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Passionnant malus


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  1. PASSIONNANT MALUS



( Pommier ornemental )

Par Philippe Lemaistre

  1. Présentation et remerciements :

Producteur de fruits et conseiller technique en Normandie, j’ai planté pour ma retraite une collection d’environ 150 variétés de malus sur 1,5 hectares.


Parti de rien, je dois tout à des passionnés généreux :

John Fiala, Jean-Pierre Hennebelle, Jean-Luc Carrières, et Jean- Noël Nivelle, collectionneurs

Bruno Essner et André-Pierre Desjardins, pépiniéristes.

Yvon Pallier, photographe de grand talent.

J’en profite pour les remercier ici.


Les arbres sont greffés sur un porte-greffe de moyenne vigueur, le 106, conduits en basses-tiges pour la plupart, et plantés à 7 mètres sur 4,5 mètres.

La collection comprend un verger de démonstration de 0,5 hectare en basses-tiges, un autre de 0,2 hectare en hautes tiges, le reste de la collection étant plus hétérogène, car les variétés sans intérêt sont remplacées progressivement par de nouvelles variétés à évaluer.

Le terrain est en pente, parfois forte, et très calcaire par endroits.

Tous les vergers sont irrigués au goutte à goutte ( 2 lignes par rang).

La collection est visible sur rendez-vous ( Tél : 0235380665 ).
Cette brochure est destinée à aider les amoureux des jardins qui ne connaissent pas encore les pommiers ornementaux.

Le malus est l’arbre ornemental le plus planté aux Etats-Unis. On commence seulement à s’y intéresser en France.




  1. Le malus, quel intérêt ?


« C’est superbe, mais est-ce que les fruits sont comestibles ? »
Cette question, que j’entend souvent, en sous-tend une autre : Pourquoi planter des malus, alors que les pommiers à couteau sont souvent aussi beaux, et produisent, eux, des fruits délicieux ?
Cette réflexion, apparemment de bon sens, appelle une réponse détaillée :
Les malus sont des pommiers sauvages, ou des hybrides de pommiers sauvages, souvent très différents des pommiers à couteau cultivés pour leurs fruits.

Les floraisons des malus sont plus abondantes et plus variées, allant du blanc au pourpre en passant par toutes les nuances de rose.

Les feuillages sont également très divers, allant de la feuille de pêcher à la feuille d’érable, du vert au pourpre, et sont souvent spectaculaires en automne.

Les fruits sont petits, beaucoup plus nombreux, et décoratifs très longtemps, même après la chute des feuilles.

On trouve des malus de toutes les dimensions, du nain au géant, et de toutes les formes, étalés ou élancés, en boule, en vase, et même pleureurs.

Les malus sont souvent beaucoup plus résistants aux maladies, et ne demandent que peu ou pas de traitements.

Leur entretien est beaucoup plus simple : pas de taille compliquée, pas d’éclaircissage des fruits, pas de cueillette, pas de transport et de stockage des fruits, ce qui séduit certains amateurs de prés-vergers qui ne s’intéressent pas spécialement aux pommes à cidre, ou n’ont pas envie de grimper à l’échelle pour cueillir leurs pommesà couteau.
Mais, direz-vous, pourquoi ce désintérêt en France ?
A mon avis, cela est du pour une part à la concurrence des cerisiers et pruniers ornementaux, et également peut-être à la reprise aléatoire des greffes sur certains porte-greffes, ce qui rebute les pépiniéristes.


  1. A quel endroit planter ?

Le malus est une plante rustique, qui s’accommode de tous les sols, sauf s’ils sont très calcaires ou très argileux, et de tous les climats, sauf s’ils sont très secs, ou très humides.

Et encore, on peut éviter la chlorose par un apport annuel de chélate de fer (Sequestrene, Sequonia ) dans l’eau du goutte à goutte.
Le choix du porte-greffe est important :

Préférez le Pajam 1 ( sélection de paradis employé dans les vergers intensifs de pommes à couteau ) dans les petits jardins. Il lui suffira de plus ou moins 2 mètres x 2 mètres, le 106 ou le 111 ( sélection de doucin employé dans les vergers à cidre en basses tiges ) dans les parcs, planté à environ 4 mètres x 4 mètres, et enfin le franc de semis planté à environ 8 mètres x 8 mètres pour les hautes tiges des prés vergers.

