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L’Avare de Molière 11 + 8 = 19 heures


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Séquence 4ème

L’Avare de Molière

( 11 + 8 = 19 heures )



OBJECTIF GÉNÉRAL : Lire une pièce de théâtre.
OBJECTIFS SECONDAIRES :

  • Aborder l’argumentation (3) à travers le dialogue théâtral.

  • Explorer les différentes interprétations d’une scène.



LECTURE :

    • DE TEXTE : Une pièce de Molière : L’Avare




    • D’IMAGES MOBILES : Deux mises en scène du monologue d’Harpagon :

  • Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre

  • Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec Louis de Funès dans le rôle titre



ÉCRITURE : Pour soi : Prises de notes à partir de supports écrits et oraux

ORAL : Diction (suite) :

  • Présentations orales

  • Lecture à voix haute d’extraits de pièce de théâtre

  • Jeu dramatique = Récitation de textes ayant fait l’objet d’une étude en classe


Edition de référence : Hachette Éducation, collection Bibliocollège (en série au C.D.I.)


Planning de lecture et questions de préparation :

MAÎTRISE DE LA LANGUE :
Le subjonctif :

  1. dans les propositions indépendante ou principale (valeur de souhait ou de prière, et remplacement de l’impératif à certaines personnes)

  2. dans les propositions subordonnées conjonctives introduites par que (après un verbe de souhait, de volonté ou de sentiment)

  • évaluation

Revoir natures et fonctions



  • application

Quelques homonymes et homophones :



  1. distingués par l’accent : des / dès ; sur / sûr…

  2. autres : l’ai / les ; on / on n’ ; quant quand / qu’en ; plus tôt / plutôt ; près / prêt…

  • réinvestissement =

Dictée préparée n°6 : extrait de L’Avare

Pour introduire la séquence : Trois exposés oraux :

Exposé 7 : La femme au XVIIe siècle

Exposé 8 : Molière et la critique de son temps


Exposé 9 : Aux origines de L’Avare…
Distribution et lecture à voix haute de la fiche de cours sur les procédés du comique au théâtre.
Présentation du chapitre et de ses objectifs.

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SÉANCE 1 : INTRODUIRE L’ŒUVRE PAR DES RECHERCHES DOCUMENTAIRES ELECTRONIQUES (2 heures)


Supports : Sites Internet
En binômes sur les ordinateurs de la salle multimédia.
Pour la séance 7 : Rendre le résultat des recherches.
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SÉANCE 2 : ÉTUDIER LA SCENE D’EXPOSITION

Support : I, 1 : la scène d’exposition (de « VALERE - De tout ce que vous avez dit » p.11, l.65 à la fin de la scène)
Rappel oral sur la scène d’exposition (correspond à une situation initiale dans un récit).

Lecture à plusieurs voix de la scène d’exposition.

Vérification et mise en commun des questions de préparation I, 1.


    1. La situation d’énonciation

L’expression « domestique de mon père » indique que la scène se passe chez Elise.

Quand Valère parle de « l’excès d’avarice » du père d’Elise, on comprend le titre.

Des expressions comme « donner votre foi…mes feux » et l’emploi du subjonctif prouvent le langage soutenu de l’Ancien Régime.

Les deux personnages ont un rapport amoureux : « mes feux ».

Elise craint que Valère lui soit infidèle et la trompe : « tous les hommes sont semblables par les paroles ».

b) La situation initiale

Valère s’est engagé comme domestique du père d’Elise pour pouvoir se faire connaître.

Valère recherche ses parents : « retrouver mes parents ».

Cette formule signifie qu’en jouant un rôle de serviteur complaisant, Valère ment et est hypocrite.

L’autre personnage dont il est question est : le frère d’Elise, qui a un caractère opposé à l’avarice du père.

La rencontre des amoureux est romanesque parce qu’il l’a sauvée d’une noyade, circonstance rare, digne d’un roman.


Leçon, à compléter ensemble :

Les personnages s’appellent par leur prénom dans les premières prises de parole, parce qu’outre le fait de se parler entre eux, il y a le fait qu’ils parlent pour les spectateurs. Les propos tenus ont donc deux destinataires et l’on parle de double énonciation.

A l’ouverture du rideau, on entre dans l’action « in medias res » (= de façon abrupte et l’on doit déduire les faits des paroles entendues).

Chaque prise de parole s’appelle une réplique.

Le texte est découpé en actes (à chaque changement de lieu, donc de décor) et en scènes (à chaque entrée ou sortie d’un personnage).

La comédie met en scène des personnages de basse et moyenne condition , qui appartiennent au peuple ou à la bourgeoisie. Le niveau de langage y est courant (ici c’était celui du XVIIème s.).

