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André Durand présente ‘’Il viccolo di Madama Lucrezia’’ (1846) nouvelle de Prosper MÉriméE


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André Durand présente
‘’Il viccolo di Madama Lucrezia’’

(1846)
nouvelle de Prosper MÉRIMÉE
(27 pages)
pour laquelle on trouve un résumé,
des notes
et un commentaire.
Bonne lecture !

Le narrateur est un jeune Français qui est venu séjourner à Rome. Son père lui a donné une lettre de recommandation pour la marquise Aldobrandi, qu’il a connue autrefois. Chez celle-ci, il rencontre son fils, don Ottavio, avec qui on peut le confondre ; le jeune Romain est sur le point d’être ordonné prêtre, mais ils deviennent amis. Un soir, retournant à son hôtel après avoir entendu des récits fantastiques, alors qu’il marche dans une ruelle, «il viccolo di Madama Lucrezia», une rose lui est lancée d’une fenêtre du premier étage d’une maison, d’où il est appelé par une femme qu'il ne peut toutefois rejoindre. De jour, la maison paraît abandonnée. Longtemps, il se tient en faction, mais en vain. Il apprend d’une voisine qui lui fait visiter cette maison très délabrée qu’elle aurait été celle de «Lucrezia Borgia», qui y recevait des amants qu’elle faisait ensuite tuer. Or, un soir où il avait été amené par hasard à porter le vêtement de son ami, en passant par le «viccolo», il reçoit une balle envoyée depuis cette maison. Don Ottavio, qui le fait soigner pour sa blessure, lui révèle alors que dans cette maison il rencontre une Lucrèce bien vivante, que le coup de feu lui était destiné, que se refusant à devenir prêtre, il voudrait, en se faisant passer pour son domestique, fuir avec lui qui s’apprête à rentrer en France. Le jour dit, à l’hôtel, le narateur trouve, de façon inattendue et d’abord quelque peu effrayante, cette femme. Il leur fait passer la frontière, ce qui leur permet de se marier.

Notes

(la pagination est celle de l’édition Livre de poche, ‘’Mérimée, nouvelles complètes, tome 2’’)


L'orthographe correcte est «vicolo» (ruelle). Le «vicolo di Madama Lucrezia» était, à Rome, une petite rue tortueuse à côté du «Palazzo Venezia», débouchant sur la «piazzetta San Marco». Elle devait son nom à une statue appelée «Madonna Lucrezia», mais qui représentait probablement Isis, statue qu’on voit encore aujourd’hui à l’angle du Palazzo Venezia et de la place San Marco.
Page 177 :

- «je partis pour Rome» : Mérimée alla à Rome en 1839, à l'âge de trente-six ans. Il n’y passa qu’une dizaine de jours, mais il n’oublia jamais les émotions qu’il y avait ressenties.

- «Mon père me donna» : Léonor Mérimée mourut en 1836.

- «Aldobrandi» : Ce nom rappelle celui des Aldobrandini, grande famille italienne qui possédait à Rome une villa somptueuse.

- «bacchante» : Prêtresse de Bacchus, qui célébrait les bacchanales, fêtes en l’honneur de Bacchus, avec danses, orgies, jeux et mystères d’initiés. Léonor Mérimée avait peint une ‘’Bacchante’’, tableau exposé au salon de I'an IV.
Page 178 :

- «livrée» : Habit d’un modèle particulier que portaient les domestiques masculins d’une même maison.

- «un Léonard de Vinci» : Ce tableau est probablement de I'invention de Mérimée.

- «palissandre» : Bois exotique, dur, odorant, d’une couleur violacée, veiné de noir et de jaune, provenant de plusieurs espèces d’arbres d’Amérique centrale, dont le jacaranda.

- «écusson» : Écu qui porte les armoiries d’une famille aristocratique.