Le tuteurage est nécessaire, car les malus sont parfois touffus, et toujours surchargés de fruits ( surélever le tuteur par un bambou si nécessaire, pour éviter l’aplatissement de l’arbre sous le poids des fruits ).

Il faut donc éviter les endroits très ventés.

Pensez à mettre en valeur votre malus grâce à un fond vert sombre ( bosquet ), ou vert clair ( gazon ). Ne plantez pas trop serré.

Pensez aux contrastes de couleur avec les arbres voisins.

Pensez au reflet dans un étang ou une rivière, si c’est possible.

Choisissez la forme en fonction de l’emplacement : érigée en bordure de route, étalée en fond de plate-bande ou en haie, pleureuse pour garnir un mur.





  1. Quelle variété choisir ?

Il existe des centaines de variétés de malus, et il s’en crée tous les ans, ne serait-ce que par les semis qui lèvent dans les collections lorsqu’elles ne sont pas désherbées chimiquement.

Pour simplifier, j’ai choisi de classer les malus en diverses catégories, et de vous indiquer mes meilleures variétés dans chaque catégorie . Il existe certainement beaucoup d’autres variétés aussi méritantes, mais je ne les connais pas, ou pas encore suffisamment.
 Les variétés à fleurs rouges ou rose foncé :

Elles fleurissent avant les blanches, leur feuillage est plus ou moins bronzé, et leurs fruits généralement rouge foncé. Je propose par ordre d’entrée en scène :


- Cardinal : il fleurit fin Mars/début Avril. Belles fleurs, belles feuilles, arbre bien aéré.

- Liset : superbe floraison rouge vif, mais tavelure grave.

- Selkirk : très bel arbre, fruits rouge foncé brillants dès le mois d’Août.

- Makamik : Superbe arbre semi-érigé, mais tavelure grave.

- Red Glow : Très bel arbre à fruits rouges peu persistants.

- Coccinella : arbre vigoureux, spectaculaire, beau feuillage d’automne, mais tavelure grave.



- Prairie fire : No1 aux Etats-Unis. Il a toutes les qualités. Les fruits sont rouge vif et brillants.

- Diable rouge : sélection d’Hennebelle. C’est un beau diable.

- Jean-Loup Hennebelle : sélection d’Hennebelle. Arbre très fin, belle silhouette, un des derniers à fleurir. Fruits rouge foncé.
Variétés bicolores : Les boutons sont rouges, et les fleurs blanches. Elles sont extrêmement gracieuses.

- Atrosanguinea : Vaut surtout par sa magnifique floraison.

- Floribunda : splendide variété japonaise, mais tavelure grave.

- Professor Sprenger : la meilleure du lot, à cause de ses beaux fruits orange persistants.

- Hillieri : Ravissant en floraison. Très léger, mais tavelure grave.

- Beauté : Stupéfiante par l’abondance de sa floraison. Sélection d’Hennebelle très bien nommée.
Variétés blanches :

Elles se distinguent en général surtout par des fruits superbes :



- Evereste : C’est le Prairie fire français, mais à floraison blanche. Les fruits rouge/orangé persistent jusqu’aux fortes gelées.

- John Downie : fruits bicolores en forme d’obus en Août. Surprenant, mais tavelure grave.

- Baugène : Bel arbre à fruits rouges assez gros.

- Winter gold : abondance de petits fruits jaunes persistants très longtemps, mais tavelure grave

- Butter ball : superbes fruits orange assez gros.

- Robusta yellow siberian : beaux fruits jaunes visibles de loin.



- Snow magic : Probablement la plus belle floraison blanche, mais tavelure grave.

- Crittenden : Beaux fruits roses persistants très longtemps.

- Ferme fleurie : Très belle sélection d’Hennebelle. Arbre très fin, très aéré petits fruits jaunes.

.
Variétés pleureuses :


- Cheal’s weeping : Belle floraison blanche.

- Louisa : odorante.



- Weeping candied apple : très bel arbre à floraison rose et fruits rouges persistants. Beau feuillage d’automne.

- Red sentinel : beaux fruits rouges.

- Molten lava : extrêmement vigoureuse.
Variétés érigées à floraison blanche :
- Street parade : Aussi précoce que Cardinal.

