Ana səhifə

94 ans de déni : ça suffit !


Yüklə 0.57 Mb.
səhifə7/12
tarix18.07.2016
ölçüsü0.57 Mb.
1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   12

TURQUIE/RUSSIE



Moscou et Ankara sur la même longueur d'onde ?
CAUCASE

28.09.2009

Longtemps rivales, les politiques russe et turque dans le Caucase semblent s'orienter vers une convergence d'action, selon l'analyse de l'expert russe Alexandre Karavaïev, de l'université de Moscou, publiée dans les colonnes de la Nezavissimaïa Gazeta.

Il souligne que "sur fond de déclaration du président du Venezuela Hugo Chávez reconnaissant l'indépendance de l'Abkhazie [et de l'Ossétie du Sud], un autre événement politique singulier est resté dans l'ombre.

Le vice-ministre des Affaires étrangères turque s'est rendu en visite publique, le 10 septembre, à Soukhoumi, la capitale abkhaze." Un événement qui témoigne du "schéma complexe de diversification de la politique régionale turque".

Mais l'auteur insiste sur le fait que "le préalable à une interaction entre la Turquie et la Russie à court terme dépendra de la qualité des relations entre les Premiers ministres des deux pays".


http://www.courrierinternational.com/breve/2009/09/28/moscou-et-ankara-sur-la-meme-longueur-d-onde
    1. AZERBAIDJAN/ROUMANIE


Président Ilham Aliyev : le gaz azerbaïdjanais au marché européen en 2010

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 29 septembre 2009 . Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. Quelques partis politiques ont manifesté jeudi devant le Ministère azerbaïdjanais des affaires étrangères, a rapporté APA sur place.

29 sept 2009 12:00

Bakou – APA. Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev et son homologue roumain traian Basescu ont organisé le 28 septembre, une conférence de presse conjoint par suite à la cérémonie de signature.

Les chefs d’état ont fait des déclarations. Dans son discours, le président roumain a qualifié cette visite comme le résultat des grands travaux pendant plus de 4 années : « Les contrats signés sont consacrés au dialogue politique, coopération en domaine d’énergie et la coopération en domaine des organisations internationales à la fois. La coopération en domaine d’énergie n’est pas limitée non seulement par le projet « Nabucco ». Nous travaillons à la fois pour construire un stock de gaz au port Constanza » a-t-il fait savoir.

Les questions régionaux et les conflits gelés, y compris celui de Haut Karabakh ont été également discutés, toujours selon M.Basescu : « La Roumanie reste fidèle dans sa position. Les conflits doivent être réglé par les moyens pacifiques, strictement par les normes juridiques internationales et dans le cadre de l’intégrité territoriale » a-t-il ajouté.

Le chef d’état azerbaïdjanais a souligné le développement successif des liens Roumanie - Azerbaïdjan : « Les documents signés servent la base solide pour le développement future des liens bilatéraux. Nous avons de large potentiel pour le développement des liens bilatéraux, lequel nous devons profiter. Les relations politiques sont dans un niveau élevé. Je suis sûre pour des projets en domaine économique.

La coopération en domaine pétrogazier est très réussit. Notre pays possède de larges réserves pétrogazier. Le gaz azerbaïdjanais pourrait être sorti au marché européen en 2010, sous condition des nouveaux contrats. La diversification des sources d’énergie tombe juste avec nos intérêts et est utile pour les producteurs, ainsi que les consommateurs. J’espère au succès du projet « Nabucco ». La coopération en domaine pétrogazier fait partie de Mémorandum entre l’Azerbaïdjan et l’UE sur la coopération stratégique » a-t-il déclaré.

Je remercie également en Roumanie pour sa position vis-à-vis le règlement du conflit de Haut Karabakh dans le cadre de l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan. Toutes les questions doivent être résolu en vertu des normes juridiques internationales. En cas de respect des parties aux normes internationales, le conflit de haut Karabakh pourrait être bientôt réglé, d’une manière équitable » a martelé M.Aliyev.

Les journalistes ont adressé ensuite ses questions aux présidents. L’Azerbaïdjan est troisième pays après les USA et la France de signer un contrat sur le partenariat stratégique avec le Roumanie, a déclaré M.Basescu : « Ce partenariat stratégique recouvre la politique, l’économie, la sécurité et d’autres domaines importants. Les gouvernements doivent adopter un plan. On pourrait le comparer avec une « feuille de route. Nous examineront ensuite, si nos démarches ont été ou non réussites » a-t-il annoncé.

Les projets proposés par l’Azerbaïdjan ont servis la base pour d’autres projets, selon M.Aliyev : « La réalisation du gazoduc Bakou-Tbilissi-Erzerum était impossible avant la mise en chantier l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan. Il serait déplacé de parler de « Nabucco » sans Bakou-Tbilissi-Erzerum. En un mot, un projet réussi sert pour en former un autre. Le « Nabucco » servira bien sûre à d’autres projet » a martelé le président.

Le chef d’état azerbaïdjanais s’est rencontré dans le cadre de la visite, avec le premier ministre roumain Emil Bok. Les questions d’intérêt commun ont figuré au menu.
http://fr.apa.az/news.php?id=7049

    1. G20


Le G20 réforme le FMI : une victoire pour la Chine

De notre envoyée spéciale à Pittsburgh, Alexandrine Bouilhet


25/09/2009 | Mise à jour : 07:13

Le G20 s'est mis d'accord pour transférer 5% des droits de vote des pays développés aux pays émergents.

Les Etats-Unis voulaient un chiffre pour progresser sur la réforme du Fonds monétaire international (FMI). Ils l'ont obtenu dès hier soir, à Pittsburgh.

