Veille media
|
|  Yüklə 0.9 Mb.
|
TURQUIEL'AKP au pouvoir sauvé, Gül appelle à l'unité NOUVELOBS.COM | 02.08.2008 | 18:51 Le président turc appelle à l'union et à la réforme, maintenant que l'AKP, le Parti de la justice et du développement au pouvoir en Turquie, a échappé à la dissolution. Après que la justice turque a décidé de ne pas interdire le parti islamiste modéré AKP au pouvoir, le président Abdullah Gül a appelé tous les partis politiques à l'autocritique et à la réconciliation, dans une interview au journal Milliyet publiée samedi 2 août.
Neutralité présidentielle La Cour constitutionnelle turque étudiait jusqu'à mercredi une demande d'interdiction du Parti de la justice et du développement (AKP) qu'elle a finalement rejeté, alors que l'état-major du parti se préparait à une dissolution.
"Personne ne peut interférer dans la façon de vivre des autres (...) Nous pouvons régler ensemble les différends", a-t-il souhaité. Le président a également appelé le gouvernement dirigé par le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan à poursuivre les réformes afin d'accélérer le processus d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne.
Reuters
Le bilan humain s'élève à un mort et une personne portée disparue. Côté matériel, une soixantaine de maisons, une dizaines de fermes, une école et une mosquée ont été détruites par les flammes. La région d'Antalya, avec ses plages et ses vestiges de la civilisation hellénistique, est la plus touristique du pays. Elle accueille chaque année 7 millions de vacanciers. Daren Butler, version française Olivier Guillemain
ANKARA (AFP) — Les pompiers luttaient lundi pour le cinquième jour consécutif pour tenter de maîtriser un incendie de forêt dans la province d'Antalya, l'une des principales destinations touristiques du sud de la Turquie, a rapporté l'agence Anatolie. Cet incendie a fait deux morts, le corps d'un deuxième villageois ayant été retrouvé dans la zone sinistrée. Cet homme, porté disparu depuis plusieurs jours, habitait le village de Karatas, très affecté par l'incendie et dont la population a été évacuée, ont indiqué les autorités, citées par l'agence. Un septuagénaire a également perdu la vie dans le sinistre qui affecte plus particulièrement la zone entre Serik et Manavgat. Plusieurs centaines de pompiers épaulés par des villageois combattent les flammes soutenus par des avions citernes et des hélicoptères. Selon la presse plus de 4.000 hectares de pins ont été ravagés. Le directeur-adjoint de la direction locale des forêts, Mehmet Ali Yilmaz, a jugé, selon Anatolie, que l'incendie pouvait être maîtrisé d'ici lundi soir, les vents favorisant les travaux des pompiers. Lundi à la mi-journée, l'incendie ne menacait aucune installation touristique. La province d'Antalya qui abrite certains des plus célèbres sites archéologiques de Turquie reçoit en moyenne chaque année 7 millions de touristes. L'incendie avait éclaté jeudi sur une petite superficie et s'était beaucoup étendu vendredi et samedi en raison de vents forts. Des villageois sinistrés se sont plaints de la lenteur des secours alors que les flammes ravageaient leurs maisons et leurs granges. Outre la chaleur, les vents forts, la sécheresse et la négligence des habitants, les autorités turques évoquent la possibilité de sabotage, pour expliquer le démarrage de ces incendies. http://afp.google.com/article/ALeqM5jD3r17CgO4DvIcDf2w3PdFzqvxwg Turquie/incendies: des villageois sans abri près de sites touristiques ANKARA - Des dizaines de villageois se sont retrouvés sans abri alors qu'un important incendie de forêt fait rage à travers la province côtière d'Antalya, l'une des principales destinations touristiques de la Turquie, a annoncé le ministre turc de l'Environnement Veysel Eroglu. L'incendie, qui a éclaté vendredi, a été attisé par des vents violents pouvant atteindre 70 km/h qui ont endommagé des lignes à haute tension et détruit une soixantaine de maisons, a précisé le ministre qui s'exprimait sur une chaîne de télévision. "Nous n'avons pas connaissance de décès mais deux personnes sont portées disparues" a-t-il souligné. Le feu a détruit environ 4.000 hectares de forêts. Près de 1.300 pompiers et secouristes assistés d'hélicoptères et d'avions luttent contre l'incendie qui s'étend du district de Serik à la ville côtière de Manavgat où se trouvent de