L’intrigue d’une comédie se noue autour d’un conflit familial ou conjugal : ici l’avarice du père.

Le mot dialogue signifie « échange de paroles » entre plusieurs personnes. Les dialogues peuvent être écrits en vers ou en prose.

Les premières scènes sont essentielles pour comprendre les circonstances ( par exemple : le niveau social, le vice d’un personnage, leur situation comme le fait d’être orphelin ou leurs rapports) et les enjeux de l’intrigue (par exemple la stratégie mise en œuvre pour faire changer la situation : devenir valet, rechercher se parents ou se trouver un allier). On parle donc d’acte d’exposition.
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SÉANCE 3 : ANALYSER LA CRITIQUE DE L’AVARICE A TRAVERS LE DIALOGUE

Supports :


  • I, 3 (de «LA FLECHE - Comment diantre voulez-vous » p.17, l.228 à « je parle à mon bonnet. » p.19, l.289)

  • I, 4


Deux groupes : questions 6 à 8 / 9 et 10 p.21 [15 min].

Mise en commun.

Lecture à plusieurs voix de l’extrait.

Question 11 p.22 [10 min].

Mise en commun + question 12 à l’oral.

Question 13 à l’oral et sur le classeur.

Lectures à voix haute en changeant de ton, par des volontaires.
Vérification et mise en commun des questions de préparation I, 4 :

a) Des caractéristiques du texte de théâtre

Au début de la scène Harpagon se parle à lui-même, c’est un monologue.

Les remarques en italiques s’adressent aux acteurs et au metteur en scène.

Elles servent à indiquer des jeux de scène, des mouvements, des attitudes, un ton.



b) Le thème de la scène

Harpagon veut parler à ses enfants de son mariage et ensuite du leur tandis que les enfants veulent lui parler de leur propre mariage.

Il a décidé que son fils épouserait une riche veuve « une certaine veuve dont ce matin on est venu me parler » et il destine à sa fille le « seigneur Anselme », « homme mûr, prudent et sage, qui n’a pas plus de 50 ans et dont on vante les biens ».

Un brusque renversement de situation se produit au moment où le père annonce son intention d’épouser la Marianne dont il parlait avec son fils.



    1. Procédés du comique

Le thème récurrent des répliques de l’avare est l’argent.

    1. Compléments

On assiste dans cette scène à un rebondissement de l’action (un coup de théâtre) qui est l’équivalent de l’élément perturbateur dans le récit : c’est une péripétie.

On nous parle ici de Marianne avant de nous la montrer : c’est une façon de développer un phénomène d’attente, le suspense.


Pour la fois suivante : En binômes, proposer une interprétation et une mise en scène différentes de celle de Molière (guide : question 15 p.22).
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Le subjonctif : (2 heures)

  1. dans les propositions indépendante ou principale (valeur de souhait ou de prière, et remplacement de l’impératif à certaines personnes)

  2. dans les propositions subordonnées conjonctives introduites par que (après un verbe de souhait, de volonté ou de sentiment)

  • évaluation (1 heure)

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SÉANCE 4 : S’INITIER A L’ARGUMENTATION

Supports :

  • I, 5

  • II, 5 (de « HARPAGON - Mais, Frosine, as-tu entretenu la mère » p.56, l.314 à « et du bon père Anchise sur les épaules de son fils. » p.59, l.390)

Questions 13 à 15 p.38 à l’oral.

Lecture à plusieurs voix de l’extrait de II, 5.

Pour chacun des deux personnages prenant la parole, citez les phrases du texte qui disent :



    • quelle est l’idée générale qu’ils défendent ;

    • quelles sont les preuves qu’ils apportent pour cela…

    • …et les exemples illustrateurs de leurs propos.

Notez-les de trois couleurs différentes dans un tableau (voir document Word correspondant) [20 min].

Correction du relevé.

Définitions de thèse, d’arguments et d’exemples.

Comment les idées s’enchaînent-elles ? Rappel oral sur les connecteurs logiques.


Pour la séance suivante : Entourer les connecteurs logiques dans l’extrait étudié, et donner pour chacun le lien qu’il exprime.
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Quelques homonymes et homophones : (2 heures)

  1. distingués par l’accent : des / dès ; sur / sûr…

  2. autres : l’ai / les ; on / on n’ ; quant quand / qu’en ; plus tôt / plutôt ; près / prêt…

  • réinvestissement =

Dictée préparée n°6 : extrait de L’Avare
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Vérification et correction du relevé.
SÉANCE 5 : ANALYSER LA LUTTE DE POUVOIR ENTRE CLÉANTE ET HARPAGON

Supports :

  • III, 7 (du début p.83, l.368 à « C’est un compliment que je fais pour vous à madame. » p.85, l.434)

  • IV, 3 (de « CLÉANTE - Écoutez : il est vrai qu’elle n’est pas fort à mon goût » p.99, l.144 à « à vous marier dans peu avec celle qu’on vous destine. » p.100, l.189)

Lecture à plusieurs voix de l’extrait de III, 7.