- «Juste comme son père» : Mérimée confia : «La seule aventure romanesque que je sache de mon père (N.B. Je crois qu'il en a eu plus d'une) fut à Rome où il manqua être assassiné en même temps que Basseville. Il fut sauvé par une dame romaine, que j'ai retrouvée fort vieille et qui m'a reçu à Rome avec beaucoup d'attendrissement.» (lettre à Paul Lacroix, 3 janvier 1859). Léonor Mérimée, âgé de trente-six ans, avait en effet séjourné à Rome, en 1793. Dans une émeute populaire, l’envoyé de la république française, Hugon de Basseville, avait été assassiné. La marquise Aldobrandi devait avoir soixante-dix au moins en 1839. Bien entendu, âges et dates sont changés dans la nouvelle où l’anecdote vraie offre le cadre, sans plus.

- «à perte de vue» : Interminable.
Page 179 :

- «Lucrèce Borgia» : Née en 1480, elle était la fille du futur pape Alexandre VI. Elle fut un instrument aux mains de son père et de son frère, César Borgia, qui lui fit épouser en troisièmes noces (1501) Alphonse d’Este, duc de Ferrare. On lui prêta une conduite très licencieuse. Elle inspira à Victor Hugo son drame, ‘’Lucrèce Borgia’’. (1833).

- «sinécure» : Situation de tout repos.

- «exhorta» : Incita.


Page 180 :

- «Romagne» : Province du centre de l’Italie.

- «un monsignor» : Un prêtre.

- «cafard» : Personne qui affecte l’apparence de la dévotion.

- «courses par la ville» : Promenades, visites.

- «médiocrement» : Peu.


Page 181 :

- «amico» : Ami.

- «l’abbé Negroni» : Dans ‘’Lucrèce Borgia’’ de Victor Hugo, il y a une princesse Negroni dont le rôle fut tenu par Juliette Drouet, sa maîtresse.

- «cicerone» : Guide qui explique les curiosités d’une ville, d’un musée, d’un monument.


Page 182 :

- «libéraux» : Favorables aux libertés individuelles, dans le domaine politique, économique et social. Alors, les républicains opposés à la monarchie.

- «bas violets» : Portés par les ecclésiastiques.

- «patriciens» : Membres de la classe supérieure, aristocrates.

- «Bernin» : Giovanni Lorenzo Bernini (1598-1680), peintre, sculpteur et architecte, un des plus importants représentants du baroque romain. Pour ses statues il avait souvent choisi des sujets antiques.

- «devoirs pieux» : Souvenir de Molière : «Certain devoir pieux me demande là-haut.» (‘’Tartuffe’’, IV, 1).

- «sommeil du juste» : Sommeil paisible, que rien ne vient troubler, comme celui du «juste» de la Bible qui a la conscience tranquille.
Page 183 :

- «hyperbole» : Figure de style qui consiste à mettre en relief une idée au moyen d’une expression qui la dépasse.

- «Katzenellenbogen» : En allemand, «coude de chat». Katzenelnbogen était un ancien comté allemand sur le Rhin et le Main.

- «Kleist» : Friedrich Heinrich Ferdinand Emil von Kleist, comte de Nollendorf, feld-maréchal prussien, qui commanda une division prussienne à l’aile gauche de I'armée des Alliés à la bataille de Leipzig.


Page 184 :

- «Le 13 septembre 1813» : Mérimée se trompa : la bataille de Leipzig eut lieu du 16 au 19 octobre 1813.


Page 185 :

- «l’Elster» : Le 19 octobre, on avait fait sauter le pont de l'Elster, rivière qui arrose Leipzig.

- «Tivoli» : Ville d’Italie, dans le Latium, proche de Rome, où se trouvent les ruines de la villa de l’empereur Hadrien, et la villa d’Este.
Page 186 :

- «avantageux» : Qui tire vanité des avantages qu’il possède ; fat, orgueilleux, suffisant.

