Lettre d’information de la SFES # 92 – Juillet 2009
Si vous disposez d’informations qui mériteraient de se trouver dans ces lignes n’hésitez pas à nous les communiquer : troglo21@yahoo.fr
--- SFES ---
SUBTERRANEA n°150 – Juin 2009
Au sommaire de ce numéro :
Editorial L. Stevens P.33
La mine Walert avant le Musée des Mines (1898-1963) D. Klein P.34
Défenses axiales ... Défenses transversales J.-C. Carrere P.43
Lu pour vous "Grottes et caches camisardes" par Claude Viala L. Stevens P.61
L'abbaye troglodytique de Saint-Roman (30) Publicité P.63
Le bulletin peut être commandé au prix de 8 euros + 3,00 € de frais de port chez
Monsieur Marcel Barbotte 5, Petite Rue à 76220 BEAUVOIR EN LYONS
marcel.barbotte@wanadoo.fr
Le chèque doit être envoyé à la commande.
--- CONGRES ---
DER ERDSTALL
Nos collègues allemands de l’association Der Erdstall organiseront leurs journées d’étude annuelle à Roding (Bavière) du 18 au 20 sepembre prochain.
Programme :
Freitag
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18 Uhr
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Abendessen
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20 Uhr
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Vortragsraum: Kassenbericht, Rückblick und Wahl der Vorstandschaft, Bericht über die Erdstallausstellung in Grafing
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Samstag
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9:00 Uhr
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Vortragsraum: Vorträge und Referate
Dr. Kusch: "Forschungsergebnisse aus der Steiermark"
Edith Bednarik u.a.
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12:00 Uhr
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Mittagessen
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13:00 Uhr
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Vortragsraum: Vorträge und Referate
Karl Wilhelm: "Heidnische Kulte im röm. Bayern"
Dieter Ahlborn: "Sagen und Mythen"
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18:00 Uhr
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Abendessen
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20:00 Uhr
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Vortragsraum: Vorträge und Referate
Josef Weichenberger: "Eine Analyse der Erdstall-Kulttheorie aus pragmatischer Sicht"
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Sonntag
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9:00 Uhr
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Abfahrt in Strahlefeld mit PKW zu den Excursionen
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10:30 Uhr
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Saldenburg, Felsengang Weiherstraße 2 (Der Erdstall 14)
Weiterfahrt nach Hundsruck, Erdstall Gasthaus Klessinger (Der Erdstall 34)
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12:00 Uhr
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Mittagessen
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14:30 Uhr
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Weiterfahrt zum Erdstall in Kleinwiesen über Perlesreuth (Der Erdstall 25)
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16:30 Uhr
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Weiterfahrt nach Thyrnau, Erdstall in Kellerberg (Der Erdstall 35 und 10)
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JOURNÉES CHTHONIENNES DU MUSÉE NATIONAL DES MINES
Les Premières Journées Chthoniennes du Musée National des Mines de Fer Luxembourgeoises se dérouleront les 19 et 20septembre prochain.
Le samedi 19 septembre est consacré à la Marche Gourmande du Musée National des Mines qui mêle les plaisirs de la culture savante avec la gourmandise et la gourmandise avec la marche.
Une randonnée exceptionelle d'une dizaine de kilomètres en 7 étapes gourmandes avec la traversée des galeries de la mine et la dégustation de la fameuse Gamelle du Mineur.
Les nourritures de l'esprit seront assurées par l'Association Geolor qui fera découvrir le site de la carrière Op der Heed et sa géologie remarquable.
L'Harmonie Municipale de Rumelange accompagnera musicalement les randonneurs sur le parcours de la randonnée.
La Chorale des Mineurs Slovènes d'Aumetz sera présente sur le carreau de la mine pour assurer l'animation.
La Marche Gourmande est réservée aux 250 premiers inscrits.
Chaussures de marche et vêtements chauds sont conseillés.
La marche aura lieu quelque soit le temps. Les abris sont prévus en cas de besoin.
Le montant de l'inscription reste acquis aux organisateurs en cas de désistement.