Le G20 s'est mis d'accord pour transférer 5% des droits de vote des «pays développés » vers les pays «sous représentés» notamment les pays d'Asie.

Le compromis est, avant tout, une victoire pour la Chine, premier bénéficiaire de la réforme des institutions internationales, héritées de Bretton Woods. La Turquie et la Corée seront également gagnantes.

L'Europe consentira l'essentiel des sacrifices, même si elle a obtenu quelques voix supplémentaires pour la Pologne ou l'Espagne. La France, la Grande-Bretagne, la Belgique et les Pays-Bas devront transférer leurs voix au profit des pays d'Asie

Les Etats-Unis, quant à eux, ne perdent rien, car ils restent sous représentés au FMI au regard de leur poids dans l'économie mondiale.

Cette réforme devrait entrer en vigueur en 2011. Avec 32% des voix au FMI, le Européens apparaissent collectivement surreprésentés au G20, alors que leur poids dans l'économie mondiale n'excède pas 25%.

Les Etats-Unis ne disposent que de 17% des voix, mais ils sont dotés d'un droit de veto, un privilège contesté, en vain, par la France. Aujourd'hui, les pays développés détiennent 57% des voix au sein du FMI, contre 43% aux pays émergents.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2009/09/25/04016-20090925ARTFIG00347-le-g20-reforme-le-fmi-une-victoire-pour-la-chine-.php

Economie mondiale : Les pays émergents à la gouvernance

Plus de place au sein du FMI, plus de responsabilité dans la coordination de l’économie mondiale pour le G20 dont ils sont membres, les pays émergents voient à l’issue du sommet de Pittsburgh leur rôle renforcé dans la gouvernance économique mondiale. Les bonus seront bien limités, mais le climat a été oublié.


Le climat aura été le grand oublié du sommet du G20 de Pittsburgh (Pensylvanie), les jeudi 24 et vendredi 25 septembre. Il est vrai que venant après le relatif échec du sommet du climat organisé par l’ONU à New York le mardi 23, il y avait peu de revirement à attendre des 20 pays considérés comme les plus riches du monde, et effectivement il n’y en a pas eu. Sur ce thème qui était annoncé comme l’un des trois axes majeurs du sommet, les observateurs n’auront eu à se mettre sous la dent que quelques observations générales pavées de bonnes intentions, comme celle "d’éliminer progressivement et de rationaliser à moyen terme les subventions inefficaces aux combustibles fossiles, tout en apportant une aide ciblée aux plus démunis". Oui mais Copenhague, c’est dans à peine plus de deux mois, et pour réussir ce rendez-vous crucial il faudra s’entendre sur les investissements à consacrer à la réduction des émissions des gaz à effet de serre, 100 Md€ par an d’ici à 2020. « les pays riches ont une fois de plus refusé d’avancer les fonds nécessaires pour arriver à un accord", a aigrement commenté Max Lawson conseiller à l’ONG Oxfam.

La réforme du FMI

Pour les autres points de l’ordre du jour, la crise économique et la régulation des marchés financiers, l’entente a pu être trouvée entre les 20 chefs d’Etat et de gouvernement présents(1). Tout d’abord, ils ont convenu d’une réforme du Fonds monétaire international au terme de laquelle l’allocation des fonds entre les 186 pays cotisants devrait être rééquilibrée. Les pays surreprésentés au capital au regard de leur poids réel dans le PIB mondial, cèderont 5% de leurs droits de vote, ce qui aura pour effet de renforcer le poids des pays émergents. Actuellement par exemple la Chine représente 3,7% du fonds alors que la France dont l’économie et une fois et demie moins importante bénéficie de 4,9% des voix. Outre la Chine, le Brésil, l’Inde, la Corée, la Turquie devraient être les principaux bénéficiaires de la réforme qui affectera principalement les pays européens. En 2008 une nouvelle clé de répartition avait été décidée mais elle était jugée encore trop limitée par les pays émergents.

Le G20 coordinateur de l’économie mondiale

Autre décision inattendue et qui s’est dessinée tout au long de la semaine, celle de faire du G20 le forum de coordination de l’économie mondiale, le rôle du G8 étant ramené à une fonction « diplomatique ». Là encore, ce sont les pays émergents qui tirent leur épingle du jeu. Deux autres questions d’importance devaient être abordées à Pittsburgh, celle de la sortie de crise, et celle de la rémunération des opérateurs de marchés financiers. Le G20 a assuré qu’il fallait éviter "tout retrait prématuré des mesures de relance" prises par les gouvernements et ce, tant qu’on ne pourra pas faire état d’une "reprise durable". Quant à la question très attendue de la régulation des systèmes financiers, elle a donné lieu à plusieurs préconisations : les banques devront prendre moins de risques en augmentant leurs fonds propres sur, précisément, leurs activités à risques. Enfin, les traders ne bénéficieront plus de primes garanties sur plusieurs années, le principe du « bonus-malus » prôné par la France pour éviter de continuer de rémunérer les opérateurs de marché en cas de mauvais résultats des banques est retenu. Le G20 a en effet convenu qu’il fallait "limiter les bonus à un pourcentage du produit net bancaire quand ils menacent un niveau de saine capitalisation". Le prochain G20 se réunira deux fois en 2010, au Canada et en Corée.

28 septembre 2009, Stéphane Davin

Les pays du G20 Afrique du Sud, Allemagne, Arabie Saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud, Etats-Unis, France, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Royaume-Uni, Russie, Turquie, Union européenne. Le FMI participait également aux travaux du G20.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article5253

1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   12


Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©atelim.com 2016
rəhbərliyinə müraciət