- «l’inflammabilité» : La facilité à s’enflammer, à s’éprendre, à tomber amoureux (ironique).
Page 187 :

- «duègne» : Femme âgée, gouvernante chargée de veiller sur la conduite d’une jeune femme.

- «Bartolo de Rosine» : Personnages du ‘’Barbier de Séville’’ de Beaumarchais.

- «infante» : Fille d’un roi d’Espagne ou du Portugal. Ici, jeune femme censée être soumise à une duègne.

- «gants jaunes» : Ils étaient fort à la mode à l'époque.
Page 188 :

- «échenillé» : Débarrassé de ses chenilles.


Page 189 :

- «un paul» : Monnaie d’argent des États du pape.


Page 190 :

- «lambrissé» : Revêtu de lambris, revêtement (en marbre, en stuc, en bois) formé de cadre et de panneaux, sur les murs d’une pièce.

- «salpêtré» : Couvert de salpêtre, efflorescence de mélanges de nitrates divers qui se forme sur les vieux murs.

- «Du temps des païens […] empereur» : La vieille femme confond les époques.

- «Alexandre» : Roderic Borgia (1431-1503), pape sous le nom d'Alexandre VI, père de Lucrèce Borgia.


Page 191 :

- «Quirinal» : Colline de Rome où se trouvait la résidence d’été des papes.

- «babillard» : Qui aime à babiller, bavarder.

- «estafier» : Laquais armé, garde du corps.

- «dépêchaient» : Litote pour «tuaient».

- «Sisto Tarquino» : La vieille, confondant décidément les époques, donne comme frère à Lucrèce Borgia le violeur d’une autre Lucrèce, Sextus, fils de Tarquin le Superbe, le dernier roi de Rome. Alors que Lucrèce Borgia était célèbre pour sa sensualité, la Lucrèce romaine était au contraire vertueuse, et se suicida pour sauver son honneur. Ponsard mit en scène ce sujet dans ‘’Lucrèce’’, tragédie jouée avec grand succès en 1843. Si la vieille fait de «Sisto Tarquino» le frère de Lucrèce, c’est qu’on a dit que Lucrèce Borgia aimait son frère, César.


Page 192 :

- «Vanozzi» : Rosa Vanozza, courtisane célèbre, était la mère de Lucrèce Borgia.

- «Maremme» : Région marécageuse de l’Italie centrale.

- «piastre» : Ancienne monnaie de divers pays. C’est encore aujourd’hui le nom familier qu’on donne au dollar au Québec.

- «porter un cierge» : Pour le faire brûler et ainsi demander à un saint son secours.
Page 193 :

- «depuis le cèdre jusqu’à l’hysope» : Du plus grand au plus petit, le cèdre étant un grand arbre, et l’hysope un arbrisseau. La locution se trouve dans la Bible (‘’Rois’’, IV, 33), et souvent dans l’œuvre de Mérimée.

- «feue» : Qui est morte (mais depuis peu de temps, Mérimée commettant donc une erreur).

- «avoir le diable au corps» : Déployer une énergie, une activité intense, une vivacité surhumaine.

- «je fis le pied de grue» : J’attendis debout.
Page 194 :

- «pénitents encapuchonnés» : Membres d’une confrérie s’imposant volontairement des pratiques de pénitence et des œuvres de charité. C’est cependant une pratique plus espagnole qu’italienne.

- «César Borgia […] voulait chasser les barbares de l’Italie» : Il lutta contre l’emprise de l’empereur d’Allemagne sur l’Italie.
Page 195 :

- «la place du Peuple» : La «piazza del Popolo». Située à l’autre extrémité de la via del Corso, elle se trouve à plus de deux kilomètres de la «piazetta San Marco».

- «panégyrique» : Discours de louange.

- «Pères de l’Église» : Personnalités, généralement des évêques, dont les écrits, les actes et l'exemple moral ont contribué à établir et à défendre la doctrine catholique.