- Comtesse de Paris : Très vigoureuse sélection d’Hennebelle à fruits jaune orangé persistants très longtemps. Spectaculaire en automne.

- Madonna : Superbes fleurs doubles d’un blanc pur.



- Red Jewel : Variété américaine protégée. Fruits rouge brillant persistant très longtemps. Superbe, mais tend à alterner.

- Nicolas Hennebelle 2 : Arbre élégant, au moins égal à Red Jewel en automne.


Variété en vase :
- Adirondack : Variété américaine originale. Belle floraison blanche, petits fruits roses.

Variétés naines :


Ce n’est pas ma tasse de thé, mais ces variétés peuvent trouver leur place dans une véranda, ou sur un balcon. Il en existe beaucoup.

Consultez l’excellent livre de John Fiala « Flowering crabapples », édité par Timber Press à Cambridge ( Grande-Bretagne ) :

Fax : (01954 )206040
Fruits comestibles :
- Marshall Oyama : Variété japonaise très originale, gros fruits rouge vif excellents, malheureusement les branches cassent facilement, et très sensible au puceron cendré.

- Veitch’s scarlet : Odorante, très beaux et bons fruits rouge vif.

- Kerr : surprenants fruits comestibles ressemblant à des prunes violettes.


  1. Comment planter ?

Le malus se plante comme n’importe quel arbre.

Si le terrain est de bonne qualité et n’était pas planté précédemment, il suffit de faire, à réception de l’arbre, un trou assez grand pour les racines.
Dans le cas contraire, que je connais bien, il faut prendre quelques précautions, sinon l’arbre ne poussera pas bien.
Tout d’abord, creuser le trou à l’avance quand la terre est « amoureuse », c'est-à-dire pas trop humide, surtout si elle est argileuse.

Pour les arbres en basses tiges, généralement jeunes, il suffit d’un trou carré de 0,60 m x 0,60 x 0,40.

Pour les arbres de haute tige, 0,80 x 0,80 x 0,60.

Mettre de coté le gazon et la mauvaise terre du fond du trou, et apporter un volume de terreau de plantation ou de tourbe équivalent au volume de la mauvaise terre.

Planter le tuteur légèrement déporté en direction du vent dominant.

Combler partiellement le trou avec le gazon, puis la bonne terre, et semer un engrais de fond.

A réception de l’arbre, l’attacher à bonne hauteur au tuteur, les plus fortes racines en direction du vent dominant, ou, si l’arbre est abrité, les plus fortes branches au Nord.

Jeter le terreau de plantation sur les racines, secouer l’arbre.

Faire une cuvette au pied de l’arbre, et arroser abondamment, pour éviter les poches d’air.
Si les lapins ou les chevreuils sont à craindre, installer une protection.

Prévoir l’arrosage et un peu d’ammonitrate, au moins la première année.

Outillage : pioche, pelle, râteau, seau pour les gros cailloux.



  1. Comment entretenir ?

La taille :

Personnellement, si je plante des basses tiges d’l an, je ne taille pas pendant 5 ans. Ensuite, la taille se limite à la suppression des branches basses ( désherbage ), ou gênantes ( tracteur ). Moins on taille, moins il faut tailler par la suite.

S’il s’agit de hautes tiges, il est souvent nécessaire de supprimer entièrement des branches en excès, pour aérer l’arbre, ou supprimer des angles aigus ( source d’éclatement par la suite ).

Dans le cas particulier de la haie, ou de la boule, taillée tous les ans après floraison, elle fleurira l’année suivante sur le bois d’l an, mais il ne faudra pas compter sur l’aspect décoratif des fruits. On peut aussi tailler en hiver, un an sur deux, mais le malus ne sera décoratif qu’un an sur deux.
La fumure :
Vue sa productivité, le malus est exigeant : chez moi, en mauvais terrain engazonné, j’apporte chaque année fin Février 75 kgs/ha d’azote pur sur toute la surface, en alternant engrais chimique N/P/K/Mg et engrais organique de type Guanumus..
Les traitements :
On peut ne pas traiter du tout, car les variétés indiquées sont pour la plupart résistantes aux maladies.

Néanmoins, je traite contre les pucerons, car ils déforment les pousses et véhiculent les virus.

