet d'une procédure d'exception dans le cadre de la législation anti-terroriste en vigueur.

Le gouvernement Français reste mobilisé pour la libération de Sevil qui encourt jusqu'à 12 ans de prison.

Pour plus d'information : Le Monde http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/06/28/quel-crime-a-commis-sevil-sevimli-m-erdogan_1725929_3232.html



http://www.citizenside.com/fr/photos/politique/2012-09-20/67965/erdogan-sevimli-recu-par-l-ambassadeur-pour-les-droits-de-l-homme.html#f=0/566642

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67359

Évènement: La Turquie sans tabou au FIG

Vosges Matin

21.09.12 à 05h00

La 23 e édition du Festival international de Géographie se déroulera à Saint-Dié du 11 au 14 octobre. Avec la Turquie en invité d’honneur dans un contexte diplomatique délicat.

Ils ont l’art de ne jamais être déboussolés, les géographes. L’art de ne jamais perdre le nord. Les organisateurs du Festival international de géographie, ont, eux, le flair pour coller avec l’actu du moment. En choisissant cette année la Turquie comme invité d’honneur, ceux-ci n’ont sans doute pas choisi la facilité dans un contexte diplomatique délicat entre la France et la Turquie, à la suite de la loi votée par la précédente législature (avant qu’elle ne soit censurée par Conseil constitutionnel), pénalisant la négation des génocides. Dont le génocide arménien. Sensible, le sujet pourrait susciter un intérêt certain parmi les multiples sujets traités du 11 au 14 octobre prochain à Saint-Dié, à en croire par le nombre de médias présents hier matin lors de la conférence de presse donnée au Centre National du Livre, à Paris, un partenaire important du FIG dans l’organisation de son salon du livre.

La Turquie, le génocide, l’Arménie… Autant de sujets qui « ne seront pas éludés, comme celui des Kurdes » ont promis les organisateurs, au nom de la mission de « service public » de leur manifestation. Jean-Robert Pitte, l’ancien patron de la Sorbonne et président de l’association de développement du Festival explique pour sa part que « l’ignorance est une arme de destruction massive ».« Lorsqu’on travaille sur un pays comme la Turquie, la question de pose automatiquement. Mais il faut faire en sorte que ça ne prenne pas de positions trop polémiques », disent encore les organisateurs. « Nous traiterons du sujet avec le tact nécessaire et la distance qui s’impose » a annoncé le président-fondateur du Festival, Christian Pierret, qui est à titre personnel favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne. Notamment, pour des logiques économiques. Et le maire de Saint-Dié de rappeler que d’autres sujets brûlants ne pourront être disjoints des problématiques turques : la Syrie et l’Iran notamment.



La géo pour tous

D’autres questions seront posées lors du Festival qui a cette année pour thème « les facettes du paysage : nature, culture, économie ». Les tables rondes évoqueront les « beaux » paysages, les ordinaires, mais aussi les virtuels et les paysages du futur. Autant de thèmes porteurs qui s’illustreront au travers de nombreuses tables rondes et conférences, au sein d’une manifestation populaire, ouverte à tous, des scientifiques les plus érudits qui savent mettre leur savoir à la portée du plus grand nombre aux néophytes curieux.

Une fois de plus, pour la 23e fois depuis sa création, le FIG se déclinera en salons. Celui de la gastronomie cher à Jean-Robert Pitte qui se délecte de géo gourmande, le salon de la géomatique, ou encore le salon de la littérature qui prend ses quartiers non seulement dans l’ancienne CCI, mais aussi désormais dans l’ancien TGI, qui devient un nouveau temple de la géographie internationale. Évidemment, les multiples éditeurs attendus et les auteurs qui viendront à la rencontre du public ne proposent pas que de manuels de géographie. « Notre idée, rappelle Jean-Robert Pitte, c’est qu’il y a de la géographie partout et qu’il faut en mettre encore plus. »

Philippe CUNY

http://www.vosgesmatin.fr/vosges/2012/09/21/la-turquie-sans-tabou-au-fig

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67343

CANADA/TURQUIE

Le Canada inaugure un monument pour honorer un diplomate turc

Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles parus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quotidien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuellement y réagir de manière appropriée.

Radio-Canada.ca

Mise à jour le vendredi 21 septembre 2012 à 1 h 10 HAE

Le gouvernement Harper a dévoilé jeudi un monument controversé à Ottawa, à l'endroit même où un diplomate turc a été tué par balle il y a 30 ans, prétendument par des terroristes arméniens.

Le monument conique fait de métal et de bois honore le colonel Atilla Altikat, ce délégué militaire de l'ambassade turque au Canada qui a été assassiné à Ottawa en 1982. Il commémore également le travail de l'ensemble des diplomates qui ont perdu la vie.

Sur place, le ministre des Affaires étrangères, John Baird, a fait allusion à l'assassinat récent de l'ambassadeur américain en Libye Chris Stevens et de ses trois collègues, des diplomates américains également. M. Baird était accompagné de son homologue turc Ahmet Davutolu, qui s'est rendu à Ottawa pour l'événement.

Le monument représente également un rameau d'olivier donné par le Canada à la Turquie en raison de l'étincelle qu'avait créée en 2006 la reconnaissance, par le gouvernement Harper, d'un génocide en référence aux meurtres d'Arméniens perpétrés par des Turcs pendant la Première Guerre mondiale.