nombreux villages de vacances. Selon le ministre, l'incendie pourrait être maîtrisé dans l'après-midi de samedi si, comme le prévoit la météo, les vents s'affaiblissent. Les villageois sinistrés se sont plaints de la lenteur des secours affirmant qu'ils avaient été abandonnés à eux-mêmes alors que les flammes ravageaient leurs maisons, leurs granges et leurs champs. M. Eroglu a affirmé que le gouvernement indemniserait les villageois et indiqué que le Croissant Rouge turc et d'autres organisations humanitaires avaient envoyé des aides dans la région. A un certain moment, l'incendie a menacé un site archéologique majeur, l'ancien amphithéâtre grec d'Aspendos, mais les autorités ont déclaré qu'il était désormais hors de danger, les vents ayant changé de direction. Toujours, selon les autorités, les villages de vacances de la côte méditerranéenne sont également hors de danger. La province d'Antalya qui abrite certains des plus célèbres sites archéologiques de Turquie reçoit en moyenne chaque année 7 millions de touristes. (©AFP / 02 août 2008 13h52) http://www.romandie.com/infos/news2/080802115235.u2zamwc7.asp Huit rebelles kurdes tués par l'armée turque Il y a 21 heures ANKARA — Huit rebelles kurdes ont été tués dans des affrontements avec des soldats turcs dans le sud-est du pays, a annoncé dimanche l'armée. Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont été tués dans des combats qui se sont déroulés samedi dans la province de Sirnak, près de la frontière irakienne, selon un communiqué de l'armée. Cinq gardiens d'un village ont également péri. Ces affrontements avaient été initialement rapportés par les médias turcs. Les gardiens de village sont armés et payés par le gouvernement d'Ankara. Le PKK lutte pour l'autonomie du territoire kurde, dans le sud-est de la Turquie, depuis 1984. Le conflit a fait plusieurs dizaines de milliers de morts. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hZyLeNoEhy_DsJ27rI2PoZ4LpuyA Turquie: huit séparatistes kurdes ont été tués dans des combats Les soldats turcs ont tué huit séparatistes kurdes dans une fusillade dans le sud-est de la Turquie. Ces décès portent à treize morts le bilan de deux jours d'affrontements. Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) avaient tué dans la nuit de vendredi à samedi cinq membres d'une milice pro-gouvernementale dans la province de Sirnak, près de la frontière avec l'Irak, précise l'armée dans un communiqué. Les hommes du PKK ont ouvert le feu sur les miliciens qui partaient en patrouille. L'armée a lancé des soldats appuyés par des hélicoptères à la poursuite des assaillants, dont huit ont été tués. Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par la Turquie, les Etats-Unis et l'Union européenne, se bat depuis 1984 pour l'autonomie du sud-est de la Turquie, peuplé en majorité de Kurdes. Le conflit a fait plus de 37'000 morts. L'armée turque a renforcé depuis décembre sa répression contre l'organisation séparatiste. Elle a intensifié les opérations dans le sud-est du pays, et mené des incursions aériennes contre des camps du PKK dans le nord de l'Irak. (ats / 03 août 2008 18:24) http://www.romandie.com/infos/ats/display2.asp?page=20080803182405664172194810700_brf047.xml Turquie : le PKK est derrière des attentats d'Istanbul 2008-08-03 07:25:36 ANKARA, 2 août (Xinhua) -- Le ministre turc de l'Intérieur Besir Atalay a déclaré samedi que les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) étaient derrière du double attentat survenu à Istanbul la semaine dernière, qui a fait 17 morts et 154 blessés. Selon M. Atalay, cité par l'agence de presse semi-officielle turque Anatolia, tous ceux qui étaient impliqués dans cette attaque avaient été arrêtés et que dix suspects interrogés et déférés aux autorités judiciaires. Lundi dernier, Sedat Laciner, de l'Organisation de recherche stratégique internationale, basé à Ankara, a estimé que le PKK serait instigateur de l'attentat, vu le type des explosifs et le mécanisme de bombe utilisé. "Notre jugement est que cette attaque impitoyable est le travail de ce groupe séparatiste sanglant", a indiqué M. Atalay. Le PKK, considéré par la Turquie et les Etats-Unis comme un groupe terroriste, a pris les armes en 1984 en vue de créer un Etat ethnique dans le sud-est de la Turquie. Près de 40.000 personnes ont trouvé la mort dans le conflit.