Vérification et mise en commun des questions de préparation III, 7.

a) La double énonciation

Le personnage qui s’exprime le plus en temps de parole est Cléante parce qu’il a intérêt à faire sa cour à Mariane.

Le sous-entendu contenu dans les premières répliques est que Mariane et Cléante s’informent, sans en avoir l’air, du caractère impromptu de leur situation qui a évolué malgré eux et se disent qu’ils sont toujours dans les mêmes dispositions d’esprit.

Le quiproquo vient de ce que Harpagon croit que son fils manque de respect à Mariane alors qu’elle comprend les sous-entendus du fils.

Les propos de Cléante sont en réalité une déclaration d’amour.

On trouve des apartés aux l. 70, 71 car Harpagon cherche de l’aide auprès de Valère.

l. 87 : il veut que son fils lui explique son attitude, l. 91 : il doit cacher sa colère par politesse, l. 99à 106 il insulte son fils mais n’ose pas le contredire pour ne pas faire échouer son mariage.

b) Harpagon dupé

On peut dire que Cléante a trompé deux fois son père : il a fait sa déclaration d’amour en sa présence et s’est débrouillé pour faire un cadeau à sa belle avec l’argent de son père tout en feignant de ne faire qu’obéir.

Mariane promet intelligemment de rendre la bague.


    1. Compléments

La duperie du fils répond à l’imbécillité du père, à son avarice, à ses vices. C’est un engrenage.
Lecture à plusieurs voix de l’extrait de IV, 3.

Questions 5 à 7 p.102 = contexte, à l’oral.

Réflexion, au brouillon [10 min] : Comment se caractérise la lutte de pouvoir entre Cléante et Harpagon ? Pourquoi ce conflit est-il un élément essentiel de la pièce ? Ces situations sont-elles seulement comiques ? Pourquoi ?

Mise en commun, sur le classeur : Cléante réussit d’abord à séduire Mariane sous les yeux de son père en III, 7, puis est trompé par son père en IV, 3. Notion de double destination au théâtre. Le conflit père / fils pourrait se retrouver dans une tragédie classique.


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SÉANCE 6 : ANALYSER LA CRITIQUE DE L’AVARICE A TRAVERS LE MONOLOGUE

Supports :

  • IV, 7

  • Deux mises en scène du monologue d’Harpagon :

- Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre

- Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec Louis de Funès dans le rôle titre


Lecture à voix haute de la scène.

Vérification et mise en commun des questions de préparation IV, 7 :



a) Le monologue

Tous les signes de ponctuation sont employés parce que le personnage passe par toutes les émotions. C’est de la ponctuation affective.

Voici deux parallélismes : « où courir/ où ne pas courir » et « n’est-il point là : n’est-il point ici ». Ils révèlent qu’Harpagon est désorienté, choqué.

b) Une crise

Harpagon dit, en parlant de son argent, : « mon pauvre, cher ami » après avoir crié à l’assassin ! Il compare donc son argent à une personne. C’est une personnification.

Les jeux de scène qui prouvent qu’il est au bord de la folie sont qu’il s’arrête lui-même, qu’il court dans tous les sens, soupçonne tout le monde (maladie de la persécution, paranoïa), ne parle plus que de ça (monomanie).

Il en est conscient de sa folie puisqu’il dit : « mon esprit est troublé ».



c) L’effet produit sur le spectateur

Quand il s’arrête lui-même ou veut se torturer lui-même, il y a du comique de situation.

L’énumération « des commissaires, des archers.. ; » est du comique de mot ainsi que les parallélismes.

On ne croit pas à son envie suicidaire parce qu’il est ridicule : le comique recouvre le drame et évacue la menace.



d) Compléments

Les emplois du subjonctif dans ce texte sont nécessités par des négations ou tournures indéfinies et certains verbes comme « vouloir ».