Cette décision avait alors choqué la Turquie, un pays allié dans l'OTAN, et elle avait mené au retrait temporaire de son ambassadeur à Ottawa.

M. Davutolu a déclaré jeudi que le monument dévoilé témoignait de « bons sentiments » du Canada à l'égard de la perte « d'un des leurs », en référence à M. Altikat.

La Presse Canadienne



Lire aussi:

Opération secrète à Ottawa
http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=66579
Comité National Arménien du Canada - Un monument mystérieux et des intentions discutables http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=66621

URL originale :

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2012/09/21/001-canada-turquie-monument.shtml

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67356

TURQUIE

Des os et des crânes trouvés lors de la rénovation de l’opéra d’Ankara

NAM


Des os humains et un crâne ont été découverts sous la scène de l’opéra d’Ankara pendant des rénovations selon le quotidien Hürriyet.

Le travail de restauration du bâtiment a été interrompu pour permettre aux archéologues d’examiner le site.

La compagnie de l’opéra et du ballet exécute la plupart de ses pièces dans ce bâtiment historique, qui a été construit en 1933 an tant que maison d’exposition et s’est métamorphosée en opéra en 1984.

Pendant les rénovations, un crâne, des os de bras et de pied et des poteries ont été découverts 25 à 30 mètres sous la scène.

Selon quelques ressources, le secteur était un cimetière arménien pendant l’Empire Ottoman.

vendredi 21 septembre 2012,


Stéphane ©armenews.com

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=82201

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67367

Article du journal franco-turc Zaman - 20/09/2012 – 1

Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équivalent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP).

Zaman France



Pour les Kurdes, la sécession n’est pas la solution

Par Yonca Poyraz Doğan | jeu, 20/09/2012 - 14:48

Une étude intitulée «Perceptions sociales de la lutte contre le terrorisme» vient de révéler que la quasi unanimité des Kurdes ne défend pas le projet d’un Etat kurde en Turquie. Seuls 2,3 % d’entre eux penseraient que l’indépendance représente une solution à leurs problèmes.

Une enquête récente a montré que 90,3 % des Kurdes et 70,7 % des Turcs sont convaincus que leur destin est lié, contrairement à l’idée selon laquelle la minorité kurde aurait de fortes tendances séparatistes. Pour Atilla Sandikli, le président du comité des sages du Centre d’études stratégiques (BILGESAM) qui s’exprimait dans les colonnes du Monday Talk, les Kurdes ne voient pas dans le séparatisme la solution au problème kurde. Seuls 2,3 % des Kurdes de Turquie penseraient que l’indépendance constitue la solution au problème selon lui, tandis que 5,7 % estiment qu’elle réside dans une structure de type fédéral et 11,9 % dans un gouvernement régional autonome.



Une sécession ne résoudra pas la question kurde

Intitulée «Perceptions sociales de la lutte contre le terrorisme», l’enquête, qui a été publiée la semaine dernière, montre également que 79,1 % des Turcs interrogés pensent que les droits qui existent sont suffisants, alors que cette proportion tombe à 31,9 % dans le cas des Kurdes. Par ailleurs, tandis que 12,3 % des Turcs et 33,5 % des Kurdes pensent que la solution réside dans une parfaite égalité en matière de droits civiques, ils ne sont respectivement que 5,3 % et 14,8 % à penser qu’elle passe par le renforcement des administrations locales. Et si 50 % des Kurdes et 44 % des Turcs interrogés estiment que «l’Etat a la volonté de résoudre le problème kurde», ils sont respectivement 51,3 % et 32,6 % à être convaincus qu’il en est effectivement capable. Ce sondage arrive à un moment où la question du terrorisme est au sommet des priorités de la Turquie, qui fait face à des affrontements prolongés dans le Sud-Est et à des attaques et des enlèvements de civils perpétrés par le PKK, 700 personnes ayant déjà été tuées en l’espace de 14 mois, soit le plus grand nombre enregistré en 13 ans. L’enquête révèle une forte volonté et la détermination de partager un avenir commun, aussi bien chez les Turcs que chez les Kurdes.

La stratégie du PKK : monter Kurdes contre Turcs

La proportion de Kurdes qui ne conçoit pas un avenir commun avec les Turcs en Turquie se maintient à environ 10 %, tandis que ce pourcentage est trois fois supérieur chez les Turcs. Des résultats qui battent en brèche l’idée courante selon laquelle les Kurdes de Turquie voient dans le séparatisme la solution au problème kurde. Pour le président du BILGESAM, la stratégie de l’organisation terroriste PKK consiste justement à provoquer les Turcs pour les monter contre les Kurdes. Cibler par exemple des fiefs de l’ultranationalisme turc comme Adana et İnegöl, pour y commettre des attentats entre dans le cadre de ce type de stratégie. Atilla Sandikli estime donc qu’il faut se féliciter de ces chiffres qui montrent clairement que Kurdes et Turcs n’ont pas mordu à l’hameçon, et que la plupart désirent vivre ensemble et en paix.

Istanbul



www.zamanfrance.fr/article/kurdes-s-cession-n-est-pas-solution

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67364
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