Pour réserver : Téléphoner au +352 56 56 88
Prix adulte : 45 €
prix enfant (-15ans) : 15 €
Le dimanche 20 septembre de 10.00 à 18.00 heures sur le carreau de la Mine Walert
Les Biergleit de Kayl organisent leur exceptionnelle bourse aux objets de mine – Grubenlampenbörse - dans le bâtiment Maschineschapp.
La Brudderschaft Hephaïstos et ses maîtres forgerons exécuteront des démonstrations de forge à la Schmedd.
L'Entente Mine Cockerill d'Esch-sur-Alzette présentera ses activités.
Les Harmonies Municipales de Rumelange et Ottange seront réunies pour l'occasion sur le carreau de la Mine Walert et assureront l'animation musicale.
Henri Ruppert vigneron à Schengen vendra ses vins fins.
L'atelier du Sculpteur Albert Hames, rue de la Bruyère sera exceptionellement ouvert aux visites. www.albert-hames.de
La Brasserie du Musée proposera son « plat du jour chthonien ».
Le Musée organisera des visites à pied des collections dans les galeries de la mine.
Toute la journée : Grillades et objets de la boutique du Musée des Mines
Inauguration, à 11.00 heures dans les salles des collections du Musée des Mines, de l'exposition sur les Bélemnites géantes de la carrière d'Ottange-Rumelange « Megateuthis gigantea » vieilles de plus de 200 millions d'années.
Exposition réalisée avec l'aide et le soutien de GEOLOR asbl
Autres informations sur www.mnm.lu
--- PUBLICATIONS ---
SOK 51 - Mai 2009
Nos collègues hollandais du SOK viennent de publier le n°51 de leur revue. Au sommaire
Zonneberg – Slavante: aangesloten par Kevin Amendt
De Minderbroeders van Slavante par John Caris
Hebben onze mergelgroeven een plaats in de Europese mijnbouwgeschiedenis? Een kritische beschouwing van het artikel van Jacquo Silvertant in SOK-Mededelingen 47 par Ed de Grood en Henk Blaauw
Une sinistre découverte dans la grotte de Caestert par Wilfred Schoenmakers
Info sur http://www.sok.nl/sok/frontoffice/sok_med_51.html
--- EXPOSITION ---
ERDSTÄLLE, RÄTSELHAFTE UNTERIRDISCHE ANLAGEN
Nos collègues allemand présentent leur exposition sur les Erdstall intitulées « Erdställe, rätselhafte unterirdische Anlagen » cad « Les Erdstalle, ces souterains énigmatiques » au musé de la ville de Grafing du 17 mai au 27 septembre 2009
MUSEUM DER STADT GRAFING
Bahnhofstraße 10
85567 Grafing
Tel.: 08092 / 32105
www.museum-grafing.de
Entrée libre
--- INTERNET ----
MISSION ARCHÉOLOGIQUE À LALIBELA
Visite du site des église rupestre de Lalibela avec François-Xavier Fauvelle, historien, CFEE, Olivier Onézime, topographe, Inrap et Marie-Laure Derat, historienne, CFEE dans le cadre d’une mission archéologique de l’INRAP
Inscrite par l'Unesco sur la liste du patrimoine mondial de l'Humanité, la ville de Lalibela, située sur les hauts plateaux éthiopien, recèle des églises monolithes du XIIIe siècle. Creusés et taillés d'un bloc dans la roche sur parfois plus de 12 mètres de profondeur, ces édifices remarquables sont sans équivalent dans le reste du monde.
Une équipe de l'Inrap a participé, avec le Centre français d'études éthiopiennes (CFEE) et l'Autorité éthiopienne pour la recherche et la conservation du patrimoine culturel (ARCCH), à la réalisation de la première carte topographique et géomorphologie de cet ensemble architectural et de son contexte archéologique, outil indispensable à la compréhension de l'histoire du site et à sa gestion patrimoniale.