Dans les situations défavorables ( terrains très imperméables ), il peut être nécessaire de traiter au cuivre à la chute des feuilles pour éviter le chancre, mais on endommagera les fruits, s’ils sont persistants.

Le 106 étant sensible à la pourriture du collet, due au phytophtora, le terreau de plantation devrait l’éviter. Toutefois, si des cas sont constatés, on peut envisager des traitements à l’Aliette.


L’irrigation :
Si l’on irrigue au goutte à goutte, je conseille de multiplier le plus possible les points d’arrosage, à quantité d’eau égale, de programmer 3 irrigations par jour, et d’observer le diamètre du bulbe pour régler la durée de chaque irrigation.


  1. Nouvelles variétés 

Si vous voyez fin Mai des petits pommiers pousser sous vos malus, il se peut que ce soit des hybrides intéressants. Rempotez les avec la motte dans des grands pots, et observez les. Avec beaucoup de chance, vous découvrirez peut-être la variété du siècle.

En conclusion, je vous souhaite beaucoup de joie en compagnie de vos pommiers ornementaux.

  1. ANNEXE 1



Plantation d’1 hectare de malus en haute-tiges :
Si je devais planter aujourd’hui 1 hectare de malus de haute tige, voici quelques suggestions :
- Je planterais 10 arbres de chaque variété, pour attirer l’attention sur cette variété lorsqu’elle est à son avantage.
- Je planterais à 8 m x 8 m , pour éviter l’encombrement, et faciliter la tonte de l’herbe. Je me limiterais donc à 16 variétés de grande qualité.
- Je choisirais 8 variétés pour leurs fruits persistants, et 8 variétés pour leur magnifique floraison . Par exemple :
- Pour leur jolis fruits persistants : Butterball, Professor Sprenger, Comtesse de Paris, Wintergold ( fruits jaunes ou orangés), et Prairie fire, Evereste, Red Jewel , Nicolas Hennebelle 2 ( fruits rouge vif ou orangés).
- Pour leur magnifique floraison : Cardinal, Coccinella, Diable rouge, Makamik, Jean-Loup Hennebelle ( fleurs rouges ), Snow magic, Beauté, Floribunda ( fleurs blanches ou roses).
- J’ intercalerais les blancs et les rouges, d’où par exemple la série :

Butterball, Cardinal, Professor Sprenger, Coccinella, Comtesse de Paris, Diable rouge, Wintergold, Makamik, Prairie fire, Jean-Loup Hennebelle, Evereste, Snow magic, Red Jewel, Beauté, Nicolas Hennebelle 2, Floribunda.


- Je planterais dans cet ordre, quitte à décaler un peu la deuxième série, pour éviter d’aligner verticalement les variétés. Je choisirais un excellent pépinièriste ayant l’expérience des malus, quitte à attendre 1 an pour planter (très important, car la qualité des arbres en dépend, et la plupart de ces variétés devront être greffées sur commande).
 
  1. ANNEXE 2




Collection de 1/2 hectare de malus sur Pajam 1

Voici quelques idées directrices :


- Se limiter aux variétés résistantes aux maladies, et d’excellente qualité.
- Pour faciliter la visite, planter les meilleures variétés en bordure de larges allées.

- Planter large : On doit pouvoir tondre et circuler facilement entre les arbres.


- Grouper les arbres en fonction de leur forme : érigés, nains, pleureurs, ronds ou étalés.
- Tenir compte de leur dimension : les plus grands derrière.
- Planter chaque variété en bloc de 3 arbres, ou 2 arbres minimum..
- Alterner les couleurs.
Dans la pratique, dans le cas d’un carré de 68m x 68m
- Je planterais chaque variété par bloc de 3 arbres, pour la mettre en valeur, compte tenu du faible encombrement des arbres ( 4 m x 4 m), et j’alternerais les couleurs des floraisons .
- La bordure Nord et la bordure Est du carré seraient plantées sur deux rangs en variétés érigées qui serviraient de brise-vent. Au total, 22 variétés.
- Les bissectrices du carré constitueraient deux larges allées de 8 m , et diviseraient le carré en 4 petits carrés de 20 m de côté.
- Le carré Nord/Est serait planté de variétés naines . Au total, l2 variétés.
- Le carré Sud/Est serait planté de variétés pleureuses . Au total, également 12 variétés.
- Les carrés Sud/Ouest et Nord/Ouest seraient plantés des meilleures variétés rondes ou étalées. Au total , 24variétés.
- Le nombre total de variétés serait donc de 70 : 35 rouges, et 35 blanches..
- Si le nombre de variétés parait insuffisant par rapport à la demande des professionnels et des particuliers, il pourrait être augmenté de moitié, en ne plantant que deux arbres par variété au lieu de 3 .
- Dans ce cas, on ne planterait les brise-vent que sur un rang, qui comporterait l7 variétés, soit au total, 89 variétés : 45 rouges, et 45 blanches.

