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Compte Rendu de l’Itinéraire de l’Economie Sociale et Solidaire


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Compte Rendu de l’Itinéraire de l’Economie Sociale et Solidaire

Sambre -Avesnois du 16 juin 2005


C’est à l’occasion des 20 ans de l’ACID, que se sont réunis un grand nombres d’acteurs et d’élus avec notamment Philipe Dronsart (conseiller Général) ,Véronique Huart( ……… .de la ville de Maubeuge) ainsi que Marion Lecan (Directrice du Corace), Christian Lemoine (président d’ACID) , Jean Pierre Guillou (directeur d’Initiatives Solidaires) et Gérard Dechy (porte parole de l’APES).

Cette manifestation a pour utilité de conforter un dialogue fructueux avec les différents acteurs et de contribuer à un développement plus solidaire du territoire.



Circuit 1 

  • La Ferme des Ruaux


André Anckière, ancien salarié dans l’insertion et sa compagne Aneth (ancienne animatrice pour un public handicapé ) ont opté pour changer totalement de cadre de vie et s’installer en 1991 dans une ferme de l’Avesnois pour devenir producteur bio.

C’est véritablement à partir de 1992 que les activités débutent avec l’arrivée des premières vaches et l’augmentation des surfaces. Depuis 1997 la Ferme des Ruaux est certifié Bio.


Grand principe de la bio :


Qualité des produits

Autonomie

Respect de l’environnement et du Territoires

Equilibre sol - plantes -animal

Maintien du tissu rural

Un système simple et cohérent :


L’autonomie est une des clef de voûte du système, les surfaces cultivées permettent de nourrir les animaux qui vont permettre de donner du fumier à composter. Selon André Anckiere, il faut trouver un équilibre pour pouvoir être autonome sans rien acheter à l’extérieur.

Une notion d’organisme agricole


Il y a très peu d’achats extérieurs, juste quelques semences et engrais naturel, 99% d’autonomie fourragères, 99% d’autonomie en concentré.

Au début de son exploitation, il vendait ses produits en grande surfaces mais ce n’était pas son but, en effet, il souhaite offrir davantage de produits et les vendre lui même . Il privilégie la diversité des produits pour répondre à tous les besoins des consommateurs.( aussi bien des produits riches en matière grasse que les produits à 0%.Il aimerait augmenter ses ventes au niveau local mais il est encore dur de sensibiliser la population.   Le temps passé à la commercialisation des produits est assez faible car les consommateurs se rendent sur place pour acheter les produits, il n’ y a qu’ 1 journée et demi par semaine consacrée à la vente des produits sur les marchés.

Il aimerait aider les porteurs des projets rejetés par le système bancaire de projets, il fait également des livraisons de paniers à l’association à Sainte Etienne qui a permis de créer un emploi .à temps partiel .et aide un jeune qui a ouvert une boutique bio en lui livrant quelques produits.

Son rêve serait la création d’un label type Max Havelard mais nord nord même s’il est conscient que cela poserait de véritables questions notamment qui paierait la certification. ?



  • Cité et le Batiscope

Michel Lamarque, dans le cadre de son DESS développement local et Economie Solidaire, a mener le projet de créer une structure sur le métier de la construction au sens large mais avec le souci d’être utile à quelque chose c’est ainsi qu’à l’issue de son mémoire il a créée en décembre 1997 l’association Cité avec trois priorités :



  • sensibilisation au monde de la construction

  • proposer des stages de formation

  • organiser des chantiers- écoles et des journées thématiques sur la bio construction, l’éco construction et la Haute Qualité Environnementale

Puis il a opté pour créer une coopérative ouvrière : Le Batiscope qui portent actuellement principalement sur la charpente, la construction et les structures bois. .C’est un statut qui plait bien en effet le capital appartient aux salariés, les décisions se prennent ensemble

Depuis 2004, les deux structures expérimentent et mettent en place des chantiers mêlant techniques et matériaux écologiques reprenant les « règles de l’art » de l’architecture traditionnelle de plus en plus d’actualité .On compte en moyenne 70 personnes accueillies en stages de découverte de soi et stages entreprise.

Michel Lamarque nous a livré sa fierté d’avoir continuer malgré toute les difficultés qu’il a rencontré mais il s’inquiète pour les année à venir, sa clientèle est de plus en plus exigeante, Il faut travailler vite, bien et toujours moins cher. Les salariés ont du mal à vivre de leur travail, il y a une véritables difficulté à s’adapter à l’environnement car les machines ne sont pas assez moderne.

  • Le chantier AGIEE : « La serre des jardinier de l’Espoir »

Le chantier existe depuis 4 ans, il révèle la volonté de la municipalité de Troulon d’aider les Rmistes dans le domaine des fleurs et du maraîchage Les employés sont tous originaire du territoire.  Certifié bio depuis cette année, le chantier travaille sur le principe du réseau de cocagne, ils préparent des paniers avec des produit du moments. On compte une cinquantaine d’abonnés. Le chantier produit également des fleurs pour la ville.



Il y a une véritable volonté de se développer qualitativement et quantitativement auprès des collectivités, pour augmenter le nombre d’adhérents pour les paniers de solidarités.






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