Film de 14 minutes sur cette mission archéologique
http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Decouvrir/Audiovisuels/Les-derniers-reportages/p-2759-Mission-archeologique-a-Lalibela.htm
--- DANS LA PRESSE ---
SOUS LA PLACE, PAS DE PAVÉ, MAIS DES SOUTERRAINS ET UNE HISTOIRE
dimanche 21.06.2009- La Voix du Nord
Un éboulement... durant la Guerre 14-18.
| À CREUSER |
Un trou à ciel ouvert, un autre qu'on sait être là, à l'entrée du parking... La place de Gaulle est « trouée ». Un phénomène loin d'être nouveau. Sous elle, notamment, des souterrains. Qui ne datent pas d'hier.
PAR DAVID LAURENCE
Février 1846. Une excavation apparaît soudainement sur la place de Caudry. Elle permet de révéler un souterrain. Janvier 1847 : une nouvelle excavation de 10 m de profondeur se fait jour. Favorisant cette fois des fouilles et le déblaiement des souterrains se trouvant sous la place. Ils ont été creusés dans la craie et servaient probablement de refuge pour les populations. Quand ? Sur un mur de ces souterrains, une date : 1610. Des souterrains qui jusqu'en 1846 étaient inconnus de la population. L'entrée de ceux-ci devaient se trouver sous le clocher d'une église bâtie alors au centre de la place de Gaulle. Cette entrée donnait sur trois directions : vers l'actuelle rue de la Paix via un couloir voûté (haut de 2 m, large d'1,40 m) à 13 m de profondeur, long de 74 m et flanqué de 14 chambres, il s'agit là de la galerie principale vers ce qui est aujourd'hui la rue Marliot : et enfin un autre en direction de la rue du Maréchal Leclerc. Des cartes sont réalisées. Les souterrains de Caudry sont alors connus. Avant de retomber dans l'oubli. Jusqu'à la Première Guerre mondiale.
Caudry est alors occupé. C'était il y a presque un siècle. Mais beaucoup d'évoquer encore aujourd'hui cette photo qu'ils ont vu, un jour, d'un camion militaire allemand disparu en partie dans la chaussée. La place venait une nouvelle fois de céder. C'était en 1916, ou 1917. Les souterrains étaient de nouveau mis à jour. Le maire de l'époque, Ernest Plet, les visita. Les soldats allemands, pour leur part, prolongèrent certaines galeries, et l'électricité y fut même installée. Les cavités de la place devinrent des entrepôts pour les munitions. « Lors de leur retraite en 1918, les Allemands firent sauter l'entrée et une partie de la cavité qui conservera encore longtemps son mystère », peut-on lire aujourd'hui dans l'ouvrage Caudry d'hier et d'aujourd'hui, d'André Flament et Patrick Raguet.
Juin 2009 : une coupure d'eau chez un commerçant, un sondage pour en déterminer l'origine, des travaux, et c'est un trou béant qui apparaît sur la place de Gaulle. Une place pourtant rénovée totalement il y a quatre ans (pour près de 2 ME de travaux, subventionnés à 80 %), une place nouvelle qui privilégie le piéton alors que les derniers travaux d'aménagements, qui remontent aux années 1970 avaient donné la priorité aux voitures. Mais de rapport entre ce trou nouveau, côté théâtre et les travaux de 2005, il n'y a pas. Une fuite d'eau qui aurait raviné le remblai ?
Peut-être. Mais où est passé ce remblai ? C'est toute la question. Question qui se pose toujours. A-t-il été entraîné dans les souterrains qui se trouvent de l'autre côté de la place ? Pour le savoir, il aurait fallu y accéder. Mais il n'existe visiblement plus de point d'entrée. Le mystère demeure.
EN ANJOU, DES ATELIERS D'ART POUR SAUVER UN COTEAU TROGLODYTE
19 juin 2009
TURQUANT (AFP) — Située sur les bords de Loire entre Saumur et Fontevraud, le beau village de Turquant (537 habitants) a sauvé un coteau troglodyte menacé d'effondrement en le rénovant pour y installer des ateliers d'artisans d'art, inaugurés samedi.
Bijoutière, souffleur de verre, assembleur de métal, peintre et photographe, sculpteur... Une dizaine d'artisans et créateurs ont trouvé place dans des "troglos" restaurés et assainis qu'ils louent à l'année.