Liste des variétés proposées : 57 :

20 rouges et 37 blanches
- 10 variétés érigées blanches : Callaway, Comtesse de Paris, Madonna, Nicolas Hennebelle, Red Jewel, Siver moon, Street parade, Téobel, Rockii, Wintergold.
- 3 variétés érigées roses ou rouges : American masterpiece, Makamik, Selkirk, Simcoe.
- 8 variétés pleureuses blanches : Butterball, Cheal’s weeping, Crittenden, Hupehensis, Molten lava, Red Sentinel, Weeping candied apple, Yellow siberian.
- 6 variétés pleureuses roses ou rouges : Atrosanguinea, Averse rose, Baskatong, Hillieri, Louisa, Maria.
- 8 variétés naines blanches : Anne E, Doubloons, Jewelberry, Lancelot, Leprechaun, Satin cloud, Sinai fire, Zumi Wooster.
- 4 variétés naines rouges : Cardinal’s robe, Jean-Pierre Hennebelle, Maria, Spring song.
- 11 variétés rondes blanches : Baugène, Beauté, Evereste, Ferme fleurie, Floribunda, John Downie, Ormiston Roy, Professor Sprenger, Ralph Shay, Snow magic, White angel.
- 7 variétés rondes rouges : Cardinal, Coccinella, Diable rouge, Jean-Loup Hennebelle, Liset, Prairie fire, Red glow.


Collection de malus sur 106

Si l’on plante des arbres greffés sur 106, à 6 m x 6, m au lieu d’arbres greffés sur Pajam 1, à 4 m x 4 m, en gardant les mêmes schémas de plantation, les distances seront augmentées de moitié, et les surfaces seront multipliées par 2,25

Les carrés auront donc 30 m de côté au lieu de 20 m, car 18 m donnerait trop peu de variétés ( 8 par carré).
Il faudra donc une surface de plus ou moins 1 hectare, au lieu d’1 /2 hectare.
OBSERVATIONS MALUS JUIN 2004

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  1. VARIETES A EXCLURE

(Tavelure, oidium, ou puceron cendré graves)


Belle de Nort, Coccinella, Floribunda, Gorgeous (oidium), Hillieri, John Downie, Lemoinei, Liset, Makamik, Marshall Oyama, Profusion, Robinson, Ruth Ann (colonnaire), Simcoe, Snow Magic, Spectabilis Riversii, Thunderchild, White Cascade.


  1. VARIETES A CONSERVER

(malgré tavelure légère)


Adam’s, Atrosanguinea, Baskatong, Beauté, Brandywine, Brogdale Crab, Comtesse de Paris, Diable Rouge, Evereste, Ferme Fleurie, Jean-Loup Hennebelle, Persicifolia, Professor Sprenger, Ralph Shay, Red Glow, Red Sentinel, Selkirk, Silver Moon, Téobel, Veitch’s Scarlet, Weeping Candied Apple, Winter Gold (très sensible, mais à garder à cause des fruits).


  1. VARIETES RESISTANTES

AUX MALADIES
Adirondack, Averse Rose, Baccata, Baugène, Butterball, Calloway ( ?), Cardinal, Cheal’s Weeping, Centurion, Early Downie, Golden Gem, Hupehensis, Ingénieur Mathon, Jackii, Kerr, Kola Morden, Lady Northcliffe, Lancelot, Lisa, Madonna, Nicolas Hennebelle 1 et 2, Ormiston Roy, Petiote, Prairie Fire, Purple Prince, Red Jewel, Rockii, Robusta Yellow Siberian, Sieboldii, Street Parade, Sugar Tyme, White Angel, Zumi Capocarpa, Zumi Wooster.



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