La police turque avait arrêté neuf personnes dans le cadre de l'enquête sur le double attentat à la bombe qui avait fait 17 morts et plus de 150 blessés dimanche 27 juillet à Istanbul. Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) avait démenti toute implication. e ministre turc de l'Intérieur, Besir Atalay a déclaré, samedi 2 août, à des journalistes que des extrémistes séparatistes kurdes seraient derrière les deux attentats à la bombe qui ont fait 17 morts la semaine dernière à Istanbul. "C'était un acte inhumain de la sanglante organisation séparatiste terroriste", a déclaré Besir Atalay, utilisant la désignation habituelle des autorités turques pour le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). La majorité de ceux qui étaient derrière les attentats de dimanche dernier ont été capturés, dont ceux "qui ont personnellement participé" à ces attentats, a affirmé le ministre. Interpellations Neuf personnes suspectées d'avoir posé deux bombes qui ont fait 17 morts et plus de 150 blessés à Istanbul ou d'avoir participé à la préparation des attentats avaient déjà été interpellés par la police turque mercredi 30 juillet selon l'agence de presse Anatolia. Les suspects étaient en cours d'interrogatoire par la police d'Istanbul, sans donner d'avantage de détails sur l'identité, le rôle éventuel ou le mobile de ces personnes. Les personnes interpellées étaient suspectées d'être liées aux poseurs de bombes. Démenti du PKK Deux bombes avaient explosé dimanche 27 juillet dans le quartier populaire de Güngören à une dizaine de minutes d'intervalles, tuant 17 personnes et en blessant 154 autres. Les autorités turques privilégiaient la piste d'une attaque des séparatistes kurdes en représailles à une précédente offensive contre leur base arrière en Irak, même si le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a démenti toute implication. L'aviation turque avait bombardé mardi 22 juillet des positions de la rébellion kurde dans la région de Zab et de Qandil dans le nord de l'Irak. (avec AP)
ANKARA, 3 août 2008 (AFP) - Une vingtaine de nouveaux nés sont décédés au cours des quinze derniers jours dans un hôpital public d’Ankara, a annoncé le médecin en chef de cet hôpital, cité par l’agence de presse Anatolie. Le tiers des décès est dû à des maladies infectieuses qui font l’objet d’une enquête à l’intérieur de l’hôpital, a précisé Mme Leyla Mollamahmutoglu qui a ajouté que la plupart de ces nouveaux nés étaient des prématurés. Le syndicat des travailleurs des professions médicales SES, qui a dit avoir été informé par certains de ses membres employés de l’hôpital, a chiffré de son côté le nombre des décès à 27, affirmant qu’ils avaient eu lieu en trois jours seulement de la semaine écoulée. La section d’Ankara de SES a estimé que la propagation des maladies était due à de mauvaises conditions d’hygiène à l’intérieur de l’hôpital où des travaux sont en cours et où le nombre de patients dépasse, selon SES, les capacités d’accueil. "La salle d’accouchement a été déplacée dans un bâtiment qui ne satisfait pas aux conditions d’hygiène, ce qui favorise les contaminations (...) Il arrive que deux ou trois femmes attendent sur le même brancard avant d’accoucher et que trois nouveaux-nés soient placés dans le même incubateur" a affirmé un responsable de SES. http://www.france-info.com/spip.php?article168502&theme=69&sous_theme=69# Turquie/effondrement: 3 inculpations Source : AFP 03/08/2008 | Mise à jour : 11:11 | Trois personnes ont été inculpées après l'effondrement d'un pensionnat de jeunes filles, dans le centre de la Turquie qui avait fait 18 morts vendredi, annonce l'agence Anatolie. Les trois personnes -- les directeur et directeur adjoint du pensionnat ainsi que le président d'une fondation religieuse gérant l'établissement -- sont poursuivies par un tribunal de la province de Konya pour "meurtre par négligence" et ont été placées en détention dans l'attente de leur jugement, a précisé l'agence Anatolie. L'immeuble de trois étages qui abritait le pensionnat dans la banlieue de Taskent, à 350 km au sud d'Ankara, s'est effondré vendredi à la suite d'une violente explosion due à une fuite de gaz dans les cuisines, tuant 17 écolières, âgées de 8 à 16 ans, et leur professeur et faisant 27 blessés. Les autorités ont été mises en cause à la suite d'informations sur de défaillances dans la construction de l'immeuble et dans l'inspection des conduites de gaz et parce que l'établissement était utilisé sans autorisation pour de l'enseignement coranique pendant les vacances d'été. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/08/03/01011-20080803FILWWW00055-turquieeffondrement-inculpations.php La Turquie lance un nouveau programme d'aide au développement pour l'Afrique 2008-08-02 08:41:54 ANKARA, 1er août (Xinhua) -- Le ministre d'Etat de la Turquie, Saïd Yazicioglu, a déclaré vendredi que son pays a initié un nouveau programme d'aide au développement pour les pays africains. "L'objectif du programme lancé aujourd'hui est d'améliorer les relations entre la Turquie et l'Afrique, de fournir aux pays africains les technologies modernes en agriculture et en alimentation animale, de former des experts qualifiés et d'élever les revenus et les conditions de vie," a déclaré M. Yazicioglu, cité par l'agence de presse semi-officielle Anatolie. Il s'est exprimé à ce propos au cours d'une réunion de promotion pour le "Programme africain de développement agricole" lancé par l'Agence de coopération et de développement international turque (TICA) et soutenu par le ministère turc de l' Agriculture et des Affaires rurales. M. Yazicioglu a indiqué que l'aide au développement moyen versé par la Turquie ces trois dernières années était de 650 millions de dollars américains. Par ailleurs, le ministre turc de l'Agriculture et des Affaires rurales, Mehmet Mehdi Eker, a déclaré lors d'une réunion que la principale raison derrière la crise alimentaire mondiale, c'est que les matières premières agricoles qui doivent être utilisées comme denrées alimentaires sont exploitées à des fins autres. M. Eker a énuméré les raisons de l'actuelle crise alimentaire, comme les problèmes d'énergie, le réchauffement planétaire, les changements au niveau des habitudes alimentaires et les politiques commerciales des pays riches. "850-860 millions de personnes luttent contre la famine dans le monde, selon la FAO, et la majorité d'entre elles se trouvent en Afrique", a-t-il rappelé. http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-08/02/content_682971.htm « La grande illusion des Arméniens » par Talin Suciyan dimanche 3 août 2008, par Stéphane/armenews Les Arméniens peuvent-ils vivre en paix en Turquie ? La diaspora en doutait, et le meurtre du journaliste Hrant Dink confirme, hélas, ces doutes. Le cri du cœur d’une journaliste arménienne d’Istanbul. Désormais, parler de justice, de droit, d’assassins arrêtés, du pourquoi et du comment n’a plus aucun sens. Hrant Dink est mort. Point à la ligne. La seule chose aujourd’hui qui vaille la peine d’être rappelée, c’est qu’un Arménien qui avait réussi à faire entendre sa voix a été assassiné. Les paroles prononcées par l’assassin - “J’ai tué un Arménien” - en sont d’ailleurs la meilleure illustration. Oui, c’est un Arménien que le tueur a assassiné. Ce faisant, il a blessé tous les Arméniens. Dans de telles conditions, moi qui suis arménienne de Turquie, je dois bien avouer que, aujourd’hui, toute la prose consacrée aux conséquences de cet assassinat pour la démocratie, la liberté d’expression et les droits de l’homme me touche moins que le crime lui-même. Je pensais pourtant que la conjoncture qui avait pris forme depuis une petite dizaine d’années offrait désormais concrètement aux Arméniens de Turquie une perspective nouvelle, et que celle-ci s’inscrivait dans la normalité et dans la durée. J’étais persuadée qu’il devait en être ainsi et pas autrement. Or le meurtre de Hrant est venu rappeler douloureusement que ce nouveau contexte de liberté n’était pas du tout normal et qu’il n’y avait d’ailleurs aucune raison qu’il le soit. Avec ce crime, je me suis rendu compte que tous mes espoirs reposaient sur cette atmosphère nouvelle créée par Hrant et [sa revue turco-arménienne] Agos. Les traumatismes que l’on avait rejetés loin derrière nous ont soudain réapparu avec cet assassinat. Le discours des générations précédentes affirmant que rien ne changerait jamais pour les Arméniens de Turquie est donc avéré. Dès lors, je n’ai plus aucun argument vis-à-vis de mes parents. Lorsqu’ils me disent de “laisser tomber” et de ne plus faire ce métier [de journaliste], les exemples que je pouvais leur opposer jusqu’il y a peu illustrent de façon implacable que décidément rien n’a changé. Idem pour la diaspora arménienne, face à laquelle je reste sans voix lorsqu’elle affirme que “le génocide se poursuit”. Ces derniers temps, Hrant évoquait souvent la possibilité de partir et de quitter le pays. Cela fait d’ailleurs quatre-vingts ans que “partir” est une éventualité à laquelle chaque Arménien songe à différents moments de sa vie. En réalité, c’est bien cette situation qui est normale : partir, bien que l’on n’ait pas d’endroit où aller et aucune “patrie” vers laquelle revenir. Je pense ainsi que Hrant, le jour où il a été assassiné, alors qu’il descendait les marches de l’escalier après avoir fini de déjeuner, savait très bien où il allait. A la fin décembre, Hrant avait ainsi terminé son article par cette phrase de Hovhannes Tumanyan : “Vivez, mes enfants, mais, en tout cas, ne vivez pas comme nous.” Ce poète arménien, né en 1869 et décédé en 1923, fut témoin des moments les plus pénibles de l’histoire des Arméniens. C’est dans ce contexte qu’il avait écrit ces quelques mots. Quant à nous, nous perpétuons toujours l’expérience de tous les Tumanyan, mais cinq générations plus tard ! Repose en paix, Hrant. Talin Suciyan Nokta
|