Un bistrot, un restaurant et un espace d'exposition complètent l'offre, dans ce village qui s'est engagé il y a une dizaine d'années dans un vaste programme de réhabilitation et de revalorisation de son patrimoine architectural.
"Ce sont tous des ateliers de production, des entreprises à part entière qui assument leurs charges. Nous les accompagnons et assurons la communication" précise Jacky Goulet, le maire du village, dont l'équipe n'a pas compté son temps pour mener à bien un projet, en apparence irréalisable pour le budget communal.
"Il a fallu d'abord s'assurer de la faisabilité du projet car on ne fait pas n'importe quoi sous terre", précise-t-il.
Aux études techniques ont succédé de multiples visites dans des villages d'artisans d'art en France comme à Roscoff ou à Rochefort-en-Terre pour définir et affiner un projet finalement axé autour des métiers du feu, de la pierre et du tuffeau.
Rachetés par la commune en 2005 et 2006, les caves troglodytiques du coteau ont été sécurisées en 2008, puis aménagées en fonction des besoins des candidats à l'installation.
"Nous avons eu 80 demandes que nous avons triées sur des critères de qualité et de motivation" ajoute le maire du village.
"On cherchait à s'installer sur la région de Toulouse, en vain. Ici, le site est magnifique et le fait de l'ouvrir avec d'autres artisans, c'est motivant et plus facile" témoigne Annick Guimberteau, peintre sur porcelaine et première résidente du village métiers d'art de Turquant.
"J'avais ciblé cinq villages. C'est la dynamique économique du projet qui m'a convaincu" ajoute Marc Boutfol, doreur à la feuille-ornemaniste qui a quitté son atelier de la Côte d'Azur pour rejoindre la région saumuroise.
D'un montant total de 2,5 millions d'euros, le projet a été soutenu à plus de 80% notamment par le département de Maine-et-Loire (800.000 EUR), la Région (400.000 EUR), des fonds européens et du mécénat privé.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hEYeWms6pfxqvrwYEHhkAZAgJcUw
DÉCOUVERTE À ROME DU PLUS ANCIEN PORTRAIT DE SAINT PAUL
Dans des catacombes près de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs
ROME, Jeudi 2 juillet 2009 (ZENIT.org) - Un portrait de saint Paul datant du 4e siècle, le plus ancien connu à ce jour, a été découvert, il y a deux semaines, dans les catacombes Sainte Thècle à Rome, non loin de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs.
La découverte par les restaurateurs de la Commission pontificale d'archéologie, a été révélée par L'Osservatore Romano, le quotidien du Saint-Siège, qui précise que les couches de saletés qui recouvraient la décoration de la voûte du cubiculum, ont été enlevées au laser, faisant alors apparaître le visage de saint Paul.
Représenté sous les traits du penseur, au regard vif mais lointain, les joues creuses, le front dégarni et avec une longue barbe en pointe, ce portrait renvoie à l'image paléochrétienne traditionnelle de l'apôtre des nations, ne laissant aucun doute sur son indentification, souligne L'Osservatore Romano.
La découverte du visage de Paul dans un des médaillons ornant les coins de la voûte, a encouragé les archéologues à poursuivre leur opération de nettoyage sur les trois autres clypeus, dégageant alors deux visages, ceux de deux autres apôtres, un particulièrement jeune et l'autre aux traits marqués (peut-être jean et Jacques), puis le troisième visage d'un homme chenu qui est très probablement celui de Pierre.
« Pour la première fois dans l'art paléochrétien, les deux princes des apôtres occupent une place importante, sont mis en avant, poursuit le quotidien, ne sont pas montrés comme les accompagnateurs des défunts, contrairement à bon nombre de sarcophages du 4ème siècle, ni parmi les membres du collège liturgique présidé par le Christ, mais sous les traits de trois personnalités individuelles qui supervisent toute la création ».