- «in-folio» : Forme de livre où la feuille imprimée a été pliée une fois, donnant ainsi deux feuillets soit quatre pages. Il est plus ou moins grand, selon l'étendue de la feuille.

Page 197 :

- «estomac» : Mérimée emploie le mot à son sens ancien de «poitrine» alors qu’auparavant il avait parlé d’«un coup terrible dans la poitrine».

- «force me fut de » : Je fus obligé de.


Page 198 :

- «Tudieu !» : Ancien juron familier, abréviation de «par la vertu de Dieu !»

- «canarder» : Tirer sur quelqu’un d’un lieu où l’on est à couvert.

- «Morbleu !» : Ancien juron familier, déformation de «par la mort de Dieu !»

- «maroufle» : Fripon.

- «signalée» : Remarquable.


Page 199 :

- «mêlé des violettes aux lys de mon sein» : Métaphore laborieuse pour indiquer que des taches de sang se trouvent sur la poitrine qui a la blancheur des lis, Mérimée confondant, comme on le fait souvent, le lis et la fleur de Lys (qui, en fait, est bleue).

- «ordination» : Cérémonie qui marque l’accession à la prêtrise.
Page 200 :

- «je me brûlerai la cervelle» : Je me tuerai par un coup de feu à la tête.

- «avoir gagné le territoire toscan» : Être donc sorti des États du pape.
Page 201 :

- «à croix ou pile» : On dit aujourd’hui «à pile ou face».

- «signora» : Dame, en italien.
Page 202 :

- «la vache» : Panier revêtu de cuir, placé au sommet d’une voiture, ou couverture en peau qu’on étendait par-dessus des colis placés sur l’impériale.

- «l’histoire de la nonne sanglante» : C’est un des épisodes du ‘’Moine’’ de Lewis où apparaît ce spectre vagabond et dégageant une odeur abominablement pestilentielle.

- «don Alonso» : Personnage du ‘’Moine’’.


Page 203 :

- «ses deux mains croisées à hauteur de sa ceinture, attitude modeste qui me fit croire que mon ami don Ottavio n’était pas aussi grand politique que je me l’étais figuré» : Lucrèce est enceinte.

- «amica» : Amie.
Page 204 :

- «Avint» : Il advint.


Page 205 :

- «prirent la clé des champs» : Eurent toute liberté de mouvement, s’enfuirent. La «clé des champs» est la clé qui permet de sortir de l’endroit où l’on se trouve, et non pas la clé qui ouvrirait un champ considéré comme clos.

- «la fièvre des maremmes» : Le paludisme.
Commentaire
Le 23 juin 1853, Mérimée fut nommé sénateur. Le lendemain, il écrivit à Mme Delessert : «Je voudrais bien établir que je suis toujours un faiseur de contes, et si j'en avais un prêt je le donnerais aussitôt. Le mal, c'est que je n'en ai pas, mais conseillez-moi. Il y a quelques années que j'en ai fait un pour Mme Odier, où il y avait deux chats et qui est inédit. Je ne m'en souviens plus du tout. Il faudrait que vous le lussiez et vissiez si cela peut passer en lettres moulées.» L'avis de Mme Delessert avait dû être défavorable, puisque, le 26 juin, il lui répondit ainsi : «Vous avez mille fois raison, et il sera fait ainsi que vous le dites. Je vous rapporterai jeudi la nouvelle que je vais relire avec curiosité, mais pour moi, bien entendu.» Le manuscrit fut rendu à Mme Odier (soeur de Mme Delessert) qui le conserva. Actuellement, il se trouve dans la collection du colonel Daniel Sickles. Il est orné de deux aquarelles dont l'une représente le «vicolo» avec trois chats, et I'autre le large fauteuil de cuir noir. Il est daté du 27 avril 1846.