Il y a plusieurs auxiliaires modaux qui expriment l’implication du sujet dans son propos : pouvoir, vouloir, aller, faire, être impossible, falloir…
A votre avis, quel est le ton de ce texte ? Justifier en s’intéressant plus particulièrement aux dernières lignes : Quelle tentation révèle la fin du texte ? Quel sentiment pousse Harpagon à envisager une telle extrémité ? Trouvez-vous cela drôle ? Comique et tragique à la fois.
Visionnage des deux scènes.
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Ramassage des recherches sur Molière.
SÉANCE 7 : ÉTUDIER LE QUIPROQUO THÉÂTRAL

Supports :


  • V, 3 (du début p.121, l.124 à « qu ‘elle m’a aidé à persuader votre fille de me donner sa foi, et recevoir la mienne. » p.125, l.240)

  • I, 4 (de « HARPAGON - Un peu de patience. Ne vous alarmez point. » p.28, l.427 à « et je suis résolu de l’épouser, pourvu que j’y trouve quelque bien. » p.29, l.464)

  • IV, 5 (du début p.108, l.297 à « la bonté que vous avez de m’accorder Marianne. » p.109, l.321)

Lecture à plusieurs voix de l’extrait de V, 3.

Que se passe-t-il dans cette scène ?

Quelles autres scènes mettent en place un quiproquo ?

Lecture à plusieurs voix de l’extrait de I, 4.

Même exercice [5 min].

Mise en commun.

Délimiter le quiproquo dans IV, 5 et même exercice [10 min].

Mise en commun.

Récapitulation sur le classeur : Définition du quiproquo théâtral comme dysfonctionnement du dialogue ; sa tonalité et son rôle dramatique, selon sa place (exposition ou dénouement), avec des exemples tirés du texte :

Un quiproquo est une erreur qui fait prendre une chose, une personne, une situation pour une autre ; ainsi que le malentendu qui en résulte. C’est donc un dysfonctionnement du dialogue.

Selon sa place dans la pièce, le quiproquo prend une tonalité différente : tragique lors de l’exposition, comique quand on approche du dénouement.


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SEANCE 8 : EFFECTUER UN BILAN DE CHAPITRE : LE DIALOGUE THEÂTRAL ET LES PROCEDES DU COMIQUE AU THEÂTRE
Leçon, à compléter ensemble :

1. Les différents procédés du comique au théâtre

l. 44,45 : ils se coupent la parole = comique de mots.

l. 143, 144 : comique de mots et de répétition

l. 163, 165 : jeu sur le sens des mots = comique de mots

l. 140 : « quoi » avec sans doute le geste de tomber de sa chaise/ L ; 144 « moi, moi, moi » avec sans doute le geste de se frapper la poitrine = comique de gestes

l. 96 à 140 : comique de situation

l. 1 à 10/ 26/ 33 l’avarice+ 54 et 56, la paranoïa = comique de caractère

2. Les différents types de paroles

Réplique : prise de parole Fonction : former un dialogue

Tirade : longue réplique F : raconter un événement, développer

Stichomythie (l.165 à 175) : échange de répliques très courtes.

F : montrer l’affrontement entre 2 pers.

Aparté (l.90) : paroles prononcées à l’insu de l’interlocuteur

F : créer une complicité

avec le spectateur, donner une explication…

Monologue (l.1 à 13) : paroles d’une pers. seule ou qui se croit telle

F : exprimer pensées, doutes, sentiments…



SEANCE 9 : ETUDIER LE DENOUEMENT

Support : V, 6
Vérification et mise en commun des questions de préparation V, 6.
Leçon, à compléter ensemble :

Le dénouement ( du verbe « nouer » + le préfixe « d e » signifiant « hors de » ) est la résolution des problèmes, le fait de dénouer le nœud de l’action. Il est généralement heureux dans les comédies et les tragi-comédies.



Les scènes de retrouvailles permettent chez Molière de transformer le drame sous-jacent en comédie. C’est un artifice nécessaire.

La pièce reflète bien son époque puisque le père a toute autorité légale sur ses enfants, quel que soit leur âge ! Cela n’existe plus de nos jours avec la notion de majorité.

Il y a unité d’action dans cette pièce puisque tout tourne autour de l’argent : c’est le moteur de l’action et il influence tous les personnages. Fils et fille sont diminués par le père faute d’argent. Le père confisque l’autorité du fait de sa richesse. Mariane doit faire un bon mariage pour soutenir sa mère désargentée et Anselme comme Harpagon allaient épouser une jeunesse parce qu’ils sont riches. Enfin le vice de l’avarice rend Harpagon dénué de tout sens commun.


Pour l’évaluation écrite de fin de séquence : Réviser la séquence (lecture approfondie de la pièce et définitions).

Pour l’évaluation orale de fin de séquence : Constituer des groupes, choisir une scène, apprendre par cœur son texte et travailler une mise en scène.
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Revoir natures et fonctions (2 heures)

  • application (1 heure)

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Sommaire du chapitre.
ÉVALUATION ORALE DE FIN DE CHAPITRE



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