Dans un article paru également sur L'Osservatore Romano, Fabrizio Bisconti, secrétaire de la Commission pontificale d'archéologie sacrée et président de l'Académie pontificale Cultorum Martyrum, souligne que « du moment que l'imago clipeata représente une image dévotionnelle, choisie par les défunts pour protéger leur chambre sépulcrale, le buste de Paul peut être considéré comme la plus ancienne des icônes de l'apôtre connue à ce jour, en ce sens que l'on passe d'une simple évocation au culte ».
http://www.zenit.org/article-21452?l=french
UNE CARRIÈRE INSTABLE SOUS LE FUTUR QUARTIER
Le centre de Joinville va être complètement réaménagé à partir de fin 2010. Il est construit sur de vieilles carrières qui, avec le temps, se fragilisent. Visite en sous-sol.
Marc de Boni | Le Parisien 28.07.2009, 07h00
Le débat reste intense sur les modalités de réalisation de la zone d’aménagement concerté (ZAC) qui doit transformer le centre de Joinville-le-Pont à partir de la fin 2010. Un élément reste absent de l’état des lieux préalable au chantier : la gestion des vides de carrières très anciens qui courent à une quinzaine de mètres sous les hauteurs de la ville. Au travers de ces kilomètres de galeries passeront les fondations des infrastructures prévues dans le projet de ZAC.
« Ce n’est pas un problème des plus urgents. Certaines portions seront décapées par terrassement et effondrées, d’autres seront injectées de béton. L’investissement ne devrait pas être colossal », explique Alain Lemeur, le directeur des services techniques de la ville, lors de sa première visite du site. Vu d’en dessous, la fragilité des galeries semble pourtant inquiétante. De l’avenue des Canadiens à la place du 8-Mai-1945, où un parking doit être construit, des portions du ciel de carrière (plafonds) s’effondrent par strates massives, les piliers de soutien se décollent de la voûte. Près du garage municipal de la rue Vel-Durand, une impressionnante cloche de fontis (zone d’effondrement progressif sous un ciel fissuré) remonte jusqu’à 4 m du trottoir. Ailleurs, sous la villa Rousseau, de larges fissures parcourent le plafond.
Des déconvenues liées au sous-sol
« Les risques d’affaissement sont localisés. Ce n’est pas un problème complexe, puisque l’essentiel du réseau est amené à disparaître lors des travaux », tempère Olivier David, inspecteur général des carrières.
Si la municipalité ne semble pas inquiète, nombre de Joinvillais ont connu des déconvenues liées au sous-sol. « Après l’achat de notre terrain en 1991, nous avons découvert que deux galeries remblayées passaient sous la maison. Nous avons dû investir dans la construction coûteuse de 13 piliers. Nos voisins avaient un puits d’accès directement dans la maison, raconte Jenny Maizener, qui réside derrière l’ancienne gendarmerie. Des contractions des sols dus à la canicule de 2003 nous ont obligés à faire d’autres investissements de consolidation. »
Le surcoût des travaux potentiellement liés à l’édification de la ZAC au-dessus de ces carrières n’a pas encore été évalué.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/une-carriere-instable-sous-le-futur-quartier-28-07-2009-592251.php
--- SFES ---
Fondée en 1971, la Société Française d'Etude des Souterrains (SFES) est une société savante qui a pour vocation principale l'étude des cavités artificielles creusées par l’homme (souterrains aménagés, carrières, troglodytes, …). La SFES regroupe des personnes de tous horizons, archéologues amateurs et professionnels, spéléologues, historiens, mythologistes ou simple curieux, réunies par l'intérêt porté à tous les domaines de recherche concernant le monde souterrain. La SFES constitue un espace d'échanges entre tous les spécialistes des souterrains. Pour cela, elle publie une revue trimestrielle Subterranea et organise un congrès annuel.
Pour devenir membre de la Société Française d’Etude des Souterrains envoyez-nous un e-mail chez troglo21@yahoo.fr avec votre adresse postale. Nous vous ferons parvenir de plus amples informations sur la SFES et une fiche d’adhésion.
Prix de la cotisation pour 2008:
35 euros pour une personne
40 euros pour un couple
20 euros pour les étudiants
20 euros pour les personnes en difficulté économique 50 euros pour les sociétés
VISITEZ le site Internet de la SFES : http://www.souterrains.eu
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