En 1868, Mérimée songea à reprendre le sujet : «Je me suis souvenu d'avoir autrefois fait une nouvelle pour une dame blonde qui la garda. J'ai recommencé sans me souvenir des détails. Lorsque je n'ai rien à lire, j'en écris quelques pages. Cela deviendra ce que cela pourra.» (lettre à la duchesse Colonna, 24 août 1868). Le 39 janvier 1869, il demanda des renseignements topographiques à la duchesse Colonna qui se trouvait à Rome, en ajoutant en guise de remerciement : «Je vous dédierai la nouvelle, après ma mort, s'entend.» Nouvelle demande d'informations le 26 juin, avec la remarque : «Je n'ai pas besoin de vous dire qu'il est pour moi d’un grand intérêt de connaître bien la situation de cette ruelle [celle de Madama Lucrezia], où se passe toute une histoire de ma façon.» Cette seconde version est inconnue, le manuscrit a certainement été brûlé en 1871 dans l’incendie de la maison où se trouvait I'appartement de Mérimée.

Comme on l’a signalé précédememnt, le début de l'histoire renvoie à la vie de I'auteur et à celle de son père. Il faut comprendre que, de ce séjour à Rome (comme de celui, dans le nord de l’Italie, de ce lieutenant français du début de ‘’La chartreuse de Parme’’ de Stendhal qui, du fait de son aventure avec la marquise del Dongo, serait le vrai père de Fabrice), serait né don Ottavio, qui est donc le demi-frère du narrateur.

Pour le reste, des rapprochements ont été faits avec l’histoire, qu’on trouve chez Lucien (celui des ‘’Amours’’), Valère-Maxime, Pline l’Ancien, de «cet étange fanfaron qui, s’étant introduit dans le temple de Cnide, passa la nuit entIère avec la déesse de marbre, et l’épousa complètement», avec des contes fantastiques de différents auteurs (Nodier, Hoffmann, Arnim), rapprochements qui venaient d'autant plus à propos que Mérimée lui-même fit dans sa nouvelle quelques allusions moqueuses à ce genre d'histoires. Mais il semble tout aussi légitime de supposer que la fable est entièrement de son invention, et que la petite parodie littéraire qu'il inséra dans le récit vaut autant pour lui que pour les autres.

Le fantastique, qui tient à la confusion entre deux et même trois Lucrèce, celle des Tarquins, celle des Borgia et celle d’Ottavio, est finalement expliqué. Une réflexion est proposée sur la persistance à travers le temps et par l’entremise du prénom, de l’attraction sensuelle de la femme, attraction qui s’exerce justement sur un jeune homme dont on veut faire un prêtre, Mérimée ne manquant pas de manifester encore son anti-cléricalisme.

Dans ‘’Il viccolo di Madama Lucrezia’’, c'est la comparaison-ressemblance qui devient le sujet de la nouvelle : ressemblance du narrateur avec son père, ressemblance de la miniature et de Lucrèce, mais surtout celle du narrateur avec le comte, au point que trois personnes s'y trompent : I'abbé, Lucrèce, le tueur. Sans ces comparaisons et ces méprises, le narrateur n'aurait rien à raconter, même s'il semble regretter qu'on ne le prenne pas pour lui-même. «J’ai honte de dire combien de fois je m’arrêtai devant cette maudite maison sans pouvoir parvenir à résoudre l’énigme qui me tourmentait


On possède de la nouvelle un manuscrit auttographe daté du 27 avril 1846, qui fut offert par l’auteur à Mme Édouard Odier, sœur de Valentine Delessert. Mérimée l’avait orné de deux agrables aquarelles, représentant la maison du «vicolo» et «le large fauteuil de cuir noir».

Il jugeait sa nouvelle «aussi remarquable par la force des pensées que par l’aménité du style» (lettre à la duchesse Colonna-Castiglione, 30 janvier 1869).

Pourtant, elle ne fut publiée que dans le recueil posthume, ‘’Dernières nouvelles’’ (1873).

André Durand

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